Un jour après l'autre...
Lerith
Il y a 5 mois et 1 semaine
Le soir tombe sur le port de Kugane. L'Eternal attend au port, prêt à lever l'ancre avec la marée nocturne.
Il ne lui manque que son dernier passager.
Albynn
Il y a 5 mois et 1 semaine
Rapidement après l'accostage, le lalafell sera partit quérir des denrées précommandées. Quelques gros sacs de graines et légumes secs locaux comme des haricots ou du riz, et deux caisses de papier. il attendra là un peu voir si son chargement servira à faire passer un clandestin, puis comme l'heure de réembarquement approchait, il fit monter tout le bazar à bord.
Lerith
Il y a 5 mois et 6 jours
Le soleil se levait sur Thavnair lorsque l'Eternal s'amarrait à l'aerodrome hannois, quelques heures pour ravitailler et se dégourdir les jambes avant de repartir pour Eorzéa. Madame Kurusu n'aura que peu profité du paysage ; après de brèves salutations elle s'est dirigée vers la place de l'ethérite d'un pas rapide pour son voyage de retour vers l'orient.
Lerith
Il y a 5 mois et 4 jours
"Dans une semaine, nous serons en mer."
Les jours défilent. Sitôt de retour au port, Meleth a laissé l'Eternal aux bons soins des pantins pour ENFIN prendre ce congé de quelques jours avant le départ. Le voyage à Kugane l'aura quelque peu pressée, elle doit tout mettre en ordre rapidement et ne se reposera que peu. Heureusement, elle peut compter sur un voisin serviable qui s'occupera du jardin et des mascottes en son absence puisque Lhei partira elle aussi bientôt. La chaumière doit être rangée, propre, qui sait pendant combien de temps elle sera absente ? Le sac, lui, est prêt depuis longtemps. Toutes ses recherches sur la cité d'Ouran se trouvent déjà dans sa cabine, mais elle doit encore étudier les cartes détaillées de l'océan indigo, voilà qui devrait l'occuper un certain temps.
Liann
Il y a 5 mois et 1 jour
Aussitôt lu, aussitôt pris en charge. La palefrenière-future-vétérinaire-et-dresseuse-voltigeuse-aérienne-en-devenir de la compagnie avait rapidement joué de ses contacts. Une première visite à Brancharquée, puis à l'écurie des murmures plus au Nord pour finir sur un très mauvais moment à passer dans les écuries glaciales d'Ishgard, bien que leurs chocobos soient tout aussi adorables que les autres. Elle aura rendu un rapport très détaillé à l'intention de Mahru' :
- Brancharquée: Adorables, trop mignons, ils grandissent vite et bien, je les aime.
- Ecurie des murmures: Adorables, trop mignons, ils courent vite et bien, je les aime.
- Ishagard: Adorables, trop mignons, ils volent vite et bien, je les aime.
Albynn
Il y a 5 mois et 14 heures
Avant le départ, ce devait vraiment être fait. Le lalafell passera à la demeure Kurusu pour voir Akira. Pour lui dire quoi? il savait pas, mais il avait besoin, il VOULAIT le voir. Être sûr qu'il allait bien. Ou même qu'il était là, sans morceau manquant. Voir son air dur et certain de comme son habitude, inébranlable malgré les obstacles offert par la vie.
Même s'il fallait avoir l'air idiot et silencieux dès qu'on lui proposerait d'entrer.
Il fallait vérifier.
Même s'il fallait avoir l'air idiot et silencieux dès qu'on lui proposerait d'entrer.
Il fallait vérifier.
Albynn
Il y a 4 mois et 4 semaines
Du sombrelinceul Sud, certains pourront entendre aux alentours du Don d'Urth résonner une chanson. Ho, pas longtemps, mais assez pour se demander si un alcolo ne s'était pas à nouveau perdu...?
En tout cas, il n'y eu aucun appel à l'aide et les cris de la faune reprirent rapidement le pas...
Mon père me racontais, enfant
La vie d'un marin n'est pas un beau moment!
Mais maintenant que je suis de la Marine,
Allons dans les batailles, lançez les machines!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
Notre fournisseur dit que nous avons la belle vie,
De son temps, être marrin c'était pourri!
On aime nos cabine, à quoi bon le hammac?
Faisons ce qu'on peut, habillés comme des sacs!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
C'était un rafiot branlant,
C'est un navire pimpant,
A coup de pelles, on dégage
Tout ces détritus du passage!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
Ton sang est d'alcool, c'est ton destin
Tu en reprendra, un de ces quatre matin!
Cette escale dans un bar en bord de mer
Comme les anciens ce soir, reste homme de Terre!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
En tout cas, il n'y eu aucun appel à l'aide et les cris de la faune reprirent rapidement le pas...
Mon père me racontais, enfant
La vie d'un marin n'est pas un beau moment!
Mais maintenant que je suis de la Marine,
Allons dans les batailles, lançez les machines!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
Notre fournisseur dit que nous avons la belle vie,
De son temps, être marrin c'était pourri!
On aime nos cabine, à quoi bon le hammac?
Faisons ce qu'on peut, habillés comme des sacs!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
C'était un rafiot branlant,
C'est un navire pimpant,
A coup de pelles, on dégage
Tout ces détritus du passage!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
Ton sang est d'alcool, c'est ton destin
Tu en reprendra, un de ces quatre matin!
Cette escale dans un bar en bord de mer
Comme les anciens ce soir, reste homme de Terre!
Ne tirez pas sur la corde, ne grimpez pas sur le mât.
Si vous voyez un voilier, ce sera peut-être votre dernier.
Gardez vos chaussures pour courir sur le quai, car ce marin n’en est plus un ! ♪
Faejine
Il y a 4 mois et 4 semaines
C'est enfin le temps du repos pour le quartier-maitre.
Tandis que les premiers membres de l'équipages embarquent, le Raen termine ses longues lunes de préparations de l'expéditions. Tout est prêt, étiqueté, et ordonné par Ivanhault à qui il a donné la main pour l'embarquement. Une fois les derniers inventaires vérifiés, ses tâches sont enfin terminées. Un dernier appel perle à son épouse alors que le soleil illumine à peine le ciel au petit matin et Kyuuji s'installe pour se reposer dans sa cabine. Il se fera discret pour les prochaines heures, durant lesquelles il rattrape un peu de la nuit très courte.
Tandis que les premiers membres de l'équipages embarquent, le Raen termine ses longues lunes de préparations de l'expéditions. Tout est prêt, étiqueté, et ordonné par Ivanhault à qui il a donné la main pour l'embarquement. Une fois les derniers inventaires vérifiés, ses tâches sont enfin terminées. Un dernier appel perle à son épouse alors que le soleil illumine à peine le ciel au petit matin et Kyuuji s'installe pour se reposer dans sa cabine. Il se fera discret pour les prochaines heures, durant lesquelles il rattrape un peu de la nuit très courte.
Durée de la nouvelle résolution ? Deux heures...
Neimad
Il y a 4 mois et 1 semaine
Une semaine avant l'arrivée de l'Eternal sur les côtes turaliennes, un petit navire avait largué ses amarres au sud du continent. S'étant quelque peu écarté de son itinéraire, la chasseuse de monstres avait finalement réussi sa traversée, non sans mal. Bien qu'Iko ignorait totalement où elle se trouvait sur le continent, elle s'élança avec enthousiasme à l'assaut de ce nouveau monde !
"Tural, me voilà !!!"
Lerith
Il y a 3 mois et 1 semaine
Ten no TsukiUn matin d'été particulièrement chaud sur Shirogane, les servantes d'une maison imposante se préparent aux fortes chaleurs. Une silhouette fébrile ne portant sur elle qu'un petit sac en bandoulière s'avance devant le portail que le loup qui l'accompagne pousse doucement de la tête pour l'ouvrir. Le voyage par ethérite a été plutôt rude, d'aussi loin cela n'a rien de surprenant."Tsubone. - Où sont mes enfants ?" La demi-raenne ose un fugace sourire en saluant le personnel, la fatigue sans doute qui la rend moins froide. Ce sourire s'élargit lorsqu'une voix s'écrie à une fenêtre, à en réveiller tout le voisinnage. "MAMAAAAAAAAAAAAAAN !" Elle n'a pas le temps de lever les yeux vers l'étage que le coupable a déjà disparu. Elle entendrait presque ses pas dans l'escalier. Tentée d'accourir à l'intérieur, craignant que dans sa hâte son petit prince ne tombe, ses jambes ne la porteront pas aussi vite. Par chance, la porte d'entrée s'ouvre et trois petites têtes apparaissent, les yeux ronds. Le premier à se jeter dans ses bras est Akihiko, elle n'a que le temps de se baisser pour le recevoir. Kimiko et Kiyoko le suivent de près. Tous les trois, elle les serre dans ses bras. "Tu as fini d'explorer le Tural mama ? - Pas encore mes amours. Le Tural est immense, mais mon désir de vous revoir l'est davantage." Par la porte de la maison ouverte, un quatrième enfant avance tantôt à quatre pattes, tantôt sur ses deux pieds, particulièrement pressé. Le dernier de la portée de jeunes tigres ne manque pas d'énergie et enjambe l'unique marche du perron pour se précipiter vers l'être cher qui lui a le plus manqué... Akio. |
"Combien de temps tu vas rester maman ? Demande Kiyoko.
-Quelques jours, le temps du festival d'été. J'ai quelques formalités à régler, quelques personnes à rencontrer... et beaucoup d'histoires à vous raconter.
- Des histoires !"
Les trois plus âgés levèrent les bras de concert, imités par le dernier ne sachant absolument pas pourquoi ils le font d'ailleurs sont regard perplexe n'était pas sans rappeler celui de sa mère. Kikyo se releva, son bébé dans ses bras qu'elle posa sur le dos d'Akio pour qu'il cesse de remuer. Elle demanda aux servantes de lui servir un thé et partit s'installer sur la couverture à l'ombre d'un saule, où les enfants jouaient pendant l'été. C'est là qu'elle ouvrit son sac et leur montra tout ce qu'elle avait rapporté pour eux. C'est ici qu'elle passerait sa journée jusqu'au retour de son mari.