Au coeur de la montagne

Accueil > Forum > Carte des Expéditions > Carnets de Voyage > Au coeur de la montagne
Faejine Il y a 9 mois et 3 semaines

Quelque part, très loin à l'Est, très loin... Un jour où le soleil caressait timidement les parois rocheuses des Montagnes de la Queue, Kototama, messager aguerri de Kiyomura, poursuivait son périple au cœur de ces majestueux bastions de pierre. La montagne était à la fois sa compagne et son défi, un terrain qui ne tolérait aucune erreur, mais qu'il connaissait comme le prolongement de sa propre âme. Il n’en était pas à son premier message, ni à sa première exploration. Mais chaque trajet était différent, aucun chemin tracé, aucune voie ouverte. Il fallait toujours redécouvrir.

Alors qu'il franchissait un défilé escarpé, une lueur irréelle attira son regard aux aguets. Niché dans un creux rocheux, un fragment cristallin éblouissant, pareil à une étoile captive de la roche, émettait une aura énigmatique. Un éclat si pur, si mystérieux, que le temps semblait suspendre son vol, comme s'il révélait un fragment des anciens secrets que les montagnes gardaient farouchement.

Kototama s'approcha avec prudence, presque en transe devant cette découverte prodigieuse. L’éclat de roche, d'une beauté transcendante, semblait renfermer les murmures des esprits passés, une énigme scellée dans sa structure minérale. Sa lueur éthérée captivait l'imagination, évoquant des formes et des contours, des lignes de lumières et des dessins à peine perceptible. C'était comme si les montagnes elles-mêmes lui avaient dévoilé un fragment de leur histoire, une invitation à plonger dans les profondeurs de leur mémoire.

Il enveloppa avec précaution le cristal, conscient de la valeur exceptionnelle de sa trouvaille, mais surtout de la révélation fascinante qu'il apportait. Le fragment cristallin, témoin silencieux des récits anciens des Montagnes de la Queue, deviendrait le gardien de l'histoire oubliée, un lien entre le passé et l'avenir, un précieux secret à dévoiler. Le Guji était un homme de savoir, il saurait quoi en faire.


Arrivé en Eorzéa, le cristal fut confiée à Silius pour étude.
Durée de la nouvelle résolution ? Deux heures...
Ivanhault Il y a 9 mois et 3 semaines
Le rapport m'a été remis par Silius, après son étude. Comme vous le savez, il n'est pas enclin à verser des ajouts aux dossiers, ni à épingler des traces écrites sur le tableau commun.

Je vous invite à vous pencher sur cette étude, et, si elle vous intéresse, à solliciter Kyuuji afin d'en savoir plus sur cet objet.

Iv. T.


Préambule


Mode d'observation : Utilisation d'un cristal d'âme d'Orfèvre spécialisé, destiné à permettre l'amélioration de l'expertiste des techniques d'analyse.

Début d'étude, utilisation du sortilège "Observation" destiné à étudier  la géode dans sa globalité : Structure, puis identification de la partie cristalline.
Techniques utilisées : "Attention totale" (permet l'utilisation d'états de synthèse spécifiques à l'orfèvrerie), "Ouvrage précis" (pour l'étude), "Travail Vigilant" (pour une bonne manipulation des outils) et "Ficelles du métier" (connaissances en cristaux.)

Compétences de l'observateur : Maîtrise des cristaux mémoriels et émotionnels, techniques des logos de l'île de Val, techniques émotionnelles Bozjiennes. 
Note supplémentaire : L'observateur n'est pas en mesure de "voir" les souvenirs. Uniquement d'identifier l'impression globale qu'ils dégagent.

Mises en condition de la géode. Techniques utilisées : "Manipulation" et "Ouvrage attentif" afin de dégager le cristal de son cocon de pierre pour permettre d'autres formes d'étude dans le futur. Kyuuji, propriétaire de la géode, a donné son autorisation préalable à la méthode. La pierre a été polie afin de la rendre plus aisément identifiable pour d'autres études.
Ivanhault Il y a 9 mois et 3 semaines

Rapport d'analyse


Structure globale et origine

La géode est ancienne, creuse à l'intérieur et fracturée. Sa structure n'est pas totalement naturelle, elle a déjà été retravaillée, par une technique différente de celle que l'on étudie en orfèvrerie. Le matériau est un dérivé du cristal naturel, composé essentiellement de carbone. La partie qui entoure le cristal est composée de roches et minéraux naturels habituels que l'on trouve à des profondeurs importantes. Seule la partie cristalline a été travaillée auparavant.

Les minerais présents correspondent à l'origine de l'endroit où la géode a été trouvée : les profondeurs d'une montagne ancienne. L'origine de sa découverte dans les montagnes de la Queue ne nécessite pas de remise en question.


Structure interne et éther

Le cristal est légèrement chargé en éther. Ce n'est pas surprenant pour un objet travaillé par un artisan ayant usé de techniques. Il n'y a imprimé dedans aucun souvenir ni émotion particulière. Le cristal ne tend pas non plus à l'harmonisation, il est inerte.


La forme des cristaux et l'agencement interne semble forme un circuit en dur à l'intérieur de la structure. L'éther n'y circule pas de lui-même. Ma conclusion est que ce n'est pas l'énergie qui est supposée y circuler. L'effet normalement généré par le circuit, n'est donc pas de nature éthérée. La formation générale du circuit éthéré laisse penser que ce qui remplit le cristal est orienté vers l'extérieur, ce qui implique une action de l'objet sur l'environnement externe au cristal. La fracture de la géode impacte la structure du circuit interne. Une utilisation en l'état pourrait avoir des effets inattendus.


Je n'ai ressenti ni hallucination, ni visions, ni tentative d'harmonisation.


Note : le cristal, une fois mis à nu et dirigé vers la lumière, propage les rayons lumineux à la manière d'un prisme et les reflète sur les murs de la pièce. On y perçoit des lignes, des dessins, ou des symboles.


Isaudorel Derinloire, Preux en orfèvrerie, formations cristallines et sertissage.

Lysia Il y a 9 mois et 3 semaines

Rapport d'Observation & d'expérimentation

Lysia A. & Quila H.



Durant l'expérimentation et l'analyse de la Géode, la première interaction avec celle-ci fut d'inspecter par rapport aux jeux de lumière. Quila l'ayant mis sous source dite naturelle (provenant du soleil ou des des étoiles par exemple), nous avons pu observer, comme appuyait le rapport d'Ivanhault et Silius, que de cette géode surgissait de différents rayons lumineux, traçants des motifs arabesques sur les surfaces de la pièce dans laquelle la pierre se trouverait. La première tentative fut exposée dans le bureau de Kyuuji, avec comme source de lumière ses fenêtres et vitraux, filtrant une partie de la lumière originelle du soleil. Les dessins étaient alors vagues mais néanmoins lisibles.

Lorsque nous exécutions une rotation de la géode afin de mouvementer les motifs pour en reformer le dessin dans son entièreté, nous avons remarqué que le sens de ces derniers allaient à l'opposé de la direction de ladite pierre, partant d'une netteté allant jusqu'à trésailler et se changer ainsi sous un autre motif illisible, la partie fracturée de la géode serait ma supposition.

L'objet d'observation semble néanmoins être capable de projeter non une, mais plusieurs images en fonction de son angle de rotation, j'ai pu en compter cinq, dont deux dites "grésillés" et la troisième complètement illisible. La majorité des projections sont semblables à des cols et montagnes. Quila a suggéré l'idée de comparer diverses cartes afin de reconnaître la position de ces dernières, l'aide d'Elyaska y serait la bienvenue pour son talent de cartographe et également de quelque domiens dont celles-ci leur seraient potentiellement familières. Kyuuji a ajouté que cette géode fût trouvée au Nord dans les montagnes de la queue. [Note : originaire de tribu Xaela ? Les Angura, si je ne me trompe du nom.]

J'ai alors supposé l'idée d'exposer le cristal sous les autres types de sources de lumière (naturelle, animale et artificielle), demandant alors avec l'assistance d'Ivanhault Terrechant pour acquérir des créatures et spécimens organiques bioluminescent, nous fournissant alors lucioles et champignons. À l'exposition de celle-ci, les images étaient différentes de celle figurant dans le bureau de Kyuuji, mais bien que plus intense et distinctive, elles étaient d'autant plus sinueuse dû à la surface du bureau d'Ivanhault, n'ayant aucune surface lisse dû à l'origine de la pierre et du bois brut de la pièce. Néanmoins, le procédé était identique quant à la manipulation de la géode dans ses rotations pour ce qui est de la source lumineuse dite artificielle, celle-ci aurait le même rendu que sous-exposition de lumière naturelle, nous donnant pour chacun cinq images, dont deux "grésillées" et une illisible.

Il nous restait plus qu'à trouver un endroit plongé dans le noir pouvant posséder des surfaces lisses, c'est alors que Quila proposa l'infirmerie en utilisant les paravents en guise de surface d'affiche, où il était aisément accessible d'abaisser la luminosité. L'expérience fut une réussite, mais j'ai alors tenté de colmater la partie fracturée à l'aide de papier provenant de mon carnet, ayant été mâché, pouvant théoriser que les reflets de celles-ci ne viendraient plus perturber ceux des surfaces nettes. Malheureusement, cela n'a laissé qu'une tâche noir en pleins milieu du tableau. Néanmoins, le nettoyage de l'objet dérangeant fut aisément en le passant sous l'eau.Quila aurait alors émit l'idée de colmater la partie centrale avec une résine claire, du moins un matériel réflectif (potentiellement pouvant servir de "cadran correcteur", tel qu'un prisme ?).
Quant aux images, désormais présentée sous les lucioles d'Ivanhault, de nouvelles images se sont présenté, semblant à ce qui serait un réseau de "boyaux", différents de celui provenant des fenêtres de Kyuuji ainsi qu'au champignon dans le bureau d'Ivanhault.

La dernière expérience fût de la présenter sous une surface aqueuse, rendant le résultat très tremblante, floue. La géode ne réagit pas aussi bien sous l'eau. Mais je recommande de reproduire l'expérience dans l'infirmerie avec l'aide de bougies ou de lucioles pour projeter les dessins sur les paravents afin d'observer les motifs.

Ma théorie serait que la géode reflète un motif différent pour chacun des sources de lumières qu'il produit : Animale, Végétale, Naturelle [Artificielle comprise dedans ?].

Lysia A.
Elyaska Il y a 9 mois et 1 semaine

Comme suggéré dans les précédent rapport, je me suis dirigée sans tarder vers l'infirmerie lorsque j'ai pu récupérer la géode dans le bureau du quartier maitre (jolie déco par ailleurs). Equipée de tout le nécessaire pour mener à bien mes études. 

Arborant également les sources de lumière fournies par Ivanhault, j'ai pu ainsi dessiner avec minutie et inscrire chaque détail qui se dévoilait sous l'influence de différentes lumières. En premier lieu, j'ai consacré mon temps à mettre au propre les observations précédentes. Utilisant ingénieusement les rideaux de l'infirmerie, je les ai fixés avec des livres pour obtenir une surface aussi lisse que possible.

Comme l'avait expérimenté Lysia et Quila, la géode semblait tout d'abord être un simple amas de cristal fracturé, apparemment banal. Cependant, une fois exposée à diverses sources lumineuses, elle a révélé des reflets sinueux, des lignes et des motifs, projetant ainsi une symphonie visuelle dans toute la pièce, tel un projecteur circulaire.

En fragmentant la géode sous différentes sources lumineuses, j'ai découvert trois types d'images distincts. À chaque changement d'angle, l'image grésillait avant de présenter une nouvelle facette. Lorsque la fracture était mise en lumière, l'image devenait tout simplement illisible, un constat attendu compte tenu de la détérioration de l'objet. En faisant le tour complet, j'ai réussi à discerner quatre images plus ou moins lisibles, et une dernière totalement indéchiffrable.


A la lumière naturelle, du soleil, de la lune ou de la bougie, ce sont des cols et des montagnes, dessinant des paysages montagnards de lignes et de courbes, qui ne sont pas sans rappeler les représentations artistiques.
A la lumière d'un champignon, et si elle essaie tout autre source végétale, c'est une lignes sinueuse unique qui semble serpenter entre des choses invisibles, devenant parfois moins brillante comme si elle passait derrière quelques choses.
A la lumière de la luciole, ou si elle essaie tout autre lumière animales, ce sont des sortes de boyaux, grossissant, enflant et rapetissant, allant et partant pour former comme un réseau.

✦ La lumière artificielle, ce ne sont que de simple reflets qui paraissent normaux. Ils ne semblent rien dessiner de particulier qui correspondent aux aspérités de l'amas de cristal. Il y a toujours ces grésillements comme s'il y avait un switch, mais rien à décrypter.

Je me suis finalement tournée vers les paysages montagnards. Cela m'a conduite à esquisser des croquis détaillés avant de rechercher des points de repère ou des détails spécifiques. Et il y en avait, notamment un pic dont la forme était reconnaissable, avec sa fente centrale, comme s'il avait lui aussi été fracturé. Ce pic s'est révélé être présent sur les quatre images de paysages montagnards, mais à des emplacements différents. Toujours aussi distinctif une fois repéré, il est devenu comme un petit repère sur une carte.

Une fois ce premier repère remarqué, d'autres m'ont sauté aux yeux, comme un col avec un rocher évoquant un ours endormi, ou une saillie reposant sur des rochers, transformant ici le col en un lit de rivière étroit. En somme, j'ai entrepris de dépouiller petit à petit les dessins, découvrant que tous les points de repère identifiés étaient présents sur les quatre autres images, agencés différemment, vus sous un autre angle.



✦ Pourvue de cette poignée de repères, je me suis lancée dans l'exploration minutieuse de mes cartes de référence. Ce fut un labeur des plus fastidieux, mais mon attention se focalisait exclusivement sur les cartes et les reliefs majestueux d'Othard. À la fin, quelques points particuliers ont captivé mon regard sur une carte des montagnes de la queue, dans leur section nord-occidentale.


J'ai réussi à circonscrire une région spécifique. Par chance, je suis tombée sur une carte qui a évoqué en moi le souvenir d'une des images gravées dans la géode. En les superposant, la réalisation m'a frappée : malgré l'échelle et le point de vue distincts, les éléments concordaient harmonieusement. Ainsi, l'emplacement convoité se dessinait devant moi. De surcroît, j'ai saisi la nature de cette carte particulière, offrant une perspective "piéton", en contraste avec nos cartes contemporaines qui dévoilent une vue aérienne.

J'en viens à me demander si la ligne sinueuse tracée sur la carte pouvait bien représenter un chemin ou une route, mais à travers quel élément mystérieux ? La route pourrait etre à ciel ouvert ou bien, le chemin menant au coeur de la montagne, sur des routes souterraines encore inexploré ? 

je me contente dans ce rapport de vous donner des faits plus ou moins précis, mais je réfléchirais à ses hypothèse ultérieurement plus fantasque sur lequel on pourra tous discuter. En attendant, il me semble qu'une petite balade en Othard sois nécessaire !
Faejine Il y a 8 mois et 4 semaines
L'équipe de reconnaissance composée de Diana, Elyaska et Vadimir, partira le premier de la prochaine lune pour estimer les besoins de l'expédition à venir. Une réunion d'explication a lieux demain soir.

Kyuuji

Durée de la nouvelle résolution ? Deux heures...
Elyaska Il y a 8 mois et 3 semaines

Journal de Bord :

Expédition dans les Montagnes de la Queue en Othar


Chef de mission : Diana / Participants : Elyaska, Vadimir




Une Terre Aride


Partis du quartier enclavé de Doma, notre aventure a commencé avec la récupération des faucons spécialement mis à notre disposition. Le trajet jusqu'à notre destination a duré un peu plus d'une heure, le temps étant clément. Cependant, l'identification précise du site de notre atterrissage a pris plus de temps que prévu.

Arrivés sur place, le crépuscule n'était qu'à deux ou trois heures. Les montagnes, loin d'être luxuriantes, présentaient un paysage aride, offrant peu d'eau et de végétation. Bien que l'établissement d'un camp semblait possible avec des ressources préalables, l'expédition nécessitait une planification minutieuse. 

Note : Pendant ce rapport, des captures fidèles à la réalité seront fournies, grâce aux données retranscrites par le compagnon métallique, Robin, de Vadimir, collectées sur place. Si vous désiré avoir plus d'informations à ce propos, adressez vous à lui. 

Lorsque nous avons tenté de nous approcher du point indiqué par la géode, une pente entourée de ruines anciennes s'est dévoilée. Nous avons suivi cette piste dans l'espoir de découvrir un ancien édifice, mettant de côté les nombreuses grottes temporaires pour une exploration future.



✹✹✹




Le Vent Souffle Sous Nos Pieds


Notre exploration nous a conduits à une petite plateforme, où Diana a détecté un son de vent étrangement particulier. Se rapprochant, nous avons réalisé que le bruit émanait d'une crevasse immense en direction de la plateforme. Initialement hésitants à nous aventurer plus loin en raison d'éboulements apparents, notre camarade Robin a confirmé la sécurité du passage avant de continuer.

En étudiant la géode à cet endroit, les reflets et projections nous ont assuré que nous étions bien au bon endroit, malgré quelques éboulements récents qui pouvaient fausser l'exactitude si l'on devait etre pointilleux. Nous avons décidé de suivre la direction indiquée par la géode.

✹✹✹




Immensité Sous la Roche


Une crevasse massive d'où le vent semblait provenir. Une grotte gigantesque s'est dévoilée, remplie de stalagmites et de stalactites, créant un spectacle éclairé par les fines lueurs du soleil qui nous entouraient.


J’ai marqué le point sur la carte pour les futurs explorations, et Vadimir à pu de nouveau capturer ce paysage en attendant que nous nous étions assuré que le lieux n’était pas dangereux ni remplit de monstres. C’est à ce moment là que Diana effectua une de ses techniques pour créer une carte mentale grâce au vent. Elle a su déterminer que la grotte étaient très profonde, et qu’un réseaux très complexe semblaient se proliférer plus loins. Lorsque je lui ai montré le dessin que j’avais relever de la géode, que j’avais émis l’hypothèses qu’il s’agissent d’un réseaux sous terrains, elle a confirmer que cela semblait y ressembler.

De plus, la géode semblait continuer de nous guider vers un réseau complexe de tunnels, donnant l'impression de suivre une constellation sous la montagne. Les reflets de celle-ci continuer de longer les parois irrévocablement et sans interruptions jusqu’à un gouffre. Ou plutôt une faille dans la roche, longue et suffisamment fine pour laisser à peine deux personne passer épaules contre épaules. Irrégulière, nous avons pu nous y faufiler sans problèmes.



✹✹✹



Ciel Étoilé au Cœur de la Montagne


Inattendu, un gisement de pierres s'est présenté à nous, ressemblant à un ciel étoilé. Aucun de nous s’y connaissant en la matière, nous n’avions pu déterminé le genre de roche et de crystal ni de pierre habiter ses lieux depuis possiblement une bonne décennie en vus de la quantité impressionnante. Les pierres donnaient l’impression de se retrouver devant un ciel étoilé.

Un changement notable s'est produit dans le comportement de la géode. En effet, nous avons testé différentes sources de lumières pour la stimuler et ainsi sortir différentes informations… Mais nous n’avions pas pensée à simplement tous les additionner ensemble !
Lucioles, champignons, pierre beaucoup de sources de lumières de lumières différentes étaient présente ici, créant ainsi une nouvelle cartes des lieux complètes qui longeait chaque recoins de la grotte.

Une fois encore, la géode continuer de nous guider de plus en plus loin. C’est là que nous sommes tombé sur un réseaux de tunnels complexes. Pas moins de 10 passages étaient visible d’ici. Encore une fois, grâce à la capacité de Diana, nous avons pu constater que ce réseaux très complexe, étaient très nombreux, mais qu’ils finissaient tous dans une grandes salles en contre bas, ou tous semblaient y être liée.



✹✹✹





Conclusion


✹ La géode nous a guidés vers un ancien site de ruines sous la montagne.

✹ Des constructions ou des vestiges pourraient être découverts plus profondément.
L'utilisation de matériel de cartographie sera nécessaire pour des explorations plus précises. L'utilisation de compagnons mécaniques comme Robin pourrait être envisagée pour des reconnaissances à l'avenir.

✹ Diana propose de trouver un chemin certain dans le réseau de tunnels, économisant ainsi du temps lors de futures explorations.

✹ La présence d'éboulements à l'entrée inquiète. Des précautions devraient être prises pour garantir la sécurité lors d'éventuels effondrements.
Une expédition prolongée nécessitera une planification adéquate pour le ravitaillement en vivres, étant donné l'absence d'eau ou de ressources de chasse dans la montagne.




[M'excuse pour les fautes ou erreur de syntaxe l'écriture c'est vraiment pas mon fort, j'essayer de trouver quelqu'un pour le corriger ultérieurement !]


Faejine Il y a 8 mois et 2 semaines
Bonjour à tous,

Avec l'accord de madame Kurusu, une expédition est organisée pour explorer la caverne vers laquelle le réseau converge. Une semaine à partir du 22e soleil de la Deuxième Lune ombrale. La reconnaissance sur place n'indique que peu de ressources, nous devrons prévoir nos vivres, réserves d'eau et campement. Nous serons un peu chargés.

Comme toutes les expéditions, toute la compagnie est la bienvenue à celle-ci.

Bien à vous,
Kyuuji, Quartier Maitre


[HRP : Des évènements seront organisés tous les soirs, dépendant de vos actions et de vos envies.]
Durée de la nouvelle résolution ? Deux heures...
Lerith Il y a 7 mois et 2 jours

Ce matin-là, le départ du port de Limsa Lominsa fut plus discret. L'expédition dans les Montagnes de la Queue n'avait pas fait grand bruit jusqu'à maintenant et pour cause c'est surtout un petit groupe qui s'était penché sur la question de la mystérieuse géode. Toutefois, c'était un voyage vers l'orient qui prendrait plusieurs jours. Les montagnes à la frontière nord de Yanxia sont un spectacle qui mérite d'être contemplé et tout les volontaire qui voudraient se joindre au voyage pourraient le contempler, et peut-être avoir l'occasion d'arpenter ces paysages montagneux tandis que leurs camarades mèneraient l'enquête.

Meleth se trouvait à la barre, suivant les indications pour atteindre la position la plus proche de la route du village de Kyuuji. Elle s'était tenue informée de l'affaire mais pour ce voyage sa mission était de les mener à bon port en toute sécurité. Peut-être trouverait-elle dans ces montagnes une rivière avec qui danser ! 

[IRP le voyage dure plusieurs jours, ellipsé pour arriver demain. J'ai du monde à la maison toute la semaine IRL du coup je serais là quand je peux !]
Faejine Il y a 7 mois et 2 jours

Dans les montagnes de la Queue, un éclat solaire perce timidement l'épaisse couverture nuageuse, caressant du bout de ses rayons les cimes dénudées. Parmi les sommets majestueux et les vallées escarpées se cache une myriade de mystères et de régions presque inconnues. Notamment une cachée aux yeux du monde depuis des siècles. C'est là, dans les profondeurs de la montagne, que commence ce récit.

Au cœur de cette vaste chaîne de montagne sauvage, où les murmures du vent se mêlent au fracas des chutes d'eau lointaines, navigue dans les cieux l’imposant et majestueux navire, l’Éternal. Sous le commandement habile du capitaine Esthar, l'Éternal s'élève lentement dans les airs, ses voiles gonflées par la brise fraîche des montagnes. Le paysage défile sous leurs pieds. Le voyage à bord de l'Éternal offre un spectacle époustouflant, avec des panoramas à couper le souffle et des vues imprenables sur les montagnes de la Queue.

La grandeur de la nature qui les entoure est indéniable, mais elle révèle également son aspect inhospitalier. La végétation peine à s'accrocher dans les hauteurs, laissant les flancs de montagne dénudés et la roche à nue. Les sommets froids sont déserts et menaçants. L’air est frais, sec et le vent tranchant.

Néanmoins, guidés par le désir d'aventure et la promesse de découvertes, nos explorateurs s'apprêtent à entrer dans les profondeurs de la montagne, à défier les dangers qui les attendent. L’Éternal amorce sa descente, permettant à ses occupants de prendre pied sur une corniche, devant une ouverture béante, comme si un pan avait été arraché à la montagne.
Durée de la nouvelle résolution ? Deux heures...

Utilisation des données

Nos partenaires et nous-mêmes utilisons différentes technologies, telles que les cookies, pour personnaliser les contenus et les publicités, proposer des fonctionnalités sur les réseaux sociaux et analyser le trafic. Utilisez les boutons pour donner votre accord ou refuser.