Un jour après l'autre...
Lerith
Il y a 6 mois et 4 jours
Il parait que Iko est venue à l'Escale aujourd'hui. Il parait qu'elle et Kikyo ont parlé. Il parait que la directrice s'est montrée particulièrement froide et même cruelle avec la miqo'te. Il parait que ça ne s'est pas bien fini. Il parait que Iko est partie en laissant son cache-œil. Il parait qu'après son départ, Kikyo l'a jeté dans le feu sans que sa main tremble. Il parait qu'elle a repris ses activités moins d'une demi heure plus tard comme si de rien était lorsqu'on l'a appelé sur la linkperle. Il parait qu'elle n'éprouve rien, qu'il n'y a pas une once de sentiment en elle.
Faut-il être sans cœur et particulièrement odieux, pour rayer ainsi de sa vie celle dont elle se disait l'amie.
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Vadimir
Il y a 6 mois et 3 jours
Un mal de crâne atroce, la gorge sèche, et la quasi-totalité d'une soirée effacer de sa mémoire.
Ces trois fléaux, destiné aux hommes et femmes ayant abusé de la boisson, aura frappé sans pitié aucune Vadimir, qui ouvrit les yeux dans un lit de l'infirmerie. Très vite, celui-ci régurgitera son maigre diner de la veille, à l'intérieur d'un sceau disposé à son chevet. Inspirant et expirant lentement, il massa ses tempes, grommelant, tout en essayant de se remémorer ses différentes prouesse de la veille.
Une étrange sensation d'être porté sur un dos. Le son d'une guitare entre ses mains, donné par un miqo'te. Des pieds tapant sur une table. Deux cornes blanches faisant le lit dans lequel il s'est réveillé. Une oreille pointu et attentive.... ?
Clairement, il était impossible pour le jeune homme de listé l'ensemble de ses actions, malgré toute la volonté du monde. Ce qui l'inquiétait d'autant plus.
Une fois ses forces réunis, ce dernier s'extirpa de son lit, trainant ses pieds dans les couloirs de l'Escale pour se diriger derrière ce comptoir qu'il connaissait désormais comme sa poche. Il tentera de fuir les questions ou remarques de chacun concernant son comportement d'hier, prétextant avec une voix cassé, qu'ils devaient tous souffrir d'une hallucination collective.
Il répètera malgré tout, de façon un peu aléatoire, cette phrase qui vagabondait ici et là dans un coin de son esprit : "Pourquoi, par la reine, est-ce que j'ai constamment en tête : "Princesse Amara, héritière de la couronne royale ?"
Ces trois fléaux, destiné aux hommes et femmes ayant abusé de la boisson, aura frappé sans pitié aucune Vadimir, qui ouvrit les yeux dans un lit de l'infirmerie. Très vite, celui-ci régurgitera son maigre diner de la veille, à l'intérieur d'un sceau disposé à son chevet. Inspirant et expirant lentement, il massa ses tempes, grommelant, tout en essayant de se remémorer ses différentes prouesse de la veille.
Une étrange sensation d'être porté sur un dos. Le son d'une guitare entre ses mains, donné par un miqo'te. Des pieds tapant sur une table. Deux cornes blanches faisant le lit dans lequel il s'est réveillé. Une oreille pointu et attentive.... ?
Clairement, il était impossible pour le jeune homme de listé l'ensemble de ses actions, malgré toute la volonté du monde. Ce qui l'inquiétait d'autant plus.
Une fois ses forces réunis, ce dernier s'extirpa de son lit, trainant ses pieds dans les couloirs de l'Escale pour se diriger derrière ce comptoir qu'il connaissait désormais comme sa poche. Il tentera de fuir les questions ou remarques de chacun concernant son comportement d'hier, prétextant avec une voix cassé, qu'ils devaient tous souffrir d'une hallucination collective.
Il répètera malgré tout, de façon un peu aléatoire, cette phrase qui vagabondait ici et là dans un coin de son esprit : "Pourquoi, par la reine, est-ce que j'ai constamment en tête : "Princesse Amara, héritière de la couronne royale ?"
Ivanhault
Il y a 6 mois et 5 heures
Débloqué : L'Entrepôt Mini de l'Eternal
« Ivanhault, c'est toi qui as mordu sur ma courbe séquentielle ? Je dois recalculer toute ma fonction involute.
— C'était nécessaire si tu ne veux pas que Pi finisse à 3.13.
— Comment c'est possible d'avoir un tel écart dans la variable ? »
Le regard des deux elezen se porta conjointement vers Irdel qui, tout comme eux, était armée d'un pinceau et d'un pot de peinture brillante argentée.
« — Je... je l'ai sans doute mal fait, ser Ivanhault, je vais recommencer !
— Laisse, c'est la faute du Terrechant, il va assumer et recalculer ma fonction, on est pas chez les astromachins ici. »
C'était un travail de patience et il faut bien le dire, d'engueulade entre deux experts en arcanes différents par l'application de leur discipline, mais le résultat obtenu valait la peine de souffrir ; c'était sur la suggestion de Silius qu'ils avaient également sollicité Irdel. Elle était si avide de savoir, si motivée par les applications pratiques de la magie, qu'il eût été indélicat de la tenir à l'écart d'un travail finalement si simple : la pose d'un sceau "Mini" devant l'une des portes de cabine, destiné à transformer objets et gens en minuscules réduction d'eux-même. La cabine derrière avait pris des proportions d'entrepôt, prête à accueillir les marchandises miniaturisées d'un Waldemar très motivé par les nouvelles perspectives de transport du navire.
Après la redécouverte de l'un des sigils de l'ancienne "Cale aux artefacts" destiné à transférer n'importe quoi entre le pont et l'intérieur du navire, ce serait un jeu d'enfant de stocker des marchandises destinées à la vente lors des escales variées. De quoi amortir le coût des voyages en ne partant plus jamais à vide.
— C'était nécessaire si tu ne veux pas que Pi finisse à 3.13.
— Comment c'est possible d'avoir un tel écart dans la variable ? »
Le regard des deux elezen se porta conjointement vers Irdel qui, tout comme eux, était armée d'un pinceau et d'un pot de peinture brillante argentée.
« — Je... je l'ai sans doute mal fait, ser Ivanhault, je vais recommencer !
— Laisse, c'est la faute du Terrechant, il va assumer et recalculer ma fonction, on est pas chez les astromachins ici. »
C'était un travail de patience et il faut bien le dire, d'engueulade entre deux experts en arcanes différents par l'application de leur discipline, mais le résultat obtenu valait la peine de souffrir ; c'était sur la suggestion de Silius qu'ils avaient également sollicité Irdel. Elle était si avide de savoir, si motivée par les applications pratiques de la magie, qu'il eût été indélicat de la tenir à l'écart d'un travail finalement si simple : la pose d'un sceau "Mini" devant l'une des portes de cabine, destiné à transformer objets et gens en minuscules réduction d'eux-même. La cabine derrière avait pris des proportions d'entrepôt, prête à accueillir les marchandises miniaturisées d'un Waldemar très motivé par les nouvelles perspectives de transport du navire.
Après la redécouverte de l'un des sigils de l'ancienne "Cale aux artefacts" destiné à transférer n'importe quoi entre le pont et l'intérieur du navire, ce serait un jeu d'enfant de stocker des marchandises destinées à la vente lors des escales variées. De quoi amortir le coût des voyages en ne partant plus jamais à vide.
Albynn
Il y a 6 mois et 3 heures
26 mai 2024
Il y eut un courant éthéré, puis un flash blanc. Ou plutôt bleu ?
Entre deux poissons passait le soleil, inondant le tunnel transparent du clair reflet aquatique.
Il y eut le noir. Le froid. Cette douleur dans la poitrine quand on sombre et qu’on cherche l’air qui n’est plus. Cette suffocation qui n’en fini qu’en même temps que le souffle de vie. La caresse de la mort qui vient en même temps que l’ondulation de l’eau sur les joues...
- Albynn ! Albynn, tu ne crains rien, regarde !
- Imagine que c’est un sous marin ! regarde, il y a de l’air !
C’est vrai. Il y a de l’air, sinon comment pourrait-il entendre ? Et pourtant, toutes cette eau autour d’elles… La mer, même l’océan entier. Entre les cumuls de sensations, les vagues ondulent au sommet de la formation. D’un tunnel sous marin, le lalafall en sentait une noyade. De leurs cris, les trois femmes tentaient de le ramener.
- Oui, oui c’est comme Sui-no-sato !
L’une bondit sur la comparaison, l’autre, sur les souvenirs. Ses souvenirs, cette haute femme d’un lointain village ensevelis. Des eaux, elle avait émergée pour partager sa voix et son enchantement. Sui-no-sato.
Sui-no-sato.
Il parvint à renifler. Un tunnel de Sui-no-sato. C’est bien ce qu’évoquait la barrière bleutée aux formes arrondies, sur laquelle glissait inlassablement l’eau. Habitué, la poiscaille s’éloignait de l’ether condensée. Le soleil brillait encore depuis la surface, projetant parfois une ombre démesuré d’un ridicule alevin de passage. Contemplant enfin ce paysage réel, le lalafell ouvrit une grande bouche de contemplation.
-[size=1][font=Times New Roman] [/font][/size]Hoooo….
Le poisson zigzaguait entre les algues. Au loin, une lueur le dévia légèrement vers le haut. La barrière magique n’était pas un lieu de nage. Quatre silhouettes apparurent par-dessous. L’alevin s’enfui au mouvement inattendu. Reformé depuis le courant éthéré, le groupe faisait demi-tour vers la sortie… Ou presque.
Pourquoi se presser quand on n’a jamais vu spectacle pareil ? Le lalafell traina au passage du couloir. Quel était cet étrange poisson jaune et bleu ? Comment cette méduse était devenue si grosse ? Quel âge avait cette tortue ? Combien de feuilles sur cette algue ? Deux, quatre, six, huit…
L’ombre d’un gros requin lui masqua le soleil. Telle une éclipse de mer, l’ombre disparu progressivement avec l’énorme poisson, peut-etre pour faire quelque autre yeux éblouis de ce monde aquatique…
Il y eut un courant éthéré, puis un flash blanc. Ou plutôt bleu ?
Entre deux poissons passait le soleil, inondant le tunnel transparent du clair reflet aquatique.
Il y eut le noir. Le froid. Cette douleur dans la poitrine quand on sombre et qu’on cherche l’air qui n’est plus. Cette suffocation qui n’en fini qu’en même temps que le souffle de vie. La caresse de la mort qui vient en même temps que l’ondulation de l’eau sur les joues...
- Albynn ! Albynn, tu ne crains rien, regarde !
- Imagine que c’est un sous marin ! regarde, il y a de l’air !
C’est vrai. Il y a de l’air, sinon comment pourrait-il entendre ? Et pourtant, toutes cette eau autour d’elles… La mer, même l’océan entier. Entre les cumuls de sensations, les vagues ondulent au sommet de la formation. D’un tunnel sous marin, le lalafall en sentait une noyade. De leurs cris, les trois femmes tentaient de le ramener.
- Oui, oui c’est comme Sui-no-sato !
L’une bondit sur la comparaison, l’autre, sur les souvenirs. Ses souvenirs, cette haute femme d’un lointain village ensevelis. Des eaux, elle avait émergée pour partager sa voix et son enchantement. Sui-no-sato.
Sui-no-sato.
Il parvint à renifler. Un tunnel de Sui-no-sato. C’est bien ce qu’évoquait la barrière bleutée aux formes arrondies, sur laquelle glissait inlassablement l’eau. Habitué, la poiscaille s’éloignait de l’ether condensée. Le soleil brillait encore depuis la surface, projetant parfois une ombre démesuré d’un ridicule alevin de passage. Contemplant enfin ce paysage réel, le lalafell ouvrit une grande bouche de contemplation.
-[size=1][font=Times New Roman] [/font][/size]Hoooo….
Le poisson zigzaguait entre les algues. Au loin, une lueur le dévia légèrement vers le haut. La barrière magique n’était pas un lieu de nage. Quatre silhouettes apparurent par-dessous. L’alevin s’enfui au mouvement inattendu. Reformé depuis le courant éthéré, le groupe faisait demi-tour vers la sortie… Ou presque.
Pourquoi se presser quand on n’a jamais vu spectacle pareil ? Le lalafell traina au passage du couloir. Quel était cet étrange poisson jaune et bleu ? Comment cette méduse était devenue si grosse ? Quel âge avait cette tortue ? Combien de feuilles sur cette algue ? Deux, quatre, six, huit…
L’ombre d’un gros requin lui masqua le soleil. Telle une éclipse de mer, l’ombre disparu progressivement avec l’énorme poisson, peut-etre pour faire quelque autre yeux éblouis de ce monde aquatique…
Lerith
Il y a 5 mois et 4 semaines
"Des nouvelles ?
- Non, madame."
Les servantes allaient et venaient à leurs tâches quotidiennes tandis que Kikyo réfléchissait, faisant les cent pas dans le salon. A la question "où est papa ?" elle n'avait pas su mentir, mais Kikyo conserva un visage imperturbable pour n'inquiéter aucun des enfants avant leur départ pour l'école. Son mari n'était pas rentré la nuit dernière et au vu des rumeurs récentes dont elle avait eu vent, elle ne savait s'il fallait s'inquiéter ou non. D'un côté s'il y avait eu un risque, il l'aurait prévenue. Lorsqu'il ne disait rien -et il ne disait jamais rien- c'est qu'il estimait qu'elle n'avait pas à savoir contrairement à Haku et Murasaki certainement informés. La demi-raenne hésitait.
Il faut que j'en ai le cœur net.
Elle prit une profonde inspiration et alluma sa perle. Tant pis pour les remontrances et le fait de passer -encore- pour une imbécile.
" -♪- Ishii-san, Murasaki-san, m'entendez-vous ? Akira-sama n'est pas rentré hier soir. J'ignore si cela a un rapport avec la mort d'Echigoya mais je suis inquiète de n'avoir aucunes nouvelles. Savez-vous où il se trouve ?"
Ce jour-là, personne ne vit Kikyo à l'Escale de Llymlaen. Sa participation au match de dimanche semblait compromise.
Liann
Il y a 5 mois et 4 semaines
Cette dernière mission l'avait galvanisée. À l'origine une simple visite pour aider à mettre en place une expédition future, le simple choix d'aider un marchand à traverser la région sauvage de Thavnair s'était transformé en son premier affrontement en situation réelle. Un réel danger, bien qu'elle fût très bien entourée pour y faire face. À peu de choses près, ce n'était pas Quila, mais elle-même qui finissait dans la gueule du monstre. Tous ces entraînements à la Salle des Novices et son apprentissage en Magie Bleue l'avaient en effet préparée pour ce jour et elle en était fière, aussi simple fut la mission au final. Elle avait su faire bon usage de ses nouveaux sorts à peine encore complètement maîtrisés, et ce détail, il fallait y remédier aussi tôt que possible.
Ce matin, elle s'était éloignée du Grand Œuvre pour perfectionner ces derniers, plus particulièrement la Malédiction de l'eau, car elle savait qu'elle en aurait spécialement besoin plus tard, d'après les dires de monsieur Silius.
Lerith
Il y a 5 mois et 3 semaines
On raconte qu'hier à Kugane, une certaine "Kurusu-tsubone" se serait présentée furieuse devant le quartier général du Sekisegumi, accompagnée d'une servante, pour exiger la libération de son mari soit-disant suspecté de meurtre. Elle s'afficha scandalisée que l'on puisse ainsi porter atteinte à l'honneur d'un marchand honnête, mais qu'en plus nul n'ai daigné prévenir son épouse.
D'abord ignorée puis menacée pour trouble à l'ordre public, la dame n'aura certainement pas risqué d'être emprisonnée à son tour. Néanmoins, ce fut bref mais assez bruyant pour qu'on en retienne le nom.
Et le lendemain en milieu de matinée, elle se présenta à nouveau mais cette fois dans le calme et une discrétion toute relative étant donné qu'elle s'était affichée la veille. Elle demanda simplement à voir son mari et quand serait-il libéré. Et qu'importe la réponse elle reviendrait chaque jour en épouse dévouée qui n'a pas grand autre moyen d'agir... après tout ce n'est qu'une femme.
En Eorzéa, c'est un tout autre ballet. Il semble que madame Kurusu passe plus de temps que d'ordinaire avec Dimitri et Gyoban. Elle est aussi passée voir Ivanhault, après avoir hésité sur la linkperle à le faire venir en orient c'est elle qui s'est déplacée.
D'abord ignorée puis menacée pour trouble à l'ordre public, la dame n'aura certainement pas risqué d'être emprisonnée à son tour. Néanmoins, ce fut bref mais assez bruyant pour qu'on en retienne le nom.
Et le lendemain en milieu de matinée, elle se présenta à nouveau mais cette fois dans le calme et une discrétion toute relative étant donné qu'elle s'était affichée la veille. Elle demanda simplement à voir son mari et quand serait-il libéré. Et qu'importe la réponse elle reviendrait chaque jour en épouse dévouée qui n'a pas grand autre moyen d'agir... après tout ce n'est qu'une femme.
En Eorzéa, c'est un tout autre ballet. Il semble que madame Kurusu passe plus de temps que d'ordinaire avec Dimitri et Gyoban. Elle est aussi passée voir Ivanhault, après avoir hésité sur la linkperle à le faire venir en orient c'est elle qui s'est déplacée.
Lyapaggy
Il y a 5 mois et 3 semaines
Cet après-midi, une caisse a été livrée à l'escale. Il semblerait qu'elle contient de multiple vêtement de sport de couleur chacun différent. Il y en a treize au total ! Une note l'accompagne et est disponible à tout ceux qui le voudraient.
Note pour les tenues de sports
Note pour les tenues de sports
Lyapaggy
Il y a 5 mois et 3 semaines
C'est dans le début de soirée qu'une Lalafelle bien connue de l'Escale entra dans le bâtiment munie de deux livres assez épais pour assommé quelqu'un autant physiquement que psychologiquement. Elle pris la route de l'Enfer afin d'y laisser les livres et repartir ensuite en laissant une petite note à l'accueil de l'endroit.
Pour ceux qui désire se plonger ne ce fut qu'un peu dans les œuvres Nymienne traitant de leur stratégie mise en place lors de la 5ème ère ainsi que la magie qu'ils aient développer afin de ne pas se faire écraser par les légendaires cité d'Amdapor et Mhach, j'ai laissé deux livres de ma collection personnelle qui ne sont normalement adressé qu'à des militaires Nymiens pratiquant leur magie et ayant atteint un certain grade.
Leur ajout est temporaire, néanmoins ce n'est pas une raison pour vous presser et risquer d'abimer ces ouvrages. Ils sont ancien et de par ce fait aussi fragile qu'ils sont précieux, en particulier pour moi.
Voici le titre des deux livres en question, en commençant par le plus petit grade - et donc moins complexe - au grade suivant :
- Traité de magie Nymienne pour Magister
- Traité de magie Nymienne pour Docteur
Soyez précieux.
Hanbei Uranai
Il y a 5 mois et 2 semaines
Au cours de la matinée, la silhouette d'Hanbei pourra être aperçu en train de se diriger vers l'Enfer après s'être arrêté un instant pour lire les nouvelles du jour. Il semblerait que les ouvrages nymiens attisent sa curiosité, y restant toute la journée sans voir le temps passer, plongé dans sa lecture.