

Après une très longue nuit de sommeil et grâce au bonheur de ne plus vivre trempé et secoué par le roulis, Ulysse se sentait enfin en pleine forme. Il avait déposé un mot à la vue de tous pour demander de l’aide dans son étude du dôme et de l’orage derrière, procédé à ses lessives, puis aidé aux réparations du vaillant Eternal après tous les tempêtes qu’il venait d’essuyer.
Alors qu’il savourait un sandwich, assis sur le bastingage, il aperçut Maahwi et son ballon. Dès le second rebond, le viéra était saisi par l’envie de jouer. L’idée du Hhetsarro était brillante et amusante, tout ce qu’il aimait ! D’un bond, il rejoint le quai puis l’inventeur :
- Maahwi ! Puis-je me joindre à toi ? On pourrait faire un match…et même essayer de rendre ta balle tangible pour les errants.
- En infusant de l’étherrrr ? Essayons.
- Excellent !
Quelques minutes plus tard, les deux comparses haranguaient tant leurs compagnons d’aventures que les habitants spectraux de ce port de fortune et organisaient un véritable match de ballon : équipe verte contre équipe bleu, Hhetsarro contre Viéra ! Il y eu des rires, quelques répliques salées, des passes réussies et quelques des têtes ratées. Ce moment de détente leur offrit l’occasion d’évacuer la tension que l’inéluctable retour de Coral leur infligeait mais aussi celle de s’attirer la sympathie d’un plus grand nombre d’âmes errantes.
(Le joli screen a été réalisé par le talentueux Maahwi!)

Depuis l'arrivée du navire aux côtes de cette étrange ville servant de garde-manger pour les ressources du Capitaine Coral, la menuisière quitta rarement le pont de l'Eternal, allant et revenant de la salle des machines. Munie de ses outils d'arcanisme et d'études des glyphes, elle passa sa journée à étudier le phénomène qui s'est produit durant la tempête. Si cette glyphe s'avérait être la solution pour entrer, elle devrait servir également pour repartir. La lunaire refusait d'attendre jusqu'au retour du Trium dans les lieux sans que l'équipage n'aie un ticket de sortie si la situation allait devenir tendue.
Après avoir servi le repas de midi composé de croquette de lézard provenant de la chasse, elle disparût à nouveau dans cette salle, avec comme compagnie son carbuncle.
Après avoir servi le repas de midi composé de croquette de lézard provenant de la chasse, elle disparût à nouveau dans cette salle, avec comme compagnie son carbuncle.


Bien qu'Evangeline fut très intriguée par la horde de fantômes lorsqu'ils descendirent du navire le jour de leur arrivée, elle aura passé la première journée après leur arrivée dans la cabine 7. Ses compagnons de cabine auront pu la voir plongée dans divers ouvrages tout au long de la journée, dans le vain espoir de trouver un précédent à la situation des pauvres spectres.
Au second jour, la magicienne aura passé l'entièreté de sa journée à se promener dans la cité, trifouillant un éthéromètre, en râlant et en essayant de faire des relevés d'absolument tout et rien. Chaque fois qu'elle aura un résultat, elle l'aura noté dans son carnet.
Le troisième jour, elle l'aura passé à recopier ses notes de la veille et essaye de faire sens des notes dans la matinée, avant de partir faire un tour dans la cité et essayer de parler à quelques fantômes.
Au second jour, la magicienne aura passé l'entièreté de sa journée à se promener dans la cité, trifouillant un éthéromètre, en râlant et en essayant de faire des relevés d'absolument tout et rien. Chaque fois qu'elle aura un résultat, elle l'aura noté dans son carnet.
Le troisième jour, elle l'aura passé à recopier ses notes de la veille et essaye de faire sens des notes dans la matinée, avant de partir faire un tour dans la cité et essayer de parler à quelques fantômes.



Cet après-midi là, plusieurs membres de l'expédition se penchèrent sur la porte du phare avec plus de sérieux. Ils avaient beau tenter toutes les combinaisons possible avec leurs artefacts, l'ether, les mots clés de leurs précédentes enquêtes sur le Projet Aethernal, rien n'y fit la porte demeura close et le mystérieux poème continuait de s'afficher.
Ici l'écho d'une ère déchue,
Laissé par ceux dont la cité à chue,
Répondra à qui son emblème échut.
En présence des artefacts, le sceau s'activait mais un dernier symbole demeurait éteint comme s'il manquait quelque chose. Quelques minutes de calculs de Silius leur apportèrent une réponse. Bien qu'il ne soit pas un expert de Nym, le vieux hibou avait suffisamment de connaissances en arcanisme pour décrypter au moins la logique de ce tracé faute d'en expliquer le détail : il y avait bien et bien un verrou arcanique. Celui ou celle qui avait tissé ce sceau était un grand arcaniste et avait fait en sorte que la porte ne s'ouvre que pour certaines personnes précises et dans certaines conditions. L'une d'elle n'était pas remplie. Une condition qui, d'après Silius, se fait appeler "Pan".
D'autres théories se présentèrent. Pandora, quelque chose à bord du Pandora ? Lysia les rejoignit avec son rubis et tenta une nouvelle fois d'invoquer le carbuncle. Quelque chose retenait toujours le familier mais il était tout proche, si proche qu'elle parvint à le matérialiser partiellement. Une infime partie, mais suffisante pour qu'apparaisse d'une petit carbuncle très énergique. Lorsqu'il posa la patte sur la porte, le dernier glyphe clignota quelques instants. Bonne pioche, mais "Pan" n'avait pas toutes ses capacités, il ne pouvait pas ouvrir. Donc, pour entrer il faudrait d'abord récupérer Pan à bord de l'épave ou ailleurs.
Il ne pouvait pas parler, mais il tentait de communiquer comme il pouvait. A la mention des ruines aperçues plus avant dans les terres il se mit à bondir comme s'il était monté sur ressors. Floerswys avait fait le tour de l'île et repéré des ruines autour d'une statue brisée de Llymlaen, Sagramor fit mention d'autres ruines un peu plus dans les terres et Eizen d'un grand mur infranchissable. Trois points d'intérêt, trois missions d'exploration, et un petit guide arcanique pour les accompagner.

Spoiler : cliquez pour afficherCarte indicative (très moche) des éléments notables de l'île à partir de la map de Lunule IG. Ce qui est gommé en blanc n'existe juste pas, c'est la forêt ou la mer.



Coincée, piégée, enfermée, emprisonnée, captive de cette île qui lui glaçait le sang... Mais déterminée à garder le morale et à profiter des quelques moments de soleil que l'Enclave puisse lui offrir. V n'était que très peu intéressée par les fantômes et les ruines anciennes.
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Observant tout les membres passer à l'action, Yulia contemplait une fois de plus ce village de fantôme.
Elle aura tentée de converser ici et là avec quelques fantôme avec son tact habituel, qui ne donnera probablement pas grand chose.
Perdue, aucune idée de quoi faire ni comment. S'il paraît que le phare était gardée par des runes, elle était convaincue qu'elle ne pourrait de toute façon pas aider. Mais agacée de ne pas effectuer grand chose, Yulia aura récupérée sa hache, disparaissant une journée dans la nature sauvage de l'île. Elle n'aura pas énormément discutée avec les autres pour le moment, pour autant, elle effectuera quelques recherches de son côté.
Sans agresser les créatures comme elle a tendance à le faire, elle les observait. De loin cherchant à ne pas attirer l'attention. Elle voulait voir ce qui les rendrait si dangereux. L'éther de la terre ? La façon de vivre sous la prédations ? Elle essayait d'observer aussi les différentes espèces qui se trouveraient ici, ou plus. Est-ce qu'il n'y a que des créatures après tout ? Le lieu semble gaver en magie, et ce genre de lieu chargé d'éther peut attirer toute sorte de créature. Mais oui, étonnamment, Yulia fera tout pour ne pas se battre, et si elle est repérée, elle ne se contentera que de fuir en trompant le poursuivant.
Son but serait bel et bien d'inspecter comment fonctionne la vie sur cette île fantôme.
Bien qu'elle aura eue l'air d'être partie, toujours. Dans cette expression de lassitude. Mais il semble que cela vienne d'elle, et pas de l'extérieur ou de l'environnement.
Elle aura tentée de converser ici et là avec quelques fantôme avec son tact habituel, qui ne donnera probablement pas grand chose.
Perdue, aucune idée de quoi faire ni comment. S'il paraît que le phare était gardée par des runes, elle était convaincue qu'elle ne pourrait de toute façon pas aider. Mais agacée de ne pas effectuer grand chose, Yulia aura récupérée sa hache, disparaissant une journée dans la nature sauvage de l'île. Elle n'aura pas énormément discutée avec les autres pour le moment, pour autant, elle effectuera quelques recherches de son côté.
Sans agresser les créatures comme elle a tendance à le faire, elle les observait. De loin cherchant à ne pas attirer l'attention. Elle voulait voir ce qui les rendrait si dangereux. L'éther de la terre ? La façon de vivre sous la prédations ? Elle essayait d'observer aussi les différentes espèces qui se trouveraient ici, ou plus. Est-ce qu'il n'y a que des créatures après tout ? Le lieu semble gaver en magie, et ce genre de lieu chargé d'éther peut attirer toute sorte de créature. Mais oui, étonnamment, Yulia fera tout pour ne pas se battre, et si elle est repérée, elle ne se contentera que de fuir en trompant le poursuivant.
Son but serait bel et bien d'inspecter comment fonctionne la vie sur cette île fantôme.
Bien qu'elle aura eue l'air d'être partie, toujours. Dans cette expression de lassitude. Mais il semble que cela vienne d'elle, et pas de l'extérieur ou de l'environnement.

La Hannoise avait donc embarqué sur le bateau dans un état de grosse fatigue : un bandage enroulé autour du crâne, des douleurs persistantes au haut du corps. Les événements d’Orvalon ne l’avaient pas épargnée. Pourtant, elle restait aussi pipelette et enjouée que d’habitude, et surtout, aussi insupportable lorsqu’il s’agissait de vanter ses « hauts faits » là-bas. Elle criait avoir vaincu un démon redoutable, repoussé des hordes de chocobos sanguinaires (rouges !) et, surtout, grâce à son érudition et sa magie, généré une aura gigantesque capable de fortifier les âmes d’un village, d’une région… non, d’un pays tout entier !
Bref, Mahruvvet restait Mahruvvet.
Son humeur se fit plus sombre une fois arrivée sur place. Bonne peuse de Radz-at-Han, elle nourrissait une conception assez stricte du devenir des âmes. Entraver le « Grand Voyage » était, pour elle, un acte abominable. Dans la discrétion du navire, elle ne cachait pas son souhait : avant leur départ, il lui importait d’apporter le repos à tous ces esprits errants. Leur place n’était pas ici, et les maintenir ainsi revenait non seulement à renforcer Coral, mais surtout à emprisonner ces âmes hors du cycle.
Sur l’île, Mahruvvet redoubla de sociabilité. Usant de son aisance dans les interactions, elle prit soin de discuter avec les habitants, s’inquiétant de leur vie quotidienne, de leur ressenti, de leur situation. Elle veillait à ce que ces échanges ne tournent pas à l’interrogatoire, cherchant aussi à leur offrir un moment agréable. Consciente que certains pourraient être hostiles à leur présence, elle se faisait alors plus prudente, un brin plus manipulatrice. De plus, se posant de temps à autre dans un coin de la ville, elle se mettait à jouer quelques mélodies à la mandole, rien de magique (pour le moment).
Surtout, elle entreprit une chose : un recensement. À mesure des conversations, elle notait pour chaque personne le nom, le prénom, l’année et le lieu de naissance, ainsi que quelques éléments de leur histoire. Elle voulait apprendre à les connaître. Pour qu’ils ne soient pas oubliés.
Et fallait-il vraiment le préciser ? Mahruvvet se montrait parfaitement détestable avec « Pan ». Non qu’elle le maltraitait, mais elle refusait de le considérer autrement que comme un fragment dégénéré de l’un de ces maudits navires qu’elle méprisait tant.
Bref, Mahruvvet restait Mahruvvet.
Son humeur se fit plus sombre une fois arrivée sur place. Bonne peuse de Radz-at-Han, elle nourrissait une conception assez stricte du devenir des âmes. Entraver le « Grand Voyage » était, pour elle, un acte abominable. Dans la discrétion du navire, elle ne cachait pas son souhait : avant leur départ, il lui importait d’apporter le repos à tous ces esprits errants. Leur place n’était pas ici, et les maintenir ainsi revenait non seulement à renforcer Coral, mais surtout à emprisonner ces âmes hors du cycle.
Sur l’île, Mahruvvet redoubla de sociabilité. Usant de son aisance dans les interactions, elle prit soin de discuter avec les habitants, s’inquiétant de leur vie quotidienne, de leur ressenti, de leur situation. Elle veillait à ce que ces échanges ne tournent pas à l’interrogatoire, cherchant aussi à leur offrir un moment agréable. Consciente que certains pourraient être hostiles à leur présence, elle se faisait alors plus prudente, un brin plus manipulatrice. De plus, se posant de temps à autre dans un coin de la ville, elle se mettait à jouer quelques mélodies à la mandole, rien de magique (pour le moment).
Surtout, elle entreprit une chose : un recensement. À mesure des conversations, elle notait pour chaque personne le nom, le prénom, l’année et le lieu de naissance, ainsi que quelques éléments de leur histoire. Elle voulait apprendre à les connaître. Pour qu’ils ne soient pas oubliés.
Et fallait-il vraiment le préciser ? Mahruvvet se montrait parfaitement détestable avec « Pan ». Non qu’elle le maltraitait, mais elle refusait de le considérer autrement que comme un fragment dégénéré de l’un de ces maudits navires qu’elle méprisait tant.
Maahwi
Il y a 3 semaines et 1 jour

Personne ne semble vraiment avoir fait de retour et cela semble agacer le Hhetsarro. Il a pourtant pris sur lui, attendu patiemment parce que ces personnes sont des experts de l’exploration et semblent organisés. Mais s’en est trop… il ne tient plus, ça hante ses pensées au point qu’il n’en a pas dormi ! Au matin, il sautera de sa couchette, les yeux grands ouverts par son obsession et attrapera son sac pour en sortir une planchette peu épaisse de la taille d’une feuille, une plume et un petit flacon d’encre. Dans un soupir de soulagement, comme s’il se sentait libéré, il posera une feuille sur le support et commencera à écrire comme un possédé.
Lors de notre excursion il y a peu afin de trouver de l’eau et de la nourriture, nous sommes partis en petit groupe par la sortie extérieure du village.
Au sud, une forêt peu dense avec de grands arbres.
Il semblerait que les des lézards dotés d’ailes de peau avec des petites mains griffues aux extrémités et à la couleur nuancés de bleu la considère comme territoire.
Ses reptiles se perchent dans les arbres ou dorment à même le sol.
Ils ne sont pas agressifs tant qu’on ne pénètre pas sur leur zone de proximité.
Ils sont territoriaux, mais ne bondissent pas sans alerte. Ils remuent la tête de façon saccadée en clignant des yeux à plusieurs reprises, ils poussent un cri ressemblant à un feulement de félidés avant de se montrer réellement hostiles.
Dans la forêt, nous avons trouvé de nombreux buissons fruitiers. Des petites baies rouges qui semblent avoir été rongées et picorées, preuves qu’elles sont aussi appétantes pour les petits animaux de l'île.
Les arbres semblent inconnus, Lysia ne semblait pas les connaître, mais il est possible d’en extraire de la sève.
Au nord, une plage est visible mais nous ne l’avons pas explorée.
À l’Ouest, de grandes plaines.
Nous y avons rencontré un Bandersnatch adulte en train de dévorer un de ces fameux lézards de la forêt. Face au nombre, il s’est enfui.
Ils sont semblables à ceux que j’ai vu en gyr abanya ? Abania ? aba… bref !
Plus à l’Ouest des plaines, nous avons vu trois gros mammifères dormir.
Des Garula, une espèce ressemblant aux auroch pourrir vous autres si on cherche comparaison.
Au sud de la plaine, avant les Garula, nous avons traversé un petit sentier de forêt et vu une bête de plantes verdoyante et fleurie. Lysia à dit qu’elle portait le nom de Chaotyugh. Vu ses couleurs, j’en déduis qu’elle doit être proche d’un point d’eau de source, il faudra chercher plus.
Nous n’avons pas pu pousser la recherche plus car nous avons aperçu une silhouette se lancer dans un combat avec ce monstre plante. Cela ressemblait à un chevalier avec une épée mais après avoir échangé des coups contre la plante, puis avec nous, elle s’est effondrée en morceaux. C’était une armure animée, sans réel intelligence ou volonté si ce n’est affronter tout ce qui lui semble hostile.
Des glyphes ont été vus dans les différentes parties.
Nous avons pu récupérer de la viande de Chaotyugh, de sa sève très gluante et les morceaux de l’armure magique.
Pendant ce temps, l’un de nous a tendu l’oreille depuis une petite hauteur et a vu de nombreux oiseaux se diriger plus au sud. Ce n’est pas une période migratoire, il est donc fort probable qu’il s’y trouve un lieu plus propice à la survie. De l’eau ? De la nourriture ?
Toujours est-il qu'il faut aller le long du gigantesque mur que semblait protéger l’armure afin d’en savoir plus.
Maahwi.
La plume rangée, l’encre refermée et rangée à son tour. Un long soupir de soulagement qui se dégage et il ira déposer son rapport à la vue de tous.

En voyant le rapport de Maahwi épinglé au tableau de bord de la cambuse, Kikyo passa un long moment à le lire le visage fortement appréciateur. Après de longues minutes de réflexion, elle ouvrit un placard de la cambuse pour en sortir son précieux thermos qu'elle remplit de thé noir fumant. Après quoi, elle sortit sur le pont à la recherche du Hhetsarro. Il était surement redescendu à l'Enclave peut-être pour jouer à la balle avec Ulysse...


Une fois le ventre bien rempli de ce que les cuisiniers auront pu préparer, le Viera sera ressorti dans la nature en début d'après-midi afin de mieux se familiariser avec la partie nord de l'île mais aussi en quête d'une chose bien précise : Un Garula suffisament gros pour sustenter la compagnie durant les prochains jours.
Son escapade aura duré plusieurs heures dans cette partie de l'île et même si plusieurs Garulas auront pu être trouvés, le Rava gardait au fond de lui le sentiment de pouvoir trouver mieux.
C'est finalement en soirée, alors que le soleil commençait déjà à disparaître, qu'il fit la découverte qu'il espérait.
Il ne lui restait plus qu'à rentrer au camp afin de communiquer aux chasseurs du jour l'emplacement du futur festin.
Son escapade aura duré plusieurs heures dans cette partie de l'île et même si plusieurs Garulas auront pu être trouvés, le Rava gardait au fond de lui le sentiment de pouvoir trouver mieux.
C'est finalement en soirée, alors que le soleil commençait déjà à disparaître, qu'il fit la découverte qu'il espérait.
Il ne lui restait plus qu'à rentrer au camp afin de communiquer aux chasseurs du jour l'emplacement du futur festin.

