Au coeur de la montagne

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Mahruvvet Il y a 7 mois et 2 jours
Mahruvvet était boudeuse. Mahruvvet était craintive. Mais surtout, Mahruvvet était une tête de cochon. Elle avait décidé de ne plus mettre un pied sur l'Eternal et elle allait s'y tenir. Elle s'était préparée en amont, elle avait prévenu Kyuuji.

Nous partirons de Doma en faucon pour rejoindre les montagnes de la Queue en survolant les steppes.

Elle avait atteint Doma. Par chance, elle s'était harmonisée avec plusieurs ethérites là-bas. Il lui fallait généralement une journée pour se remettre totalement du choc d'une téléportation si éloignée. Journée qui fut prise, à discuter avec les locaux. Elle connaissait assez de mots dans la langue locale pour louer une chambre, ou trouver un toit où l'abriter. Ce qu'elle fit : l'Eternal prendrait plusieurs Soleils pour rejoindre le village, elle avait bien le temps pour au moins une nuit de sommeil.

Le lendemain, il était temps : trouver le Faucon. Probablement un dirigeable comme Akira possédait. Elle ne savait pas ce qu'était un "faucon", mais cela lui semblait gracieux et sûr. Ainsi, elle demanda où embarquer pour le Faucon à un passant, qui confus lui montra rapidement le fauconnier local, au plus grand déplaisir de la cambrioleuse. Elle avait peur des chocobos qu'elle voyait au quotidien, ce nouvel oiseau gigantesque inconnu la terrifiait. Elle l'imaginait planter ses serres dans ses yeux, se repaître de ses entrailles. Pendant un instant, une minute d'hésitation, elle allait demander à ses camarades de faire un arrêt pour la récupérer. Mais plus grand qu'un faucon, plus démesuré qu'un chocobo : il y avait l'égo de Mahruvvet. 

Confuse et déçue, elle s'avança vers le fauconnier, elle lança une discussion. 

- Mes plus belles salutations, j'aimerais me rendre à la Queue de la Montagne ? 
- ... et où désirez-vous vous rendre ?
- Hé bien, jeune homme, au village de... accordez-moi un instant. 

Elle ne savait pas. Elle n'avait pas pensé à demander. 

Par toutes les divinités, d'ici et d'ailleurs. Je suis stupide quand je suis en colère. 

Par chance, la hannoise savait mener une enquête. Et après tout, n'était-ce pas une enquête ? Que savait-elle ? C'était un village. Il y avait un temple. Kyuuji Amani en était originaire. Ce serait suffisant. Durant deux cloches, elle prospecta auprès de villageois et de prêtres, jusqu'à finalement obtenir le nom d'un village qui semblait en accord avec les informations qu'elle possédait : Kiyomura.

Revenant au maître de vol, elle lui sourit, et fièrement, les poings sur les hanches elle annonça : 

- Je vais Kyomura. 
- ... Kiki peut vous emmener. Il vient de là-bas.
- Kiki !?
- C'est ma petite fille qui a choisi... 
- Gardez vos rapaces, bel homme ! J'y vais à pied ! 
- Il faut traverser les plaines et grimper. 
- Je sais grimper ! Je sais traverser les plaines ! 

Regardant l'assez faiblarde raenne de haut en bas, il se contenta de répondre un simple "Vous allez mourir.". Aussi sûre d'elle qu'elle pouvait être, Mahruvvet savait qu'en effet, elle n'était pas taillée ni pour les plaines, ni pour l'escalade sauvage. Elle chopa alors les manches du vendeur, se mit à verser de grosses larmes renifleuses. 

- Accompagnez-moi ! Vous dirigerez l'oiseau.
- Étrangère, ma fille étudie l'occultisme à Uldah. Je connais cette technique. Je n'accompagne pas les clients... 

Victime du mondialisme. Elle allait donc monter ce titanesque piaf. Plus effrayée par l'animal que par la hauteur, elle n'était pas à l'aise. Chaque sursaut, chaque mouvement imprévisible de l'animal la mettait dans un état de panique assez poussé. Et pourtant, c'est en vie que "Kiki" la mena sur place. 

Elle y était, dans le village de Kyuuji.
Mimina Il y a 7 mois et 2 jours
Un nouveau voyage en Orient. Mimina avait accepté l'offre de Meleth une nouvelle fois profitant ainsi de pouvoir aller verifier l'évolution de la dépollution du village de Kiyomura  dont sa compagnie était responsable. Décidément, elle suivait son amie dans ses expéditions de plus en plus se disait elle. Mais pour elle, ce voyage la ramenait a nouveau proche d'un lieu qui lui était cher. Le climat lui rappelait Kunamaï et elle passait son temps a lorgner dans la direction lointaine du village, songeuse.

Pour cette expédition, la Lalafell ne savait rien de plus qu'il était question d'une exploration. Elle en profiterait simplement pour étoffer ses recherches sur la faune et la flore de cette chaine de montagne. Elle avait prévu, en plus du matériel requis, son matériel d'echantillonnage, des livres sur la région et sa cantine cadenasée contenant son materiel d'exploration et de speléologie.
Ivanhault Il y a 7 mois et 2 jours
Au premier chant des réveille-matin de la compagnie, puisque le soleil ne brillait point si profondément sous terre, un étrange réseau cabalistique avait été placé autour de l'endroit que G'rhika avait élit pour coin de repos. Placées alors que tout le monde dormait à poings fermés et vraisemblablement, entre deux relèves de garde, nul ne pouvait dire d'où provenaient toutes ces pelotes de laines colorées joyeusement déroulées pêle-mêle alentours du sac de couchage du miqo'te, mais les plus anciens auraient forcément leur idée sur la question.

De plus, on avait délicatement déposé non loin de son paquetage, une petite jatte pleine de délicieux lait.
Ana Il y a 7 mois et 2 jours
Avec nos maigres réserves, je savais qu'il était temps de faire preuve de créativité avec les ingrédients que nous avions à disposition.

J'ai fouillé parmi les légumes et les herbes que nous avions à disposition. J'ai trouvé quelques pommes de terre, des oignons, des champignons sauvages et une poignée de fines herbes fraîches. Avec ces ingrédients simples mais nourrissants, j'étais déterminée à concocter un repas qui ravirait nos papilles et remplirait nos estomacs pour la journée à venir.
Dans deux grandes poêles en fonte, j'ai fait chauffer un peu d'huile d'olive, laissant les arômes se répandre dans l'air frais du matin. J'ai coupé les pommes de terre en dés et les oignons en fines tranches, les laissant mijoter lentement dans la poêle jusqu'à ce qu'ils soient dorés et tendres. J'ai ajouté les champignons sauvages, les laissant libérer leur délicieuse saveur terreuse dans le mélange parfumé.

Pendant que les légumes mijotaient, j'ai fouetté quelques œufs dans un bol avec une pincée de sel et de poivre, les versant délicatement sur les légumes cuits. J'ai laissé les œufs prendre doucement, formant de grands flocons moelleux qui se mêlaient harmonieusement aux légumes dorés.
Pendant ce temps, j'ai grillé quelques tranches de pain frais sur le feu, les tartinant généreusement de beurre frais pour une touche de richesse supplémentaire. J'ai ajouté quelques feuilles de persil et de ciboulette fraîches pour garnir notre repas, ajoutant une touche de fraîcheur et de couleur vibrante à notre assiette. Veillant à faire deux plats distincts, soucieuses, des différents régimes alimentaires de mes compagnons. Chantonnant durant toute la préparation, étant ravie de faire partie de l'expédition, je suis de très bonne humeur.

En quelques minutes à peine, le petit déjeuner était prêt, dressé avec soin sur une natte à même le sol. Les œufs brouillés dorés, les légumes savoureux, le pain grillé croustillant et le café fumant étaient une invitation à la convivialité et au partage, un rappel humble de la beauté de la cuisine simple et authentique.
Hanbei Uranai Il y a 7 mois et 2 jours

Rapport du premier jour - 22/04/2024


Membres présents : Meleth, Kyuuji, Ivanhault, Diana, Vadimir, L’nazah, Lysia, Djazah’ir, Mimina, G’rhika, Hanbei, Ana.

(Disclaimer : les heures indiquées sont les heures IG. IRP, il y aura un décalage de plusieurs heures (3) en raison de la longue marche qui aura été faite.)

C'est un voyage au coeur de la montagne qui nous attend tous, alors que nous débarquons au sommet du mont, face à l'entrée découverte par le groupe d'exploration précédent, une crevasse. Une fois tout le monde rassemblé, nous commençons donc notre aventure.

21h00 : Débarquement sur la montagne.

21h25 : Descente dans la crevasse. Vadimir et Diana en avant-garde pour ouvrir le chemin, grâce à leur connaissance due à leur précédente visite. Hanbei marquera d'une trace chaque route emprunté pour permettre de retrouver l'itinéraire du groupe.

La caverne semble être assez vaste une fois la descente initale effectuée. Des stalactites menaçantes nous guettent du plafond semblant être prêtes à tomber à tout moment. Le sol est jonché de rochers éparpillés. En miroir, des stalagmites émergent du sol comme des pilliers de pierre, donnant une atmosphère à la fois majestueuse et oppressante.

Au cours de la route, nous analysons l'éther ambiant qui semble lourd. Il s'avère que c'est l'éther caractéristique d'une région à séisme fréquent, chargé en terre et glace. Aucune faune et flore ne semble habiter les lieux pour le moment.

21h32 : Nous arrivons finalement à une fracture dans un mur. Il semblerait que la prochaine étape de notre voyage doit passer par un passage étroit, nous obligeant à ramper à l'intérieur un par un.

Diana et L'nazah se portent volontaire pour passer en première et s'assurer du fonctionnement du passage, avec Ivanhault en fin. L'utilisation de la communication par perle fonctionne.

Nous mettrons ainsi un bon moment pour passer cette étape, avant enfin de finir par trouver un premier signe de vie à travers l'apparition de plantes, végétations, mousses et champignons. L'humidité est fortement présente. Des insectes semblent également être présents, mais rien de dangereux.

22h00 : Après une marche conséquente semé d'embuches, nous parvenons finalement à un espace à découvert, nous révélant un spectacle grandiose. Une cité souterraine, creusée à même les reliefs intérieurs, épousant les piliers, et dans un état abandonné mais habitable.

L'architecture semble être faite de pierre, la lumière est apporté par des cristaux luminescent éclairant les chemins. Des chemins pavées et lisses. Aucun bruit ou signe de vie ne semble être présent. La civilisation qui a été présente est inconnue à notre connaissance.

Un petit groupe part en éclaireur, comprenant Mahruvvet, Diana et L'nazah. Hanbei analysera l'éther ambiant, ne trouvant aucune anomalie et de danger, si ce n'est la présence d'étranges circuit d'éther fermé, qui forment toute une boucle.

22h10 : Rassemblement du groupe devant une lourde porte en pierre. Pas de piège jusque là, et il semblerait que quel que soit la civilisation qui ai vécu ici, elle ai marqué ses traces sur le sol, au vu du lissage de ce dernier par les pas qui ont foulé la pierre.

Nous mettons tous un effort commun pour ouvrir la porte lourde. La difficulté vient principalement des végétaux qui s'y sont installés derrière et dans les joints. Nous finissons tout de même par l'ouvrir, dévoilant un escalier en colimaçon, mais dont les marches sont tellement usés qu'elles permettent de glisser dessus jusqu'en bas. Ce dont la plupart des membres du groupe n'auront pas manqué de faire en faisant une "Iko" d'après les termes employés, sans danger bien heureusement.

22h23 : Une fois tous en bas, après un instant de stupéfaction et de surprise à la vue de la cité étrangère, nous décidons de ressortir la géode pour vérifier si elle ne nous apporterait pas plus d'information. Cette dernière, à la lumière ambiante de la cité, laisse apparaitre un faisceau lumineux autour de nous, avant de sembler suivre les chemin de la cité. Sur les batiment, il dessine leur contour et quelques symboles y apparaissent en grésillant. Ces derniers nous sont inconnu.

A partir de là, je décide de garder une trace de tout les symboles que nous rencontrerons afin d'avoir un lexique de ces derniers. Un travail de traduction se fera au fur et à mesure pour essayer d'en comprendre le sens.

22h30 : Au cours de notre route, suivant toujours le faisceau de lumière émise par la géode, qui s'arrête toujours aux intersections, nous finissons par arriver à un tournant entre deux chemin. N'ayant pas plus d'indication, nous choisissons simpement une au hasard.

Lorsqu'Ivanhault touchera la géode dans les mains de Djaza'hir, cette dernière reproduira à nouveau un faisceau lumineux, nous menant tout droit à un batiment, rempli d'ouvrage aux symboles inconnus. Une bibliothèque?

Tout le mobilier est en pierre. Les ouvrages également, sous la forme de tablettes de pierres, sous des couches de poussières.

23h00 : Quelques essais ont été fait avec la géodes. Il semblerait qu'elle réagit à la pensée de son utilisateur, que ce soit un mot, une image, un concept, mais également aux symboles dont ne connaissons pas encore la signification.

22h25 : Mahruvvet aura récupéré la géode et nous aura enmené à une infirmerie, ou du moins un endroit où les blessés et malades sont placé. Un vaste hospice composé de lits alignés, de chaises, quelques bureaux, des étagères et du mobilier, tous en pierre.

Ivahnault aura trouvé semble-t-il d'autres géodes, similaires, dont une qui pourrait être de type "guide".
Mahruvvet aura récupéré quant à elle des cristaux.

22h40 : Lysia prendra la géode à son tour pour nous chercher un endroit où former notre campement pour passer la nuit.

Nous finissons par passer devant une statue représentant trois individus, de taille demeusurée. Trois personnes, humaines, qui se tiennent la main, comme s'ils scellaient un pacte. Leur traits semble similaires au aoras, mais leur cornes est positionnées trop au dessus du crane, et la queue est toute attrophiées, et sont recouvert d'écailles.

Ivanhault se dirigera vers la statue pour donner une impulsion de son éther vers cette dernière, et finit par activer une séquence d'image.

- Un petit cadre formé à l'encre montrera les images visualisé de manière animé, reproduisant ce qu'auront vu le groupe. -

[Des images se forment, plus des hologrammes que des images à plats. On y voit ces trois hommes à l'extérieur, en surface. Le paysage semble fracturé, en destruction, des cratères, des effondrements. Ils joignent les mains et dessinent des symboles devant eux, dans l'air. Une déchirure apparait et ils la traversent. La scène s'éteint et une autre apparait.

On retrouve ces trois hommes en surface encore, mais dans un paysage plus accueillant. Des montagnes, des rivières, des prairies. Mais aussi tout un tas de formes, clairement non définie avec volonté de ne pas être définie précisément. Chacun y recconaittra quelque chose qui lui fait peur, ou qui éveille tous ses instincts de survie. Alors les trois hommes réunissent à nouveau leur mains et s'engagent vers la montagne. La scène disparait, une autre arrive.

Ces trois hommes réappaissent ici. Oui, ici, sur cette place, parfaitement identique, à l'usure des multiples passages humains, de main, de pieds, etc prêts. La place comme elle était "neuve". Ils écartent les bras, en geste d'acceuil. Ils montrent alentours, tourant sur eux même, fierement. La scène disparait. Une dernière arrive.

On retourne à l'extérieur, les montagnes. A l'extérieurs, c'est noir, c'est inquiétant. Une entrée (qui n'est pas celle emprunté par le groupe) disparait sous un effondrement et des symboles y sont inscrit. En noir, en gras, en clignottant. Et tout s'etteint.]


Suite à cette vision, nous nous abriterons dans le batiment juste à côté pour en faire notre base pour la nuit.

Fin du rapport.

Hanbei Uranai




Chemin parcouru au sein de la cité - approximation



Mimina Il y a 7 mois et 1 jour



La journée de Mimina avait été chargée... boulot... boulot... boulooooot.

L'étrangeté de cette cité vide n'avait pas rebuté la Lalafell. D'abord surprise et amusée de bon matin à trouver un miqo'te avec un tas de pelotes de laine, elle avait tenté de deviner qui était à l'origine de la farce... en vain. Mais de toute façon, elle avait autre chose de plus sérieux à penser.

Elle avait imaginé que les phénomènes étheriques qui avait été noté étaient responsables du maintien de cette cité et son absence de dégats due à l'erosion ou au temps. Aussi une partie de sa journée fut occupée à aller récupérer des echantillons de poussière aux quatres coins de la ville et verifier leur composition avec son materiel d'etude des échantillons. La composition était un mélange de matière biologique majoritairement des restes d'insectes et phongiques. L'absence de vent et de ruissellement pouvait expliquer l'absence d'érosion naturelle. Toutefois l'humidité et le fait que l'eau puisse se deposer sur les batiments aurait due provoquer une corosion.. qui elle était absente étrangement.

Son test final aurait peut etre fait bondir tout archéologue car elle avait tenter de voir si la tablette qu'elle avait ramenée de la bibliotheque pouvait etre altérée... la rayure appliquée dessus prouvait que oui. Aussi apres avoir couchée ses resultats sur papiers, elle avait du temps pour se trouver quelques chose a faire en plus... quelques chose comme...

LA FOUILLE !

Et bien oui, elle était restée sur sa faim et aurait voulu tester un de ces bidules lumino-etherique elle aussi. Aussi, elle ira fouiller quelques batiments déjà ouvert pour en rapporter quelques uns de ces machins ! Et surtout trouver une de ses fameuses géode guide. Son objectif etait de voir si il y avait une espece de Zoo dans cette ville ou même un musée.. malheureusement ces points là ne donnèrent rien.
Elle finit par laisser tomber, persuadée que d'autres se pencheraient sur la magie de ces bidules, et se concentra sur les croquis des insectes qu'elle avait récupérer lors de la précédente exploration.
Elyaska Il y a 7 mois et 1 jour

RAPPORT DU dEUXIEME JOUR - 23/04/2024


Membres présents
: Kyuuji, Ivanhault, Diana, Lysia, Mimina, G’rhika, Hanbei, Ana, Elyaska, Mahruvvet

La cité est resté d'un silence, totalement immobile, toute la journée.

21h00: Après une repos bien mérité du à l’exploration de la veille, le camps aura pris le temps de se réveiller, et de vaquer à leurs diverse occupations personnel. Le groupe se réunit pour briefer avant de reprendre les recherches en groupe.

Il est décidé de suivre la piste de Lysia pour commencer, qui aurait donné ses mots clé à sa géode :
"Collectivité", "Union", "Réunion", "Confrérie", "Congrégation", "Société", des mots définissants une assemblée de personne.
Nous suivrons la route guidé par la géode, qui nous indique ce qui ressemble à un bâtiment beaucoup plus imposant, plus officiel.

C’est une place vaste qui nous acceuille, sous un préhaut permettant d'accueillir des centaines de gens devant l'entrée du bâtiment.
Ce serait la grande place centrale, là où généralement s'assemble le peuple pour partager des annonces, des nouvelles ou établir l'ordre. Toutefois, il ne semble s’agir que de l’avant du bâtiment, une porte nous empêchant de pénétrer le bâtiment.

21h26 : Nous avons tenté d’ouvrir la porte avec la géode sans succès, nous avons du l’ouvrir à la force de nos bras.
Derrière, se trouvais un immense hall, avec un balcon et une douzaine de portes sur les côtés. Une encore plus grande en face. La géode dessine toujours les contours des bâtiments et des inscriptions en symboles lumineux au dessus des portes

Au fond du hall La porte est un peu plus grande que les autres, et décorée celle-ci. Quelques arabesques en habillent les battants. L'usure semble moins importante que sur les autres.

21h40 : Diana utilisera son arme pour faire une cartographie du lieu, en utilisant ses capacités de vent éthérique. Pourtant, en plus d’avoir fait une belle frayeur au groupe, il semblerais que cela est perturbé quelques chose sur le lieux. Elle n’aura repéré aucune vie humaine à part quelques insectes.

Une nouvelle porte se dresse au fond du hall, portent des décorations gravées dans la pierre. Des arabesques, des liserets, des enluminures qui ne ressemblent pas à des inscriptions ou des dessins.

22h00 : Après plusieurs tentative d’ouvrir la porte sans succès, Mahruvvet injecte de l'éther sur une petite zone usée tout en y mettant une certaine volonté. "Ouvre toi.".

La porte lui obéira et s’ouvrira.

Quelques marches vous accueillent pour descendre vers un bassin. L'eau qui y stagne luit de la même lumière que les cristaux. Il ne semble pas avoir de fond dans le bassin. Tout autour du bassin se trouve des bancs, très peu usés par les postérieurs. Les marches elles-mêmes sont assez peu creuses, presque droite.

Les murs sont taillée directement dans la roche de la caverne. Ils sont ornés des cristaux, certains naturels, d'autres ont été taillé et posé là, qui illuminent l'intérieur.

Après une analyse de la part des personnes sensible à l’éther, il semblerais que le bassin sois connecté avec la mer des étoiles. Ce qui expliquerais pourquoi certaines personnes ne semble pas à l’aise à l’idée de s’en approcher.

22h30: Ivanhault se penche sur le puits, il se concentreras visiblement pour appeler à lui une personne défunte de sa famille.
En réponse, une vague ondulation se forme à la surface du bassin. La lumière des cristaux de la salle deviennent mouvant en se reflétant sur la surface troublée du bassin.

Nous n’en savons pas plus sur les mots, ou images échangés entre cette âme et le quartier maitre. Face à cette essaie, Diana essaie à son tour. De part son impatience ou autre facteur, elle commencera à basculer vers le bassin. Ivanhault, Lysia et Elyaska l’attrapèrent avant qu’il ne sois trop tard pour l’en éloigner.

Après cela, le bassin est redevenu inerte, calme, paisible.

Hanbei et Rhika regagne le camp pour se reposer pendant que le reste du groupe poursuit.

23h00 : Nous quittons le bâtiment pour suivre l’idée de Mimina avec sa géode, qui aura cette fois-ci donné les mots clés tel que : Coquillage, linkshell, origine

Sur la route, nous nous rendons compte que la vibration créer par Diana plus tôt a fait dégringoler et rouler quelques petits cailloux qui sont désormais semés sur la route. Ca n'y était pas avant. L'air parais aussi peu plus lourd.
Nous arrivons devant un nouveau bâtiment, ainsi qu’une porte. Mahruvvet tentera de nouveau la technique utilisé sur la précédente porte, qui fonctionnera sans soucis.

Ce qui se trouve derrière est un véritable atelier. Révélant de tables et des étagères, toujours en pierre, le mobilié. Une poignée de cristaux et géodes sur les établis, à côté de divers outils taillé, toujours dans la pierre. Il y a ici énormément de géodes de différents types. Le groupe se sera afféré à toutes les réunir pour les étudier. D’autre tablettes aurons aussi été trouvé.

23h30: Suite à une théorie sur l’idée que le temps s’écoulerais pas ici de la meme manière qu’a l’extérieur. Ivanhault essayera de contacter quelqu’un de l’extérieur pour valider cette idée. En sommes : la perle fonctionne, mais à deux vitesses. Ceux dans le même espace dialogue à la même vitesse normale. Mais entre le dehors et le sous terre, il y a un délais de quelques minutes qui peut être noté.

Cette atelier offrira de nombreux trésors aux groupes :
Ivanhault repart avec un jeu d'outils en pierre, Diana une montagne de géodes, Lysia des géodes dont le travail de façonnage n'est pas terminé. Mimina des tablettes en pierre. Et d'autres ont des géodes.

23h45: Le groupe est sur le départ pour regagner la base de repos. Diana décide de dormir sur place, dans l’atelier.

Fin du rapport

Elyaska


Carte mise à jour avec le chemin parcourus : 


Mimina Il y a 7 mois et 20 heures


Pauvre Mimina... cette journée l'avait mise completement à plat.. au point ou même lorsqu'elle fermait les yeux, elle voyait des pictogrammes. 

Ce matin là, motivée à trouver des tablettes à ramener, la lalafell avait émis une théorie. Si il existait des messages importants à l'atelier, ils seraient certainement dupliqués. C'est ainsi qu'armée de tout son courage, d'une enorme dose de patience... et plusieurs gourdes de café, Mimina avait récupéré toutes les tablettes de l'atelier et les avait alignées a l'exterieur pour avoir une vue globale dessus.. une trentaine de ces foutues tablettes !! 
Et la commencait le travail le plus difficile... trier les tablettes et les selectionner. Plutot qu'operer sur l'entiereté de la tablette, Mimina s'etait décidé de lire de haut en bas les pictogrammes. Elle savait que ce n'etait pas une méthode parfaite, mais ils n'avaient ni le temps, ni les moyens pour un examen plus précis. Une à une.. un pictogramme apres l'autre.. Elle prenait une tablette et les comparait aux autres, ligne par ligne. Elle avait quelques souvenirs de sa barbante soeur Mumuni et sa passion pour l'archeologie... aussi elle essayait d'employer (plus ou moins) la même méthode.

Apres des tasses de café, un mal de tête carabiné, plusieurs crises de colère et l'impression de voir des pictogrammes partout  (même dans son  assiette), la lalafell était quand même parvenue à isoler  deux jeux de tablettes identiques. Ces tablettes seraient ajoutées à celle qu'elle avait prise à la bibliotheque. Un poids supportable pour la remontée à la surface. 
Le reste des tablettes serait rangé et étiqueté dans un recoin de l'atelier. 

A l'issue de cette horriiiiiible journée.. on pouvait trouver la lalafell en train d'agoniser ses jumeaux, allongée au camp et marmonnant des insultes Ul'dienne à propos de l'archeologie.
Ivanhault Il y a 7 mois et 15 heures

Rapport du troisième soleil, 24ème de Nymeia


21:09. Nous retrouvons le capitaine Esthar qui nous rejoint après deux jours en solitaire. Une géode lui est confiée. Une rapide discussion tend un consensus en direction de la recherche d'un lieu de commémoration funéraire. Mahruvvet et Vadimir se mettent à la recherche de Diana pendant que le groupe suit le capitaine qui porte la géode.

21:27 : Nous parvenons devant les portes de ce qui nous apparaît comme un temple. Les escaliers sont particulièrement usés et présentent cette dépression caractéristique qui suggère le passage de milliards d'êtres vivants avant nous. Pour monter, il nous faudra longer les bords. L'inscription au fronton est ajoutée au pictodex, pour Hanbei.



Les cristaux autour du "temple" sont particulièrement grands et nombreux par rapport au reste de la cité. L'entrée y est un peu plus lumineuse également. Mahruvvet et Vadimir, accompagnés de Diana, rejoignent le groupe grâce à leur propre géode-guide.

21:37 : Mimina Mina donne un petit choc à un cristal, un tintement cristallin s'en élève, se réverbère contre les bâtiments et les reliefs de la caverne en harmonie, avant que le silence revienne. Dans l'harmonie générale, Djazah'ir perçoit une note discordante, confirmé par Ana et Diana. Le groupe se met à la recherche du cristal faussé. Il s'en trouvera plusieurs dont la base est fissurée, disséminés autour du temple.

21:48 : Plusieurs membres du groupe remarquent des formes d'objets sous les agglomérations de cristaux. Au cours d'un examen plus poussé, Mimina Mina réalise qu'il s'agit d'écailles sous l'un des cristaux les plus abimés. Le groupe émet des théories sur la présence de cristaux en plus grand nombre à cet endroit, corrélés à l'existence d'une boucle temporelle. Djazah'ir lance l'hypothèse selon laquelle la boucle serait alimentée par les cristaux ; un sacrifice de certains destiné à alimenter la magie est donc envisageable.

22:02 : Ce qui se trouvait caché sous les cristaux brisés se déroule dans un crissement déplaisant et bondit le long de la paroi rocheuse afin de prendre la fuite. Nous avons le temps de l'apercevoir : 



Il est très grand et mesure au garrot la taille d'un miqo'te ou d'une femme ao'ra.

22:10 : Diana suit les recommandations d'une géode découverte au cours de sa nuit passée dans l'atelier et se rapproche du temple en suivant les mouvements des adeptes avant elle. Nazah et Mimina se mettent en chasse de la créature pendant que le reste du groupe s'aventure dans le temple à sa suite. Nous nous retrouvons face à six stèles. Des cristaux sont enchassés dessus. L'intérieur est gravé et représente une fougère, des cristaux, des insectes, des champignons, une dague et un soleil.



22:30 : Après diverses manipulations et sans comprendre l'utilité de ces cristaux, le groupe poursuit en direction d'une seconde salle où sont placées deux stèles parfaitement identiques, mais vides. Djazah'ir place dans l'une des stèles le cristal de dague, sans que rien se passe. Mahruvvet relève des inscriptions sur l'une des stèles et retourne les comparer avec celles de l'entrée tandis que je suggère que l'on place dans l'autre emplacement un cristal de la première série - celui des dagues appartenant à la seconde série.
Diana semble avoir mis la main sur des géodes aux mécanismes variés. L'une d'elle affiche sur commande l'image du lieu tel qu'il fonctionnait jadis, où défilent les silhouettes de quelques personnes s'inclinant, allant et venant, se serrant dans les bras ou marchant simplement.

22:48 : Mahruvvet et Djazah'ir reviennent avec tous les cristaux.
Longue série d'échecs à mesure que défilent toutes les combinaisons jusqu'à Cristal + étoile. Un concours de mauvaise foi plus tard, et nous passons enfin la porte ouverte.

23:04 : nous entrons dans une salle plus large, taillée directement dans la roche. Sur toute la surface du mur du fond s'alignent des dizaines de pierres rectangulaires, toutes gravées de plusieurs lignes. Ce sont des façades, des battants ou des couvercles. Elles dépassent du mur et montrent des marques d'usure sur les côtés, telles que nous en avons vues maintes fois jusque là sur les objets fréquemment touchés de la cité. Il suffit de toucher l'une de ces pierres pour évoquer le souvenir de l'un des défunts commémorés ici. Ils sont tels que les représente la statue de la place centrale : Couverts d'écailles rugueuses, des cornes sur le sommet du crâne, des yeux en amande et un iris vertical. L'image apparue reste immobile.

Une plaque est isolée des autres, légèrement plus décorée, et ne comporte que trois noms. Vraisemblablement, la plaque des fondateurs dont la statue décore la place centrale. En l'activant, Irdel révélera l'un des trois hommes déjà observés lors de l'histoire holographique contée par la statue.

Le groupe théorise à partir des informations récoltées jusque là. Nous suivons ensuite Ana et sa géode afin de trouver de l'eau pour nous abreuver et nous laver. Nous vivons en effet sur nos réserves depuis trois soleils.

Mahruvvet Il y a 7 mois et 4 heures
[Musique nulle]

Mahruvvet était triste.
 
C’était assez inhabituel pour elle. Il y avait chez elle un optimisme ou un cynisme qui la protégeait généralement du chagrin. Mais ici ? Dans cette ville ? Elle adorait les villes. Pas seulement du fait qu’elle y avait grandi, mais surtout car elle trouvait quelque chose de vivant, de vrombissant dans les grandes cités. Mais celle-ci ? Elle y voyait une sorte de magnifique dépouille de quelque chose qui, fut un temps, respirait d’activité.
 
Pour tromper la mélancolie, la voleuse se prit d’une idée. D’une idée terriblement banale et sans originalité : se promener. Pas explorer, pas enquêter, pas étudier. Se promener vraiment, sans géode. Aussi, elle fila remplir ses deux gourdes d’eau, empaqueta de quoi faire un pique-nique rudimentaire, pris son unique (elle brûlerait l’Eternal un jour) dague et… partit.  

Seule ? Peut-être. Cela dépendrait de ses camarades, car elle proposa aux autres de la suivre dans sa balade. Pas de géodes, pas d’objectif. Simplement, se laisser porter par le hasard et lever le nez sur la beauté de ce que ce peuple avait laissé. Elle voulait passer un moment un peu plus intime avec la ville, en quelque sorte, prendre le temps de la connaître autrement que comme un médecin légiste devant un cadavre.

Son excursion allait durer toute la journée. Elle n’était pas une scientifique. Elle n’était plus une exploratrice. Elle était à présent une touriste.

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