Lerith
Il y a 2 mois et 3 semaines
Cet après-midi-là, sur une route de montagne...
"Tiens, vous portez un saphir de rhotano, capitaine ?
- Un faux, en réalité, mais oui. Je compte le montrer aux Yok Huy.
- Pourquoi ?"
Tout en marchant, la viéra sortit de sa veste un vieux carnet qu'elle secoua doucement avec un air malicieux.
"Parce que selon nos indications, il y en a peut-être un vrai caché quelque part dans ces montagnes. J'ai bien l'intention de me renseigner."
Lerith
Il y a 2 mois et 3 semaines
Une journée de marche dans les jambes, ils n'étaient pas mécontents d'apprendre que dans moins de deux heures ils seraient enfin à l'Echo de Worlar, village amical sur la route des hauts plateaux. Le soleil se couchait, Lysia plus que les autres semblait fatiguée mais comme d'habitude elle n'en montrait rien et suivant Mahruvvet en soufflant. Le seul de cette expédition qui semblait inépuisable, c'était le jeune alpaga bondissant sur le bord de la route comme un enfant sur son terrain de jeux. Josi avançait, paisible, pointant parfois du doigt vers le nord-ouest en leur indiquant la distance approximative à parcourir. L'air se raréfiait, et le froid s'installa. Ez qui n'avait rien prévu (comme d'habitude !) commença à claquer des dents.
"Ez mets un manteau. On va faire une pause."
Quelques minutes suffirent mais cette brève récupération fut la bienvenue. C'est lorsqu'ils s'apprêtèrent à repartir que tout bascula. Soudain, un cri strident retentit au loin, devant eux. Il résonna entre les montagnes, porté par l'écho. Ce n'est pas le cri d'un berger en détresse ou d'un animal... ou alors un très gros animal. D'instinct, plusieurs levèrent les yeux vers le ciel. Josi se figea. Pour la première fois depuis le début de l'ascension le pelupelu ne semblait pas très rassuré, Moka non plus d'ailleurs.
"V-... Vous croyez que c'est un Tural Vidraal ? Demanda Ez.
- Ne sois pas bête, on ne rencontre pas non plus des Tural Vidraal à tous les coins de montagn-..."
Moins d'une minute plus tard, la forme d'un gigantesque oiseau s'éleva dans le ciel. La concentration d'ether autour de lui était perceptible jusqu'ici alors qu'ils se trouvaient à une dizaine de malms. Meleth tituba, une main sur la tempe, elle serra les dents. D'un battement d'ailes, il piqua vers le sol avant de s'éloigner vers l'ouest. Ceux qui se trouvaient là-bas avaient probablement eu beaucoup moins de chance.
"On force le pas, aller !"
Malgré la fatigue de la journée, le groupe augmenta l'allure au grand damn de Lysia qui se fit distancer rapidement. Elle put compter sur Vadimir pour l'aider à suivre. Ce n'est qu'une heure plus tard qu'ils aperçurent la lueur d'une ethérite plus loin sur la route.
"C'est l'Echo de Worlar !" s'exclama Josi, à la fois heureux et inquiet.
Tout le village était en émoi. Pour la première fois qu'ils voyaient les Yok Huy, ce ne fut pas sous leur meilleur jour : la plupart étendus au sol touchés par des brûlures plus ou moins graves. Ceux qui étaient encore en état s'agitaient dans tout les sens afin de soigner les blessés. L'une d'elle s'arrêta dans sa course en les voyant pénétrer dans le village : "S'il vous plait, aidez-nous ! la CALAMITE a fait de nombreux blessés ! Toute AIDE sera PRECIEUSE !"
Ni une, ni deux, le groupe se dispersa. Les soigneurs se précipitèrent au chevet des blessés, les autres mirent leurs bras à contribution dans les incendies à éteindre. Les Yok Huy ne leur posèrent aucune question pour le moment, appréciant l'aide bienvenue, mais petit à petit quand les choses se calmèrent ils firent preuve d'une certaine attention envers eux, leur demandèrent si eux aussi avaient été blessés. Moka et Josi semblaient bien plus affectés par ce qu'ils voyaient et pour cause, les morceaux de l'histoire commencèrent à se rassembler au compte goutte, au fur et à mesure qu'ils entendaient les témoignages : c'était bien un Tural Vidraal, et pas n'importe lequel. Valigarmanda, l'une des plus grandes calamités que le Tural ai connu et qui se trouvait scellé dans leur temple, avait été libéré par l'un des prétendants au rite de succession. Nul ne savait de quel côté le monstre était partit après que son réveil ai manqué de les réduire en cendres mais ils assuraient que la princesse Wuk Lamat et le prince Koana s'étaient lancé à sa poursuite avec leurs alliés dont le fameux Guerrier de la Lumière.
Une Yok Huy vint à leur rencontre un peu plus tard lorsqu'un petit groupe se rassembla devant l'ancien temple, cette même Yok Huy qui les avait interpellé à leur arrivée.
"Je suis Tahrafahr, c'est à moi qu'il INCOMBE en temps normal d’ACCUEILLIR et de guider nos VISITEURS. Vous êtes venus de LOIN, et vous devez être FATIGUES. Qu'est ce qui vous AMÈNE à l'Echo de Worlar ?"
On leur offrit le gîte, un bon feu et la promesse d'un accueil frugal mais de bon cœur. Noah grimpa sur le toit, l'esprit captivé par le fameux Tural Vidraal dont il avait entendu parler par Sheyen. Yone posa des questions sur son père passé par ici il y a une semaine et Tahrafahr lui donna le nom d'une guérisseuse Yok Huy pouvant lui apporter plus d'informations. Mahruvvet demanda de l'aide à son tour sur la linkperle afin de porter secours à une caravane un peu plus haut sur la route pendant que Lysia et Vadimir préparaient le camp. Ils revinrent entiers, et avec une tête connue : Djazah'ir. Enfin le miqo'te était de retour parmi les siens et semble t-il qu'il les avait cherché un bon moment avant d'être lui-même retrouvé !
Au final, tout le monde passa la nuit au chaud sauf Evangéline qui avait eu la bonne idée de s'aventurer seule avec son familier sur la route en direction de l'ouest, en pleine nuit dans une région dont elle ignorait tout et qui grouillait à la fois de monstres et de Yok Huy de clans hostiles, le tout agité par le réveil de Valigarmanda qui excitait la faune et faisait sortir les guerriers de leurs villages.
Malgré la situation, la collecte d'information se fit naturellement. Quoi de mieux que de se mêler à la population pour obtenir des réponses ? Trois objectifs immédiats se détachèrent, trois missions qui allaient demander de se séparer en petits groupes rapides et efficaces qui pourraient traverser les hauts plateaux bien plus discrètement que leur convoi expéditionnaire de vingt-cinq personnes.
Les trois missions
1.Le Père Prodigue
Bhurborlor, la guérisseuse près de la fontaine, a parlé à Yone de son père. Diyon est arrivé blessé à l'Echo de Worlar, et seul. Il aurait perdu son acolyte en route, séparés par une attaque de leurs poursuivants. Selon la Yok Huy, si sa cuisse était ouverte, son âme était atteint d'un mal plus noir encore qu'elle ne pouvait guérir. Elle a tenté de le convaincre de rester quelques jours mais il ne pouvait attendre et s'est rendu dans une vallée que l'on nomme Workor Lar Dor, un lieu sacré pour les Yok Huy au pied de Workor Zormor. Il disait devoir y retrouver un vieil ami de toute urgence, sans doute un chaman puisque ce sont en général les seuls à demeurer dans cet endroit.Un petit groupe va donc s'y rendre, dont Yone évidemment, particulièrement soucieux et impatient. Mais Bhurborlor les a averti : la vallée étant sacrée, d'autres Yok Huy pourraient voir d'un très mauvais œil que des étrangers s'y aventurent...
2.La Tombe de l'Etoile
Zurferlar, le tailleur de pierre, a mit Meleth sur la piste d'un Saphir de Rhotano. Les Yok Huy n'ont que deux trésors : les pierres de leurs maisons et celles de leurs tombes, la présence d'une gemme semblable à celle-ci sur l'une de ces tombes apparait suffisamment insolite pour qu'on s'en souvienne. On l'appelle "La Tombe de l'Etoile" mais Zurferlar n'en sait pas plus à son sujet si ce n'est sa position isolée à l'écart de tout. Elle se trouve sur le territoire d'un clan isolé, pas nécessairement belliqueux mais plutôt froid envers le royaume de Tuliyollal et les étrangers. La question du pillage de tombe se pose mais après avoir entendu le récit de leur quête, le tailleur de pierre est formel : les tombes transmettent aux vivants. Il y a peut-être sur cette tombe un message destiné à léguer ce saphir... ou pas. C'est à voir mais ils ne le sauront qu'en allant sur place.3. Rencontre au Sommet
Josi a des livraisons à faire, et il a proposé à Lysia de l'accompagner sur l'une d'entre elles et d'en profiter pour discuter des alpagas puisqu'elle semble s'y intéresser. Il n'a invité qu'elle mais il ne devrait pas refuser une petite escorte surtout en ce moment. Alors d'accord, ce n'est pas la quête épique du saphir perdu ou du père disparu mais c'est une bonne occasion de visiter la région avec un marchand itinérant, d'en apprendre plus sur la culture et la faune locale, et puis c'est mignon un alpaga pas vrai ?Il n'a pas donné le nom de son client, ni l'endroit où il doit se rendre. Les récents évènements semblent l'avoir pas mal chamboulé il reste mutique dans son coin en attendant que ça passe. Mais bon, un pelupelu ne renonce jamais à son commerce ! Il va se ressaisir !
[Voilà, vous avez reçu des informations en RP sur les 3 events à venir, à vous de choisir !]
Mahruvvet
Il y a 2 mois et 3 semaines
Mahruvvet n'était pas une héroïne. Selon certains standards, elle avait mené une vie de dangers, mais les dits dangers pouvaient généralement se gérer par un coup de surin bien placé, un poison bien choisi, ou encore mieux, une fuite bien préparée. Vivre dans et de la pègre comprenait ses risques, mais aucun criminel aussi ambitieux et vicieux eut été t-il n'avait jamais brisé des continents. Leur présence à plusieurs lieux ne suffisait pas à vous paralyser. Elle n'était pas habituée à cette vie.
Aussi, la hannoise, une fois les effets de l'adrénaline calmés, semblait être dans un état de choc notable. Elle avait rejoint la maison prêtée, les yeux rouges et renfilant de temps à autre. Et elle ne trouvait guère le sommeil : cette créature cataclysmique, le serpent vie-mort, le Trium. Tout cela était de trop, son esprit ne réussissait pas à s'apaiser, et à chaque fois qu'elle retrouvait son lit improvisé, c'était pour se relever cinq ou dix clochettes plus tard. Elle passa donc la nuit à faire les cent pas devant la bicoque, cherchant désespérément à discuter de tout et de rien avec ses camarades nocturnes, voire même, les habitants nocturnes si par miracle elle en trouvait. C'était par la discussion et le contact qu'elle cherchait le calme et combattait la peur.
Au matin, il était temps de faire son travail. Pour le mieux : l'activité la gardait éloignée de ses craintes et de son choc. Elle avait décidé d'aider Yone à trouver son père. Une mission discrète et diplomatique, voici ce dont elle avait besoin. Mais avant tout, sa partie préférée de tout travail : les informations ! Elle alla auprès des villageois, les questionnant sur cette vallée, pourquoi elle était sacrée, quels étaient les dangers. Jamais elle n'attaquait le sujet de front, jamais elle n'évoquait directement le lieu, préférant obtenir les informations au travers de sujets connexes, généraux ou détournés.
Assez pleuré, assez ressassé. Il était temps de se remettre au travail. Le sommeil se trouverait bien assez rapidement.
Aussi, la hannoise, une fois les effets de l'adrénaline calmés, semblait être dans un état de choc notable. Elle avait rejoint la maison prêtée, les yeux rouges et renfilant de temps à autre. Et elle ne trouvait guère le sommeil : cette créature cataclysmique, le serpent vie-mort, le Trium. Tout cela était de trop, son esprit ne réussissait pas à s'apaiser, et à chaque fois qu'elle retrouvait son lit improvisé, c'était pour se relever cinq ou dix clochettes plus tard. Elle passa donc la nuit à faire les cent pas devant la bicoque, cherchant désespérément à discuter de tout et de rien avec ses camarades nocturnes, voire même, les habitants nocturnes si par miracle elle en trouvait. C'était par la discussion et le contact qu'elle cherchait le calme et combattait la peur.
Au matin, il était temps de faire son travail. Pour le mieux : l'activité la gardait éloignée de ses craintes et de son choc. Elle avait décidé d'aider Yone à trouver son père. Une mission discrète et diplomatique, voici ce dont elle avait besoin. Mais avant tout, sa partie préférée de tout travail : les informations ! Elle alla auprès des villageois, les questionnant sur cette vallée, pourquoi elle était sacrée, quels étaient les dangers. Jamais elle n'attaquait le sujet de front, jamais elle n'évoquait directement le lieu, préférant obtenir les informations au travers de sujets connexes, généraux ou détournés.
Assez pleuré, assez ressassé. Il était temps de se remettre au travail. Le sommeil se trouverait bien assez rapidement.
Lyapaggy
Il y a 2 mois et 3 semaines
L'agitation avait été de prime la veille, une nouvelle des plus désastreuse qui décorait le ciel de son affreux tissage plumé qui avait laisser place à un silence inusité dansant au rythme des flammes encore persistante et qui ne tardèrent pas céder leur place à un vide fumant quelques instants après.
Profitant alors de cette nouvelle aube pointant sur la montagne, c'est sans relâche que la Lalafell s'adonnait alors à son activité habituelle d'étude des cultures et des civilisations.
Elle s'approcha alors d'un des habitants de la région situé à proximité de stèles qui se remplissait petit à petit d'histoire des suites de l'action de son marteau et son burin.
C'est, de ce fait, en la compagnie de ce géant, que l'on pouvait apercevoir une dame bien moins grande, livre et plume à la main, tandis que les pages se noircissaient d'écrit divers à mesure que ces deux êtres échangeaient cordialement, l'une ravie d'en savoir plus sur la signification des gravures et leur histoire, l'autre ravi que sa culture puisse s'ouvrir aux peuples autre que le sien.
Liann
Il y a 2 mois et 3 semaines
Se présentant sous le nom de Plume-Azure, la jeune mage bleue avait fait le tour du village pour prendre des nouvelles des habitants et leur poser des questions en retour. D'après son carnet de magie bleue, il existait un sort spécifique aux "géants du nouveau continent", qui faisait très certainement référence aux Yok Huy. Mais dans sa volonté d'apprendre de nouveaux sorts naissait une certaine curiosité pour les origines et les coutumes des créateurs des sorts en question. Tout comme elle était devenue main-du-pot pour perfectionner son lancer de bombe, elle se renseignait auprès de chaque géant pour savoir si elle pouvait les aider dans une tâche précise, qu'il s'agisse d'asperger les lampes d'eau salée ou de récolter des plantes et des larves pour les soins. Elle n'acceptait pas tout, bien sûr, mais ce faisant, son médiocre "Okalily" de salutation — qu'elle avait fini par arrêter de dire — s'était transformé en formel "Gorrl Karryor" d'aurevoir.
Lerith
Il y a 2 mois et 2 semaines
Au petit matin ce jour-là, la bonne nouvelle arriva à l'Echo de Worlar : Valigarmanda était vaincu. Mais bien sûr, le temps que tout ce petit monde émerge et sorte le nez de leurs duvets, les trois héritiers de l'Aurarque et leurs alliés s'étaient déjà évaporés. La région n'était pas totalement apaisée pour autant : les évènements soulevaient toujours des tensions auprès des clans Yok Huy hostiles au Tuliyollal, et la faune locale ne se montrait pas moins agitée, sans parler du dérèglement élémentaire.
Au moins, le Tural Vidraal n'était plus, et le temps clair s'annonçait comme un bon augure, n'est ce pas ?
Au moins, le Tural Vidraal n'était plus, et le temps clair s'annonçait comme un bon augure, n'est ce pas ?
Elyaska
Il y a 2 mois et 2 semaines
Comme à chaque fois qu'ils arrivaient dans un nouvel endroit, la Viéra se volatilisait dans un recoin tranquille, emportant avec elle son fidèle artefact. Un ensemble de pinceaux, des tubes de peinture, et quelques provisions.
Pour elle, un simple spot tranquille suffisait pour se plonger dans son art. Elyaska se retrouva finalement, à quelques pas du camp, sur un petit promontoire baigné de sérénité. Avec une aisance née de l'habitude, la Viéra déplia son chevalet, posa une toile vierge, et se mit au travail.
À chaque coup de pinceau, le paysage face à elle se révélait peu à peu, avec une rapidité déconcertante, grâce au pouvoir de son artefact. Les heures passèrent comme un souffle, et lorsqu'elle réapparut enfin au camp, une toile sous le bras, un sourire éclairait son visage.
« Et voilà le travail, » annonça-t-elle joyeusement. « Un souvenir de plus. ♪ »
Liann
Il y a 2 mois et 2 semaines
Maintenant que les cieux étaient de nouveau -à peu près- sécurisés, dans la tranquillité de la montagne, Ely, et quiconque non loin de l'Echo de Worlor, aura peut-être entendu des cris dans le ciel, mélange entre panique pure, frayeur et joie soudaine.
Lyapaggy
Il y a 2 mois et 2 semaines
Liann
Il y a 2 mois et 2 semaines
Lorsqu'on lui parle de retourner en Eorzéa, Liann fait toujours une petite blague pour éviter le sujet. En réalité, elle n'a vraiment pas envie d'y retourner. Elle vit sa première grande aventure avec l'Escale et a l'impression que revenir sur le vieux continent mettrait un terme à cette expérience, d'une manière ou d'une autre, la ramenant à une routine moins exaltante. Et elle se trompait, bien sûr.
Non, il y a trop à découvrir ici, même dans les endroits déjà visités. Mais les circonstances ont fait que la destination actuelle de la compagnie se trouve à Urqopacha. Et bien qu'ils soient dans les montagnes, en territoire Yok Huy, il suffirait d'un simple vol plané de Penneceval pour éviter les rivières et les dangers rencontrés à l'arrivée, et se rendre en territoire Pelupelu, peuple qu'elle souhaite découvrir depuis ses premiers contacts avec l'écurie de Tuliyollal... La tentation était grande mais il restait encore des tâches à accomplir.
Elle passa donc la nuit au sommet d'une tour en ruine pour échapper à la faune sauvage et agressive, une dernière nuit avant de partir avec Lysia et Josi. En ce début de soirée, on pouvait l'entendre jouer du violon depuis les ruines, accompagnée par les gazouillis mélodieux de Penneceval. Elle profitait de l'absence de la plupart des membres, car elle n'aime pas jouer en public; le masque la gêne trop et le regard attentif d'un auditoire l'angoisse. Penneceval, lui au moins, dansait.
Oui, elle préfère vraiment quand les gens dansent, se dit-elle.
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