Lyapaggy
Il y a 10 mois et 1 semaine
C'était une mission de sauvetage. Son amie qui était incapable d'y aller, trop affaibli, lui avait demander son assistance afin de la remplacer. Et c'était bien sur tout volontairement que la Viera se présenta donc ce soir là afin d'apporter son aide... Et peut-être par coup du destin, celui-ci décida de lui déclencher une crise de narcolepsie peu avant le début des opérations. Elle était peut-être tombée ridiculeusement la tête la première dans la neige, mais au moins elle ne risquais pas d'en avoir une dans les heures qui allaient suivre !
Malgré l'accrochage avec des bêtes lors du trajet, la mission fût mené à bien. Ils retrouvèrent le Miqo'te dans une base servant à un groupuscule Garlemaldais. Cette fois-ci, elle pourra enfin proposer son aide, les aider contrairement à l'autre fois où elle n'avais pas oser... Du moins c'est ce qu'elle avait penser aux premiers abords. Quand elle vit l'état du Miqo'te, une certaine émotion la traversa dans un premier temps.
Elle se concentra sur la tâche de sa libération en usant l'un de ses sorts mage bleu, celui qui a pour objectif d'inciter la colère en supprimant le peur afin de supprimer les verrous physique imposer par l'esprit. Un sort efficace dans certaine situation... Mais dans son cas, c'était plutôt une erreur sur le coup. Les dires des autorités de l'endroit ne faisait qu'envenimer ses sentiments un peu plus, et bien sur, elle finit par agir en accord avec cette colère tout en laissant filtrer des mots durs.
C'est pour cette raison que la Viera préféra quitta la zone finalement, ramenant l'objet de la mission au campement afin qu'il puisse recevoir les soins nécessaire. Elle pu reprendre son calme à mesure que le sort se dissipait... Elle aurait préféré pouvoir user un dialogue différent, plus tôt, mais les choses sont à présent ainsi.
Elle ira s'occuper du Miqo'te comme elle peux durant les prochains jours, dirigeant son esprit vers ce qui est vraiment important..
Malgré l'accrochage avec des bêtes lors du trajet, la mission fût mené à bien. Ils retrouvèrent le Miqo'te dans une base servant à un groupuscule Garlemaldais. Cette fois-ci, elle pourra enfin proposer son aide, les aider contrairement à l'autre fois où elle n'avais pas oser... Du moins c'est ce qu'elle avait penser aux premiers abords. Quand elle vit l'état du Miqo'te, une certaine émotion la traversa dans un premier temps.
Elle se concentra sur la tâche de sa libération en usant l'un de ses sorts mage bleu, celui qui a pour objectif d'inciter la colère en supprimant le peur afin de supprimer les verrous physique imposer par l'esprit. Un sort efficace dans certaine situation... Mais dans son cas, c'était plutôt une erreur sur le coup. Les dires des autorités de l'endroit ne faisait qu'envenimer ses sentiments un peu plus, et bien sur, elle finit par agir en accord avec cette colère tout en laissant filtrer des mots durs.
C'est pour cette raison que la Viera préféra quitta la zone finalement, ramenant l'objet de la mission au campement afin qu'il puisse recevoir les soins nécessaire. Elle pu reprendre son calme à mesure que le sort se dissipait... Elle aurait préféré pouvoir user un dialogue différent, plus tôt, mais les choses sont à présent ainsi.
Elle ira s'occuper du Miqo'te comme elle peux durant les prochains jours, dirigeant son esprit vers ce qui est vraiment important..
Lerith
Il y a 10 mois et 1 semaine
Pour récupérer leur compagnon, ils n'hésitèrent pas à reporter leur retour au pays de quelques jours. Dès qu'ils furent prêts, une équipe de recherche s'élança à la poursuite des ravisseurs, remontant la piste depuis les lieux du drame jusqu'au train déraillé le long de la voie, et plus loin encore jusqu'à une usine de raffinage de céruléum abandonnée en plein milieu du glacier.
Ils ne trouvèrent là-bas que des civils et quelques anciens soldats, tous terrifiés, gelés et affamés mais hélas endoctrinés dans leur crainte et leur haine de l'étranger.
Au final, retrouver Djazah'ir fut moins difficile que de communiquer avec ses ravisseurs, persuadés de pouvoir soigner leur "reine", leur chef, grâce à son ether et à la science garlemaldaise sans avoir recours à l'aide de la délégation qu'ils prenaient pour des envahisseurs. Il n'y avait rien à faire, à part serrer les poings lorsque Ivanhault se porta volontaire pour rester avec eux alors qu'on rapatriait le miqo'te éprouvé à Bris-de-Glace.
Meleth fit de son mieux pour fermer son cœur en vain. Elle ne pourrait ni convaincre, ni aider ceux qui s'opposent à leur seule présence et ce, même si en quittant les lieux elle savait qu'ils se condamnaient à une fin terrible. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était leur apporter autant de vivres et de céruléum qu'elle pourrait en porter de ses seuls bras et les déposer à cinquante mètres de leur refuge, ainsi qu'ils l'exigeaient, espérant que le peu de temps qu'ils gagneraient grâce à son geste leur permettrait de réfléchir et d'en sauver au moins quelques uns.
Il restait tellement à faire ici, mais cela ne dépendait plus d'aventuriers mais d'un peuple devant se reconstruire sur les ruines laissées par des années de mensonges, de conquêtes injustifiées, et la folie de leurs dirigeants. Détourner le regard ne serait pas facile, mais c'était pour le mieux.
Ils ne trouvèrent là-bas que des civils et quelques anciens soldats, tous terrifiés, gelés et affamés mais hélas endoctrinés dans leur crainte et leur haine de l'étranger.
Au final, retrouver Djazah'ir fut moins difficile que de communiquer avec ses ravisseurs, persuadés de pouvoir soigner leur "reine", leur chef, grâce à son ether et à la science garlemaldaise sans avoir recours à l'aide de la délégation qu'ils prenaient pour des envahisseurs. Il n'y avait rien à faire, à part serrer les poings lorsque Ivanhault se porta volontaire pour rester avec eux alors qu'on rapatriait le miqo'te éprouvé à Bris-de-Glace.
Meleth fit de son mieux pour fermer son cœur en vain. Elle ne pourrait ni convaincre, ni aider ceux qui s'opposent à leur seule présence et ce, même si en quittant les lieux elle savait qu'ils se condamnaient à une fin terrible. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était leur apporter autant de vivres et de céruléum qu'elle pourrait en porter de ses seuls bras et les déposer à cinquante mètres de leur refuge, ainsi qu'ils l'exigeaient, espérant que le peu de temps qu'ils gagneraient grâce à son geste leur permettrait de réfléchir et d'en sauver au moins quelques uns.
Il restait tellement à faire ici, mais cela ne dépendait plus d'aventuriers mais d'un peuple devant se reconstruire sur les ruines laissées par des années de mensonges, de conquêtes injustifiées, et la folie de leurs dirigeants. Détourner le regard ne serait pas facile, mais c'était pour le mieux.
"Tant que nous serons là, de toute façon, ils ne bougeront pas."
Ivanhault
Il y a 10 mois et 1 semaine
Ivanhault était resté, évidemment. Qu'aurait-on pu attendre d'autre de lui ? Les recherches du médecin arrogant qui régnait sur cette foule miséreuse se trouvaient de manière fortuite faire écho aux siennes et Ivanhault devait prendre sur lui pour ne pas mentalement considérer comme imbécile toute tentative de remédier à la subjugation sans accepter d'utiliser les méthodes déjà éprouvées par l'Alliance. Il manquait à ces gens un porxie, un mage, mais plus généralement des soins médicaux et des vivres que le reste de l'équipe avait bien voulu acheminer une fois Djazah'ir ramené à bon port.
Certains de ces gens avaient débuté une mutation mais leur tête était claire, la conséquence inédite de soins de masse prodigués par l'alliance sur des garlemaldais qui avaient ensuite pris la fuite quand ils avaient réalisé que les modifications physiques ne pouvaient être effacées par la magie. Dans les cages plantées au fond de cette cour des miracles, Ivanhault apercevait l'ombre de ce qu'ils appelaient "des bêtes", des subjugués que l'on pouvait encore sauver mais qu'il ne pouvait tous désenvoûter seul. Le médecin avait trouvé le moyen de les rendre plus enragés ; il essayait pourtant de sauver ceux qui pouvaient être sauvés. Un exemple typique de dichotomie garlemaldaise irréconciliable. Ivanhault se méfiait d'ailleurs de la prétendue "Reine" qui semblait avoir perdu tout sens commun et humain et ne pas se soucier de l'influence qu'elle exerçait sur des gens que l'on pouvait encore totalement sauver, contrairement à elle, déjà à demi transformée.
Malgré tout, il resta. En restant assurer sa sécurité, Rei les rendait tous deux intouchables, la seule raison qui avait pu empêcher Djazah'ir de se sortir seul de cet endroit mal sécurisé empli de civils, c'était son inaptitude naturelle à se battre mais rien ni personne ici n'avait la capacité d'empêcher deux combattants éprouvés et capables de manipuler l'éther d'aller et venir comme ils le désiraient. Un statu quo déplaisant qu'il devrait bien faire basculer un jour ou l'autre, soit en se retirant, soit en les forçant à accepter leur aide. Ivanhault ne prendrait pas cette décision avant d'avoir consulté l'opinion de Silius.
Certains de ces gens avaient débuté une mutation mais leur tête était claire, la conséquence inédite de soins de masse prodigués par l'alliance sur des garlemaldais qui avaient ensuite pris la fuite quand ils avaient réalisé que les modifications physiques ne pouvaient être effacées par la magie. Dans les cages plantées au fond de cette cour des miracles, Ivanhault apercevait l'ombre de ce qu'ils appelaient "des bêtes", des subjugués que l'on pouvait encore sauver mais qu'il ne pouvait tous désenvoûter seul. Le médecin avait trouvé le moyen de les rendre plus enragés ; il essayait pourtant de sauver ceux qui pouvaient être sauvés. Un exemple typique de dichotomie garlemaldaise irréconciliable. Ivanhault se méfiait d'ailleurs de la prétendue "Reine" qui semblait avoir perdu tout sens commun et humain et ne pas se soucier de l'influence qu'elle exerçait sur des gens que l'on pouvait encore totalement sauver, contrairement à elle, déjà à demi transformée.
Malgré tout, il resta. En restant assurer sa sécurité, Rei les rendait tous deux intouchables, la seule raison qui avait pu empêcher Djazah'ir de se sortir seul de cet endroit mal sécurisé empli de civils, c'était son inaptitude naturelle à se battre mais rien ni personne ici n'avait la capacité d'empêcher deux combattants éprouvés et capables de manipuler l'éther d'aller et venir comme ils le désiraient. Un statu quo déplaisant qu'il devrait bien faire basculer un jour ou l'autre, soit en se retirant, soit en les forçant à accepter leur aide. Ivanhault ne prendrait pas cette décision avant d'avoir consulté l'opinion de Silius.
Lerith
Il y a 10 mois et 1 semaine
Les sacs sur l'épaule et les muscles encore endoloris, l'équipage s'était préparé à quitter Bris-de-Glace dès le lendemain, maintenant qu'ils étaient au complet. Elle les voyait tous épuisés, physiquement et moralement, suite à leurs dernières péripéties dans la capitale impériale, puis leur recherches de Djazah'ir enlevé par des fanatiques pensant pouvoir guérir la subjugation par leurs propres méthodes "scientifiques". Difficile de croire à ces bonnes nouvelles quand les opérations de soutient à l'assaut sur la Tour de Babil avaient à ce point viré au carnage.
"Nous en avons terminé ici. Les principaux camps de réfugiés sont hors de danger et on nous apprend que partout dans le monde, les tours de l'apocalypse ont disparu."
Ce froid mordant allait finir par avoir raison de leurs dernières forces, aussi volontaires soient-ils, il était temps de rentrer chez eux. Seul Silius avait encore à faire ici, mais il s'obstinait à vouloir régler ses problèmes sans l'aide de personne. L'association Opale resterait aussi encore un moment, les besoins humanitaires n'allaient pas s'arrêter du jour au lendemain et il viendrait surement de nouvelles missions dans le futur.
"On lève le camp, aller."
Le retour fut calme. Ceux qui n'avaient pas opté pour l'ethérite purent profiter des cieux cléments au-dessus de l'Aldenard jusqu'à ce qu'enfin l'Eternal amerrisse au large de la Noscea pour finalement rentrer au port de Limsa Lominsa.
Le repos durerait au moins une semaine, un minimum pour récupérer des dernières semaines, mais à leur arrivée une autre nouvelle -ou plutôt rumeur- circulant dans les rues de la Camelotade et le long des jetées acheva de les convaincre : Le Guerrier de la Lumière se trouvait sur la Lune où il avait probablement vaincu un primordial très ancien nommé Zordiarche. Sa victoire était très certainement la cause de la disparition des tours, et la fin de la menace apocalypse.
"... Je crois que nous avons tous besoin d'aller dormir..."
"Nous en avons terminé ici. Les principaux camps de réfugiés sont hors de danger et on nous apprend que partout dans le monde, les tours de l'apocalypse ont disparu."
Ce froid mordant allait finir par avoir raison de leurs dernières forces, aussi volontaires soient-ils, il était temps de rentrer chez eux. Seul Silius avait encore à faire ici, mais il s'obstinait à vouloir régler ses problèmes sans l'aide de personne. L'association Opale resterait aussi encore un moment, les besoins humanitaires n'allaient pas s'arrêter du jour au lendemain et il viendrait surement de nouvelles missions dans le futur.
"On lève le camp, aller."
Le retour fut calme. Ceux qui n'avaient pas opté pour l'ethérite purent profiter des cieux cléments au-dessus de l'Aldenard jusqu'à ce qu'enfin l'Eternal amerrisse au large de la Noscea pour finalement rentrer au port de Limsa Lominsa.
Le repos durerait au moins une semaine, un minimum pour récupérer des dernières semaines, mais à leur arrivée une autre nouvelle -ou plutôt rumeur- circulant dans les rues de la Camelotade et le long des jetées acheva de les convaincre : Le Guerrier de la Lumière se trouvait sur la Lune où il avait probablement vaincu un primordial très ancien nommé Zordiarche. Sa victoire était très certainement la cause de la disparition des tours, et la fin de la menace apocalypse.
"... Je crois que nous avons tous besoin d'aller dormir..."
FIN DU CHAPITRE II
Lerith
Il y a 10 mois et 1 semaine
Ils n'étaient pas rentrés depuis plus de quarante-huit heures que le courrier apporté, comme chaque matin au capitaine, souleva l'enthousiasme du peu de personnes réveillées au sein de l'Escale de Llymlaen. Ils profitaient pourtant de leurs premiers jours d'un repos bien mérité, et voilà qu'une lettre portant le sigle de l'académie de Sharlayan s'invite aux discussions paisibles sur leur prochain voyage...
Après avoir été lue une première fois par le capitaine -et ceux qui se trouvaient là- celle-ci fut épinglée au tableau de bord, ainsi qu'une autre moins formelle venus de Keanu.
Après avoir été lue une première fois par le capitaine -et ceux qui se trouvaient là- celle-ci fut épinglée au tableau de bord, ainsi qu'une autre moins formelle venus de Keanu.
Capitaine Kurusu,
Je tiens à vous présenter mes excuses pour ne pas vous avoir accueilli comme il se doit l'autre jour. Comprenez qu'en ce moment-même divers travaux me retiennent et je me vois dans l'impossibilité de quitter mon lieu de travail. Néanmoins, Léontine m'a fait parvenir votre message et à mon tour je trépigne de faire la connaissance de votre équipage depuis que nous avons reçu vos écrits concernant le chantier naval nymien.
Voyez-vous, ces études concordent avec mes propres recherches sur la légende d'une antique frégate dont l'épave se trouverait quelque part le long des côtes d'Uznair.
Je ne peux hélas pas remonter pour vous en parler moi-même mais j'ai transmis à mon assistante tout ce qui pourrait vous être utile. Si cela s'avère vrai, alors nous avons tout à gagner vous et moi à résoudre un tel mystère ensemble. Une telle machinerie autonome dotée de sa propre conscience pourrait s'avérer cruciale, plus que vous ne l'imaginez.
Vous trouverez ci-joint une autorisation de séjour permanente pour vous et votre équipage le temps de ces travaux, qui doivent commencer au plus tôt. Léontine s'occupera du reste.
A très bientôt, je l'espère.
Pr. Emile Blacke
Une petite lettre pour te donner un peu de mes nouvelles et secrètement espérer des tiennes, aussi bonnes qu'elles puissent être.
Je suis très peu habituée à écrire, mais je profite d'un calme coucher de soleil, et voilà un petit temps que je suis partie maintenant.
Keanu est relativement calme. Disons plutôt que comparé au Souk, l'attrait n'est clairement pas le même. Les habitants se sont très vite habitué à ma présence, certains sont même devenu accro à Kieran, et se portent volontaires pour s'occuper de lui. Je vais finir par leur laisser une journée à force. Plutôt une après midi. Je vais continuer d'y réfléchir en fait.
Je continue toujours à découvrir des spécialités culinaires, et la pêche a fini par prendre une part importante de mon occupation en plus de mes entrainements quotidiens.
Ici le vent souffle un peu en ce moment, Akame et son zu sont là quelques jours. Elle ne va pas tarder à partir en direction de Garlemald.
En parlant de Garlemald, des rumeurs me parviennent lors de mes passages au Souk. Des opérations seraient apparemment en cours, et je ne serais pas étonnée si j’apprenais votre présence là bas.
Je ne peux m’empêcher de m'inquiéter un peu, quant à ce que j'entends de la situation. J'espère que vous allez tous bien, soyez prudents surtout.
Je vois Akame et Kieran qui reviennent, mon écriture touche à la fin.
Mes pensées vont à tout l'équipage,
A très vite
Oyuun
Le soir-même, il fut décidé qu'ils partiraient dès le lendemain pour la Vieille Sharlayan, avec l'Eternal et l'équipage au complet. ils profiteraient de ces quelques jours de repos avec la satisfaction d'avoir atteint leur objectif, en visitant cette ville dont ils avaient tant œuvré à ouvrir les portes pour eux. Grâce aux accréditations fournies par le professeur Blacke, ils allaient pouvoir bénéficier du statut de chercheurs au département d'histoire et légendes de l'académie le temps des travaux d'étude sur les cinq navires nymiens, un temps indéterminé donc, une opportunité à saisir !
Une longue journée de navigation rythmée par l'impatience s'annonçait, y compris pour les enfants du capitaine dont la petite Kimiko avait hâte de retrouver sa jeune camarade aux peluches enchantées.
Une longue journée de navigation rythmée par l'impatience s'annonçait, y compris pour les enfants du capitaine dont la petite Kimiko avait hâte de retrouver sa jeune camarade aux peluches enchantées.
Lerith
Il y a 10 mois et 1 semaine
Au moment du départ, Meleth arriva avec les derniers, sac sur l'épaule et... sans Noah. Depuis leur retour de Garlemald, l'ex-gardien d'Esthar avait complètement disparu de la circulation, déjà qu'il était du genre discret avant...
Une journée de navigation, dans le calme et pour certains l'enthousiasme. Les trois enfants Kurusu bien installés dans la cabine du capitaine avaient emporté leur jouet favoris, et Kimiko son chapeau offert par Ivanhault qu'elle avait vissé sur sa tête à tel point qu'il retombait sur ses yeux.
Il faisait froid, au large, contrairement au littoral noscéen, et plus ils montaient vers le Nord plus ce froid s'imposait. Mais après tout ce temps passé à Garlemald, ce climat paraissait presque doux pour tout le monde.
Il y avait tout de même une autre viéra à bord lors de ce voyage. Milah, bien connue de l'équipage, allait faire la traversée avec eux avant de passer par le traditionnel entretient avec les officiers.
Une journée de navigation, dans le calme et pour certains l'enthousiasme. Les trois enfants Kurusu bien installés dans la cabine du capitaine avaient emporté leur jouet favoris, et Kimiko son chapeau offert par Ivanhault qu'elle avait vissé sur sa tête à tel point qu'il retombait sur ses yeux.
Il faisait froid, au large, contrairement au littoral noscéen, et plus ils montaient vers le Nord plus ce froid s'imposait. Mais après tout ce temps passé à Garlemald, ce climat paraissait presque doux pour tout le monde.
Il y avait tout de même une autre viéra à bord lors de ce voyage. Milah, bien connue de l'équipage, allait faire la traversée avec eux avant de passer par le traditionnel entretient avec les officiers.
Un voyage tranquille, en somme.
"Nous arriverons à Sharlayan demain matin."
"Nous arriverons à Sharlayan demain matin."
Lerith
Il y a 10 mois et 1 semaine
"Vous devriez monter voir ça."
Il était tôt ce matin là, lorsque les côtes de la Vieille Sharlayan furent aperçues depuis le pont de l'Eternal. La gigantesque statue de Thaliak baignée de soleil déversait l'eau de son amphore dans la mer, donnant une sensation de froid lorsque le navire passa tout près sans que personne ne s'en plaigne. La plupart d'entre eux voyaient cette cité pour la première fois, et le paysage était à la hauteur de ce qu'ils avaient sans doute imaginé.
Amarré en bout de jetée, à l'écart des imposants navires de transport, l'Eternal ne faisait pas l'objet de la même attention qu'au Souk loin de là, bien que sur le port certains regards curieux et intéressés se levèrent dans sa direction. Mais en dehors de ces quelques érudits sans doute renseignés sur le sujet, personne d'autre ici ne pouvait reconnaitre le pavillon ailé flottant au sommet du mat principal, ni les voiles en fibre ethérée portant le symbole de Llymlaen.
Par contre, le comité d'accueil n'a pas manqué. Dès leur descente du navire un employé des douanes les attendait de pied ferme, calepin sous le bras.
Il était tôt ce matin là, lorsque les côtes de la Vieille Sharlayan furent aperçues depuis le pont de l'Eternal. La gigantesque statue de Thaliak baignée de soleil déversait l'eau de son amphore dans la mer, donnant une sensation de froid lorsque le navire passa tout près sans que personne ne s'en plaigne. La plupart d'entre eux voyaient cette cité pour la première fois, et le paysage était à la hauteur de ce qu'ils avaient sans doute imaginé.
Amarré en bout de jetée, à l'écart des imposants navires de transport, l'Eternal ne faisait pas l'objet de la même attention qu'au Souk loin de là, bien que sur le port certains regards curieux et intéressés se levèrent dans sa direction. Mais en dehors de ces quelques érudits sans doute renseignés sur le sujet, personne d'autre ici ne pouvait reconnaitre le pavillon ailé flottant au sommet du mat principal, ni les voiles en fibre ethérée portant le symbole de Llymlaen.
Par contre, le comité d'accueil n'a pas manqué. Dès leur descente du navire un employé des douanes les attendait de pied ferme, calepin sous le bras.
"Bienvenue à Sharlayan. Veuillez me suivre au comptoir d'enregistrement."
Hotaru aura été la grande absente du voyage, on aura pu l'apercevoir au moment du départ en train d'installer les enfants Kurusu dans la cabine du Capitaine, s'assurant qu'ils ne manquent de rien pour le voyage avant de s'éclipser discrètement, le visage impassible, un pli sérieux barrant son visage. Aucun mot, aucun regard ne sera échangé de la part de la raenne vers le reste de l'équipage, une attitude qui ne lui est guère familière. La jeune femme semble avoir pris ses distances avec ce qu'elle nomme pourtant "sa tribu" depuis le début des événements ayant impliqué la cité de Garlemald.
Pourtant, contre toute attente, quelques jours plus tard, une petite silhouette diaphane se présentera d'un air assuré à la demeure de Dandelion et ne manquera pas d'aller immédiatement se présenter au capitaine avec lequel elle s'enfermera un bon moment.
Pourtant, contre toute attente, quelques jours plus tard, une petite silhouette diaphane se présentera d'un air assuré à la demeure de Dandelion et ne manquera pas d'aller immédiatement se présenter au capitaine avec lequel elle s'enfermera un bon moment.
Valorius a suivi le Capitaine, silencieux et poli face à leurs hôtes, s'éclipsant dès que possible pour aller visiter la ville. Sa haute silhouette revêtue d'une sobre et élégante robe vert foncé a été vue dans les rayons de la bibliothèque du Noumène, puis au soir venu sur le quai du port, où il s'est longuement entretenu avec Kikyo.
Le second jour, le mage s'est rendu à l'Académie, désireux d'en apprendre davantage sur les recherches conduites en ces lieux. Il a demandé à rencontrer les orfèvres installés dans l'aile des Artisans.
Valorius semble totalement absorbé dans ce séjour studieux, se faisant aussi discret qu'une ombre.
Le second jour, le mage s'est rendu à l'Académie, désireux d'en apprendre davantage sur les recherches conduites en ces lieux. Il a demandé à rencontrer les orfèvres installés dans l'aile des Artisans.
Valorius semble totalement absorbé dans ce séjour studieux, se faisant aussi discret qu'une ombre.
Lyapaggy
Il y a 10 mois et 1 semaine
Sharlayan, la cité du savoir. Là où tout les mystères du monde sont rechercher et ensuite mis à nu. Qu'ils courent dans leur recoin sombre à se caché de la vérité, car ces territoires ne resterons pas longtemps hors de la vue des chercheurs de la cité.
C'était vers cette destination que Milah avait embarquer sur le navire en direction de la fameuse citée. Après avoir embarquée, elle avait passer la majorité de son temps sur le pont, a coudre rêveusement ce qui ressemblais à des moufles d'oreilles adapter pour les Vieras, et d'autres pour des Ao ras jusqu'à se retrouver à court de matière première.
Après quoi, elle finit simplement par passer le reste de la période sombre d'un nyctémère à observer l'horizon pensivement... Et parfois s'endormir sans crier gare pour se réveiller plus tard dans un grand bâillement confus.
Et puis au petit matin, la voilà qui s'approchait à l'horizon, la cité, destination de l'équipage. La voilà enfin... Cet endroit dont elle avait tant souvent parler.
Et encore plus loin, sur la quai, une jeune Lalafelle, vêtue de ses atours d'académicienne remuait les bras tandis qu'elle essayait de faire signe à ceux sur le pont qui pouvaient la voir.
C'était vers cette destination que Milah avait embarquer sur le navire en direction de la fameuse citée. Après avoir embarquée, elle avait passer la majorité de son temps sur le pont, a coudre rêveusement ce qui ressemblais à des moufles d'oreilles adapter pour les Vieras, et d'autres pour des Ao ras jusqu'à se retrouver à court de matière première.
Après quoi, elle finit simplement par passer le reste de la période sombre d'un nyctémère à observer l'horizon pensivement... Et parfois s'endormir sans crier gare pour se réveiller plus tard dans un grand bâillement confus.
Et puis au petit matin, la voilà qui s'approchait à l'horizon, la cité, destination de l'équipage. La voilà enfin... Cet endroit dont elle avait tant souvent parler.
Et encore plus loin, sur la quai, une jeune Lalafelle, vêtue de ses atours d'académicienne remuait les bras tandis qu'elle essayait de faire signe à ceux sur le pont qui pouvaient la voir.
Lerith
Il y a 10 mois et 1 semaine
Jusqu'à Sharlayan, les mog postiers parviennent à vous trouver ! Une petite lettre dans une enveloppe de qualité médiocre mais sur laquelle on aura dessiné des fleurs tropicales multicolores afin de la rendre plus jolie, a été épinglée ce matin au tableau de bord à l'attention de tout l'équipage.
Bonjour à vous mes amis,
Voici bien des lunes que vous avez posé le pied sur notre île, et vous pouvez être rassurés vos affaires mises en sécurité sont entre de bonnes mains. Oyuun et son bébé s'intègrent bien ici, elle veille sur votre village autant que sur le notre.
Elle nous a dit ce que vous avez fait pour les garlemaldais, et vous devez savoir qu'au Souk on parle de vous chaque fois que des nouvelles nous arrivent du vaste monde qui me parait si loin. On dit que les tours de l'apocalypse ont disparu et bien que nous n'en ayons jamais vu ici vous n'imaginez pas le soulagement que nous avons tous ressenti dans notre quotidien sachant que notre bel archipel n'est plus menacé. Et vous savez quoi ? pour fêter cela, Mamie Laura a invité tout le monde à venir festoyer sur l'île aux fleurs pour célébrer l'évènement. Il y aura un grand banquet, des feux d'artifice, et Hassim dit qu'il aura une annonce à faire, très importante ! Il ne faut pas que vous ratiez ça, pas vrai ?
Vous êtes tous invités, le troisième soleil de Menphina au coucher du soleil. J'espère que vous serez là !
A bientôt mes amis,
Ahiahi Ahi
Par le fruit du hasard, ce matin-là un papier de l'Académie était arrivé au manoir Dandelion à l'attention de l'équipage de l'Eternal. Léontine était remontée du Labyrinthos avec tous les documents nécessaires qu'elle se ferait une joie de transmettre en personne, aujourd'hui ou demain.
Lerith
Il y a 10 mois et 1 semaine
Ce matin-là, rien ne laissait présager que cette journée marquerait un bouleversement dans la vie de tant de personnes. Chacun vaquait à ses occupations, visitant toujours la ville ou profitant du repos à la manière qui leur plaisait en attendant le départ vers une nouvelle aventure.
Et soudain, les coursiers descendus des rostres filaient à toute allure dans les rues et partout sur les murs ont affichait l'invitation aux citoyens à se rendre aux Rostres pour une annonce prochaine du conseil.
Bien que n'étant pas sharlayanais, certains membres de l'équipage, curieux, se rendirent tout de même sur place. Ils n'étaient pas préparé à ce qui allait suivre...
Et soudain, les coursiers descendus des rostres filaient à toute allure dans les rues et partout sur les murs ont affichait l'invitation aux citoyens à se rendre aux Rostres pour une annonce prochaine du conseil.
Bien que n'étant pas sharlayanais, certains membres de l'équipage, curieux, se rendirent tout de même sur place. Ils n'étaient pas préparé à ce qui allait suivre...
Spoiler : cliquez pour afficher
On peut dire que la nouvelle fut déconcertante, et ce jour-là Sharlayan fut animée de conversations sur le même sujet où que l'on soit dans la cité.
Pour les plus pragmatiques, le fait que Sharlayan fasse une telle annonce après l'emploi d'un tel sortilège pour les forcer à garder le secret avait de l'importance et la menace n'était certainement pas surestimée bien qu'ils en donnent peu de détails. Très vite le Noumène se retrouva envahis de chercheurs et curieux venant s'arracher les livres sur les anciennes prophéties et tout ce qui traite au sujet de la fin du monde.
Pour d'autres la simple idée de quitter, non pas un pays mais toute une planète était totalement insensé et malgré la fibre exploratrice qui pouvait leur donner l'envie, d'un côté, d'explorer un monde au-delà de tout ce qu'ils avaient pu imaginer (la lune, tout de même !), l'humour de certains membres de l'Eternal cachait bien mal leur malaise. Sans parler des patriotes tels que Kikyo et Kyuuji pour qui la simple idée d'abandonner Doma, son histoire, leur terre... alors que tout semble aller bien autour d'eux... quelle histoire !
Le seul qui n'avait plus rien à perdre et semblait s'en détacher était encore Silius, toujours plongé dans sa dépression mais qui lui en voudrait après ce qu'ils avaient vu à Garlemald...
Pour les plus pragmatiques, le fait que Sharlayan fasse une telle annonce après l'emploi d'un tel sortilège pour les forcer à garder le secret avait de l'importance et la menace n'était certainement pas surestimée bien qu'ils en donnent peu de détails. Très vite le Noumène se retrouva envahis de chercheurs et curieux venant s'arracher les livres sur les anciennes prophéties et tout ce qui traite au sujet de la fin du monde.
Pour d'autres la simple idée de quitter, non pas un pays mais toute une planète était totalement insensé et malgré la fibre exploratrice qui pouvait leur donner l'envie, d'un côté, d'explorer un monde au-delà de tout ce qu'ils avaient pu imaginer (la lune, tout de même !), l'humour de certains membres de l'Eternal cachait bien mal leur malaise. Sans parler des patriotes tels que Kikyo et Kyuuji pour qui la simple idée d'abandonner Doma, son histoire, leur terre... alors que tout semble aller bien autour d'eux... quelle histoire !
Le seul qui n'avait plus rien à perdre et semblait s'en détacher était encore Silius, toujours plongé dans sa dépression mais qui lui en voudrait après ce qu'ils avaient vu à Garlemald...
Fort heureusement, l'idée d'une future expédition parvint à apaiser les tourments des plus nerveux. Après tout, s'il fallait organiser l'exode de toute la population d'une planète, cela prendrait surement plusieurs lunes et les informations viendraient en temps voulu. Ils firent la connaissance de Léontine Libèle, l'assistante du professeur Blacke venu leur remettre les documents à propos de l'épave du Pandora. |
Elle les renseigna d'abord sur le départ d'Histoire et Légendes, aussi appellé le "département des mystères" car plus que des faits avérés rationnels, le professeur Blacke et ses collègues se passionnent pour les "petites histoires" dans l'histoire, les rumeurs, les contes et tout le folklore connu et méconnu que personne n'a jamais pu prouver et dont le travail est justement de chercher où se cache la vérité dans ces histoires.
Il y a quelques temps maintenant, le professeur Blacke s'était subitement pris d'intérêt pour les légendes traitant de navires ou tout autre moyen de transport surnaturel, technologie ancienne, ce genre de choses. Au vu des annonces de la journée, et puisqu'il n'est pas un secret que le professeur était encore retenu au Labyrinthos, le lien de cause à effet fut vite établi. Si Sharlayan mettait au point un vaisseau capable de transporter des populations entières sur la lune, rechercher des techniques et des idées dans les antiques légendes ne devait pas leur paraître superflus.
Le Pandora apparait dans plusieurs légendes du folklore thavnairois, toujours associé aux mythiques canaux perdus d'Uznair et à ses trésors cachés. Les histoires en elles-même n'avaient rien de particulier, sans doute l’invention de bardes au fils des siècles, qui chacun s'étaient appropriés le mythe pour leurs propres contes. Mais certains détails se recoupaient : Toujours les canaux perdus d'Uznair et ses richesses, toujours un navire submersible capable de plonger sous la surface de la mer, et toujours un naufrage à la fin.
Le département avait également pris soin d'étudier la carte et de tracer un périmètre de recherches à l'entrée du bras de mer séparant l'île de Thavnair de sa petite sœur, en prenant compte des récifs, des courants marins et de la météo justifiant le lieu cohérent d'un naufrage.
Concrètement, il n'y avait plus qu'à préparer le matériel, prendre le temps de se renseigner sur les lieux et les populations locales, et ensuite se mettre en route. Qui refuserait ?
Mais avant de mettre un terme à leur semaine de "congés", ils étaient invités à ce banquet par leurs amis de l'Archipel Paradis. Ils se rendraient donc sur l'île aux Fleurs dans les prochaines heures afin d'arriver le lendemain soir, à temps pour les réjouissances et sur la consigne du capitaine, ils attendraient la fin des festivités pour expliquer aux chefs ce que le conseil de Sharlayan avait annoncé.
Il y a quelques temps maintenant, le professeur Blacke s'était subitement pris d'intérêt pour les légendes traitant de navires ou tout autre moyen de transport surnaturel, technologie ancienne, ce genre de choses. Au vu des annonces de la journée, et puisqu'il n'est pas un secret que le professeur était encore retenu au Labyrinthos, le lien de cause à effet fut vite établi. Si Sharlayan mettait au point un vaisseau capable de transporter des populations entières sur la lune, rechercher des techniques et des idées dans les antiques légendes ne devait pas leur paraître superflus.
Le Pandora apparait dans plusieurs légendes du folklore thavnairois, toujours associé aux mythiques canaux perdus d'Uznair et à ses trésors cachés. Les histoires en elles-même n'avaient rien de particulier, sans doute l’invention de bardes au fils des siècles, qui chacun s'étaient appropriés le mythe pour leurs propres contes. Mais certains détails se recoupaient : Toujours les canaux perdus d'Uznair et ses richesses, toujours un navire submersible capable de plonger sous la surface de la mer, et toujours un naufrage à la fin.
Le département avait également pris soin d'étudier la carte et de tracer un périmètre de recherches à l'entrée du bras de mer séparant l'île de Thavnair de sa petite sœur, en prenant compte des récifs, des courants marins et de la météo justifiant le lieu cohérent d'un naufrage.
Concrètement, il n'y avait plus qu'à préparer le matériel, prendre le temps de se renseigner sur les lieux et les populations locales, et ensuite se mettre en route. Qui refuserait ?
Mais avant de mettre un terme à leur semaine de "congés", ils étaient invités à ce banquet par leurs amis de l'Archipel Paradis. Ils se rendraient donc sur l'île aux Fleurs dans les prochaines heures afin d'arriver le lendemain soir, à temps pour les réjouissances et sur la consigne du capitaine, ils attendraient la fin des festivités pour expliquer aux chefs ce que le conseil de Sharlayan avait annoncé.
Inutile de gâcher la fête...
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