Le Conte des Neuf Cavaliers

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Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

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Deux années passèrent, et lorsqu'ils remirent un pied dans le marais des Sylphes Bleues et du clan Morneterre, ils purent constater à quel point ce lieu avait changé. L'eau terreuse et la vase s'étaient assainies avec les remontées de la rivière des gemmes, et bien qu'ils pataugeaient dans la boue humide la bioluminescence et l'eau de rosée reflétant les rayons de lune rendaient cet endroit tellement plus vivant. Se souvenaient-ils de la route ? Même si c'était le cas, tout était bien trop différent à présent... sauf le sentier sous les arches trop voyant et trop parfait pour ne pas dire "vous marchez tout droit vers un piège" mais après tout n'est-ce pas là ce qu'ils souhaitaient ?

Entre les arbres, de petits rires à peine audible se firent entendre et la sensation d'être observés grandissait au fur et à mesure qu'ils s'avançaient dans le marais, à la recherche d'une route jusqu'à lors ignorée...

Revoir les sylphes bleus provoqua quelques frayeurs chez les novices, peu habitués aux plaisanteries de ces petits êtres qui, bien qu'ils reconnurent leurs amis et sauveurs, n'avaient pu s'empêcher de les taquiner. Il suffit cependant de quelques chansons et histoires pour les sortir de leur cachette et leur demander de les guider jusqu'à la Rivière des Gemmes.

Cette fois ils ne remontèrent pas le courant jusqu'à la source, mais le suivirent jusque dans les profondeurs de Gelmorra et le territoire des Morneterre, au plus près de cette zone appelée "Palais des Morts" où une porte les attendait, une porte fermée par un système de verouillage inconnu, et dix citrines imprégnées de souvenirs incrustées de chaque côté la fente. Ouvrir la porte, cela voulait dire retirer chaque gemme et affronter chacun de ces souvenirs, ainsi Galaad s'était assuré que celui qui viendrait prendre son héritage le ferait en connaissance de cause, et en sachant qui il était.

JERA, la faux
Auteur : Valorius Solignac

Deux ans plus tard, nous étions de retour dans la Rivière des Gemmes.
Les galeries gelmorraines n’avaient pas changé, et les sylphes nous guidèrent jusqu’à la source, l’immense salle constellée de joyaux qui scintillaient comme des étoiles au plafond de la caverne et au fond de l’eau où nous marchions. Ici avaient été accumulés pendant des siècles des fragments de mémoire cristallisés, donc certains répondaient à notre contact.

Le flux d’éther était en ce lieu d’une densité et d’une pureté remarquable. Ivanhault expliqua que la rivière s’enfonçait très profondément, et finissait probablement par se mêler à la mer des étoiles.
Nous avons suivi le flux vers l’aval, cette fois, sous la lueur luminescente des gemmes incrustées dans les parois, jusqu’à atteindre une porte circulaire en pierre. L’eau s’insinuait dessous, la rune Jera ornait sa surface et sur la paroi supérieure était gravée la procession des Neuf. Cette fois, le porteur du coffre se trouvait au milieu du groupe et non devant.
Aucune poignée ou serrure n’était visible, mais la fente verticale dans la pierre indiquait clairement que le passage devait s’ouvrir par le milieu. Dix gemmes jaunes étaient incrustées dans la porte, une rangée verticale de cinq sur chaque battant, en vis-à-vis. Nous avons identifié des citrines, elles étaient le support de souvenirs du Cavalier dont ce lieu était le tombeau, Galaad.

En touchant les gemmes nous avons eu la vision d’épisodes marquants de sa vie.
Galaad lisant sur les marches de la cathédrale d’Halone. Il observe de loin un groupe de jeunes gens qui parlent avec enthousiasme. Une jeune fille passe près de lui, c’est Guenièvre. Elle lui fait signe et part vers le groupe. Il répond mais semble contrarié et distant, il ne l’apprécie pas.
Le groupe dans une taverne, le Chevalier Oublié à Ishgard. Le mage âgé et barbu encourage Galaad qui semble incertain, puis finit par serrer la main d’Arthurin.
Galaad lisant assis sur un banc. Une dame en armure approche, se penche sur son épaule faisant mine de lire par-dessus pour le surprendre. Morgause lui sourit, et il a une tête d’amoureux, à la fois heureux et maladroit.
Le mariage d’Arthurin et Guenièvre. Tous les chevaliers du groupe étaient là ainsi qu’un vieux mage, Merlinoix. Le témoin d’Arthurin avait une grande épée dans le dos avec un cristal vert dessus. Tout le monde semble heureux. Guenièvre lance le bouquet, Morgause l’attrape et regarde Galaad avec un air de penser « Haha tu vas y passer. ». Cela surprend Galaad qui fait un petit geste de recul.
Galaad s’entraînant au maniement de la faux, jusqu’à en tomber d’épuisement. Il n’était jamais satisfait de ses performances, pour lui il n’y a de sens que si on est le meilleur.
Dix hommes se disputant. Merlinoix finit par s’en aller. Arthurin essaie de le stopper mais n’y parvient pas. Le témoin d’Arthurin semble satisfait de la situation. La vision fait entendre la voix du vieux mage, qui dit qu’il n’a rien vu venir.
Galaad défonçant la porte d’une maison. Il entre et trouve deux cadavres, Merlinoix et Morgause. IL prend la femme dans ses bras, abattu. Il murmure « Je savais… Je savais déjà. »
Galaad marchant seul dans l’obscurité, à la recherche de Guenièvre, pour l’affronter. Sa voix exprime sa colère. « Toujours de sa faute, toujours. Si seulement elle n’avait jamais existé… Non ! Ce n’est pas juste ! »
Galaad dans un lieu obscur, il tient sa faux qui brille intensément puis s’éteint d’un coup. Il semble furieux, bouillant de rage, et en voyant la faux s’éteindre il hurle que ça ne peut pas se finir ainsi.
Galaad armé de sa faux sur le point de décapiter une Guenièvre semblable à celle que nous avons affronté, corrompue, mais encore vivante en ce temps là. Elle tente de parer avec sa faucille mais elle est déjà au sol. La scène ralentit et se fige. La voix de Galaad crie « j’ai échoué, j’ai échoué ».

En retirant les gemmes, la porte s’est ouverte.
Derrière se trouvait une salle circulaire, nue, au centre de laquelle se dressait une statue de cristal noir.
En approchant nous avons compris qu’il s’agissait de Galaad et Guenièvre, pétrifiés par le même type de sortilège de magie noire que nous avions observé sur le site d’Excalibur. On distinguait la pose d’une femme au sol face à un homme brandissant une faux. La main de la femme qui avait dû tenir la faucille avait été brisée, et la faucille disparue.

Les sylphes récitèrent
Morts ils ne pouvaient l’être,
Oubliés il le fallait.
A jamais disparaître,
Enterrés à jamais.
A Gelmorra la porte fermée,
Les Morneterre tiennent la clé.
Jusqu’à l’arrivée des avanturiers.
Le palais envahi,
Le sang d’Orland a bouilli.
La statue, les rituels, la magie.
En un instant son âme était partie.
La sorcière a pris le pouvoir
Et le marais est plongé dans le noir.
Mais la faux est encore là,
Si vous la voulez, la voilà.

J’ai posé la main sur la faux dans sa gangue maudite, et elle s’est mise à luire. Le cristal s’est fracturé autour d’elle, la libérant.
C’est à ce moment-là que l’élézenne qui nous suivait depuis le début s’est montrée. Ophélinne Morneterre, la sœur de Miraline. Elle nous mit en garde contre la faux.
« Seule la mort vous attend avec cet objet. Ils puent la mort, et pas la mort paisible. L’autre était peut-être plus puissante (note : la faucille) mais celle-ci est insidieuse. »
Ivanhault était dérangé par l’artefact. La faux ne portait pas la marque de la corruption, mais il se méfiait.
« Galaad s’est clairement perdu en chemin. C’est de la rancœur et du désespoir qu’il y a là-dedans. Jera est une rune de vie, c’est anormal que Tarha et Djazah’ir ne l’aient pas allumée. Etudie avec soin les émotions qui la rongent.»
J’ai conservé la faux, je m’en servirai pour l’affrontement final face à Mordred.

[quote]lerith [center] [spoiler][youtube]JxTUlNo9CSU[/youtube][/spoiler] [img]https://www.zupimages.net/up/23/08/5mzu.png[/img][/center] [justify] Deux années passèrent, et lorsqu'ils remirent un pied dans le marais des Sylphes Bleues et du clan Morneterre, ils purent constater à quel point ce lieu avait changé. L'eau terreuse et la vase s'étaient assainies avec les remontées de la rivière des gemmes, et bien qu'ils pataugeaient dans la boue humide la bioluminescence et l'eau de rosée reflétant les rayons de lune rendaient cet endroit tellement plus vivant. Se souvenaient-ils de la route ? Même si c'était le cas, tout était bien trop différent à présent... sauf le sentier sous les arches trop voyant et trop parfait pour ne pas dire "vous marchez tout droit vers un piège" mais après tout n'est-ce pas là ce qu'ils souhaitaient ? Entre les arbres, de petits rires à peine audible se firent entendre et la sensation d'être observés grandissait au fur et à mesure qu'ils s'avançaient dans le marais, à la recherche d'une route jusqu'à lors ignorée... [center] [img]https://www.zupimages.net/up/21/15/spn1.png[/img][/center] Revoir les sylphes bleus provoqua quelques frayeurs chez les novices, peu habitués aux plaisanteries de ces petits êtres qui, bien qu'ils reconnurent leurs amis et sauveurs, n'avaient pu s'empêcher de les taquiner. Il suffit cependant de quelques chansons et histoires pour les sortir de leur cachette et leur demander de les guider jusqu'à la Rivière des Gemmes. Cette fois ils ne remontèrent pas le courant jusqu'à la source, mais le suivirent jusque dans les profondeurs de Gelmorra et le territoire des Morneterre, au plus près de cette zone appelée "Palais des Morts" où une porte les attendait, une porte fermée par un système de verouillage inconnu, et dix citrines imprégnées de souvenirs incrustées de chaque côté la fente. Ouvrir la porte, cela voulait dire retirer chaque gemme et affronter chacun de ces souvenirs, ainsi Galaad s'était assuré que celui qui viendrait prendre son héritage le ferait en connaissance de cause, et en sachant qui il était.[/justify] [center] [img]https://www.zupimages.net/up/21/15/spn1.png[/img][/center] [b]JERA, la faux Auteur : Valorius Solignac[/b] Deux ans plus tard, nous étions de retour dans la Rivière des Gemmes. Les galeries gelmorraines n’avaient pas changé, et les sylphes nous guidèrent jusqu’à la source, l’immense salle constellée de joyaux qui scintillaient comme des étoiles au plafond de la caverne et au fond de l’eau où nous marchions. Ici avaient été accumulés pendant des siècles des fragments de mémoire cristallisés, donc certains répondaient à notre contact. Le flux d’éther était en ce lieu d’une densité et d’une pureté remarquable. Ivanhault expliqua que la rivière s’enfonçait très profondément, et finissait probablement par se mêler à la mer des étoiles. Nous avons suivi le flux vers l’aval, cette fois, sous la lueur luminescente des gemmes incrustées dans les parois, jusqu’à atteindre une porte circulaire en pierre. L’eau s’insinuait dessous, la rune Jera ornait sa surface et sur la paroi supérieure était gravée la procession des Neuf. Cette fois, le porteur du coffre se trouvait au milieu du groupe et non devant. Aucune poignée ou serrure n’était visible, mais la fente verticale dans la pierre indiquait clairement que le passage devait s’ouvrir par le milieu. Dix gemmes jaunes étaient incrustées dans la porte, une rangée verticale de cinq sur chaque battant, en vis-à-vis. Nous avons identifié des citrines, elles étaient le support de souvenirs du Cavalier dont ce lieu était le tombeau, Galaad. En touchant les gemmes nous avons eu la vision d’épisodes marquants de sa vie. Galaad lisant sur les marches de la cathédrale d’Halone. Il observe de loin un groupe de jeunes gens qui parlent avec enthousiasme. Une jeune fille passe près de lui, c’est Guenièvre. Elle lui fait signe et part vers le groupe. Il répond mais semble contrarié et distant, il ne l’apprécie pas. Le groupe dans une taverne, le Chevalier Oublié à Ishgard. Le mage âgé et barbu encourage Galaad qui semble incertain, puis finit par serrer la main d’Arthurin. Galaad lisant assis sur un banc. Une dame en armure approche, se penche sur son épaule faisant mine de lire par-dessus pour le surprendre. Morgause lui sourit, et il a une tête d’amoureux, à la fois heureux et maladroit. Le mariage d’Arthurin et Guenièvre. Tous les chevaliers du groupe étaient là ainsi qu’un vieux mage, Merlinoix. Le témoin d’Arthurin avait une grande épée dans le dos avec un cristal vert dessus. Tout le monde semble heureux. Guenièvre lance le bouquet, Morgause l’attrape et regarde Galaad avec un air de penser « Haha tu vas y passer. ». Cela surprend Galaad qui fait un petit geste de recul. Galaad s’entraînant au maniement de la faux, jusqu’à en tomber d’épuisement. Il n’était jamais satisfait de ses performances, pour lui il n’y a de sens que si on est le meilleur. Dix hommes se disputant. Merlinoix finit par s’en aller. Arthurin essaie de le stopper mais n’y parvient pas. Le témoin d’Arthurin semble satisfait de la situation. La vision fait entendre la voix du vieux mage, qui dit qu’il n’a rien vu venir. Galaad défonçant la porte d’une maison. Il entre et trouve deux cadavres, Merlinoix et Morgause. IL prend la femme dans ses bras, abattu. Il murmure « Je savais… Je savais déjà. » Galaad marchant seul dans l’obscurité, à la recherche de Guenièvre, pour l’affronter. Sa voix exprime sa colère. « Toujours de sa faute, toujours. Si seulement elle n’avait jamais existé… Non ! Ce n’est pas juste ! » Galaad dans un lieu obscur, il tient sa faux qui brille intensément puis s’éteint d’un coup. Il semble furieux, bouillant de rage, et en voyant la faux s’éteindre il hurle que ça ne peut pas se finir ainsi. Galaad armé de sa faux sur le point de décapiter une Guenièvre semblable à celle que nous avons affronté, corrompue, mais encore vivante en ce temps là. Elle tente de parer avec sa faucille mais elle est déjà au sol. La scène ralentit et se fige. La voix de Galaad crie « j’ai échoué, j’ai échoué ». En retirant les gemmes, la porte s’est ouverte. Derrière se trouvait une salle circulaire, nue, au centre de laquelle se dressait une statue de cristal noir. En approchant nous avons compris qu’il s’agissait de Galaad et Guenièvre, pétrifiés par le même type de sortilège de magie noire que nous avions observé sur le site d’Excalibur. On distinguait la pose d’une femme au sol face à un homme brandissant une faux. La main de la femme qui avait dû tenir la faucille avait été brisée, et la faucille disparue. Les sylphes récitèrent [i]Morts ils ne pouvaient l’être, Oubliés il le fallait. A jamais disparaître, Enterrés à jamais. A Gelmorra la porte fermée, Les Morneterre tiennent la clé. Jusqu’à l’arrivée des avanturiers. Le palais envahi, Le sang d’Orland a bouilli. La statue, les rituels, la magie. En un instant son âme était partie. La sorcière a pris le pouvoir Et le marais est plongé dans le noir. Mais la faux est encore là, Si vous la voulez, la voilà.[/i] J’ai posé la main sur la faux dans sa gangue maudite, et elle s’est mise à luire. Le cristal s’est fracturé autour d’elle, la libérant. C’est à ce moment-là que l’élézenne qui nous suivait depuis le début s’est montrée. Ophélinne Morneterre, la sœur de Miraline. Elle nous mit en garde contre la faux. « Seule la mort vous attend avec cet objet. Ils puent la mort, et pas la mort paisible. L’autre était peut-être plus puissante (note : la faucille) mais celle-ci est insidieuse. » Ivanhault était dérangé par l’artefact. La faux ne portait pas la marque de la corruption, mais il se méfiait. « Galaad s’est clairement perdu en chemin. C’est de la rancœur et du désespoir qu’il y a là-dedans. Jera est une rune de vie, c’est anormal que Tarha et Djazah’ir ne l’aient pas allumée. Etudie avec soin les émotions qui la rongent.» J’ai conservé la faux, je m’en servirai pour l’affrontement final face à Mordred.[/quote]

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

" Au berceau de ses filles chantantes qui dévalaient le versant jusqu'aux vertes étendues, il trouva la porte qui ne s'ouvre qu'à celui qui s'est perdu. Il y trouva l'escalier pentu, marqué par ceux qui sont avant lui descendus. Tout en bas était la mort, mais sa foi avait déjà su conjurer le sort."

Après quelques tâtonnements, notre groupe arriva dans une ancienne mine proche d'Idyllée. Au bout des tunnels se trouvait une chapelle funéraire, d'un style typiquement ishgardais, avec la statue dorée d'un chevalier en armure tenant une lance. Le lieu était gardé par un gobelin, descendant d'une tribu que le chevalier Gauvain avait entrepris de protéger. Une aura magique fut repérée dans le socle de la statue. Sur le socle étaient inscrits les mots suivants, legs de Gauvain à ceux qui marcheraient dans ses traces : "Acte de Foi, acte de fou. Coeur de croyant, coeur en perdition. L'un et l'autre pourtant sont un chemin sûr vers le Bien ou vers le Mal."

Kyuuji pria et obtint une vision de Gauvain, le plus juste, le plus mesuré, le plus aimé. Et un autre message : "le plus humble de tous est le plus fervent de tous". Il fallait nettoyer la statue comme le faisaient les gobelins pour faire preuve d'humilité. Le gardien expliqua que Gauvain protégeait et aidait les petites gens, en particulier cette tribu de gobelins.

Le savon sembla dissoudre le mortier des briques, révélant la cavité où reposait la lance. Elle pesait son poids, mais nous l'avons emportée.

Le gobelin nous donna de précieuses informations sur les Neuf. Le nom de Mordred apparut, dixième chevalier, ambitieux, au point de trahir les autres et de mal tourner. Il voulait la boîte que l'on voit sur les fresques, objet de pouvoir que les autres cachèrent pour éviter qu'il ne s'en empare et que le gardien gobelin décrit comme "mauvais pour tous, dangereux". L'histoire date de la fondation d'Ishgard.

Le cavalier : Gauvain

Celui qu'on appellait "le très aimé" était un fervent défenseur de la foi, à la fois humble et altruiste. Il a vécu en bienfaiteurs des plus faibles et a fini ses jours dans l'arrière-pays dravanien où sa sépulture est gardée par des gobelins qui entretiennent son souvenir.

La rune : Sowelu

Rune de la foi et de la volonté. Elle s'accorde à la personnalité de Gauvain qui plaçait sa foi avant tout le reste, en Halone mais aussi en ses compagnons. La vérité de Gauvain, transmise par cette rune, met en garde contre la foi exacerbée qui fut son plus grand défaut tout au long de sa vie. Certes, il fit le bien, mais priant sans cesse pour les autres il finit par s'oublier lui-même et quand il fut seul, incapable de vivre pour lui-même, il erra sans véritable but et passa à côté de sa vie.

Relique : La Lance de Foi

Peut-être utilisée comme bâton de mage ou arme de mêlée.
Porteur : Albynn

[quote]lerith [center][img]https://www.zupimages.net/up/23/09/lz1x.png[/img] [justify][i]" Au berceau de ses filles chantantes qui dévalaient le versant jusqu'aux vertes étendues, il trouva la porte qui ne s'ouvre qu'à celui qui s'est perdu. Il y trouva l'escalier pentu, marqué par ceux qui sont avant lui descendus. Tout en bas était la mort, mais sa foi avait déjà su conjurer le sort."[/i] Après quelques tâtonnements, notre groupe arriva dans une ancienne mine proche d'Idyllée. Au bout des tunnels se trouvait une chapelle funéraire, d'un style typiquement ishgardais, avec la statue dorée d'un chevalier en armure tenant une lance. Le lieu était gardé par un gobelin, descendant d'une tribu que le chevalier Gauvain avait entrepris de protéger. Une aura magique fut repérée dans le socle de la statue. Sur le socle étaient inscrits les mots suivants, legs de Gauvain à ceux qui marcheraient dans ses traces : "Acte de Foi, acte de fou. Coeur de croyant, coeur en perdition. L'un et l'autre pourtant sont un chemin sûr vers le Bien ou vers le Mal." Kyuuji pria et obtint une vision de Gauvain, le plus juste, le plus mesuré, le plus aimé. Et un autre message : "le plus humble de tous est le plus fervent de tous". Il fallait nettoyer la statue comme le faisaient les gobelins pour faire preuve d'humilité. Le gardien expliqua que Gauvain protégeait et aidait les petites gens, en particulier cette tribu de gobelins. Le savon sembla dissoudre le mortier des briques, révélant la cavité où reposait la lance. Elle pesait son poids, mais nous l'avons emportée. Le gobelin nous donna de précieuses informations sur les Neuf. Le nom de Mordred apparut, dixième chevalier, ambitieux, au point de trahir les autres et de mal tourner. Il voulait la boîte que l'on voit sur les fresques, objet de pouvoir que les autres cachèrent pour éviter qu'il ne s'en empare et que le gardien gobelin décrit comme "mauvais pour tous, dangereux". L'histoire date de la fondation d'Ishgard.[/justify] [img]https://www.zupimages.net/up/21/15/spn1.png[/img] [justify][h3][b]Le cavalier : Gauvain[/b][/h3] [i]Celui qu'on appellait "le très aimé" était un fervent défenseur de la foi, à la fois humble et altruiste. Il a vécu en bienfaiteurs des plus faibles et a fini ses jours dans l'arrière-pays dravanien où sa sépulture est gardée par des gobelins qui entretiennent son souvenir.[/i] [h3][b]La rune : Sowelu[/b][/h3] [i]Rune de la foi et de la volonté. Elle s'accorde à la personnalité de Gauvain qui plaçait sa foi avant tout le reste, en Halone mais aussi en ses compagnons. La vérité de Gauvain, transmise par cette rune, met en garde contre la foi exacerbée qui fut son plus grand défaut tout au long de sa vie. Certes, il fit le bien, mais priant sans cesse pour les autres il finit par s'oublier lui-même et quand il fut seul, incapable de vivre pour lui-même, il erra sans véritable but et passa à côté de sa vie.[/i] [h3][b]Relique : La Lance de Foi[/b][/h3] [i]Peut-être utilisée comme bâton de mage ou arme de mêlée.[/i] Porteur : Albynn [/justify] [/center][/quote]

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

Note d'information spécifique
Objet: la rune gravée sur la lance de Gauvain
Auteur : Valorius Solignac

Cette rune se nomme Sowelu.
Elle est associée à l’élément Air, au Soleil et à la Foudre.
Couleurs : Blanc et or
Animaux : Aigle, lièvre
Arbre : chêne, laurier
Pierres : Topaze, Citrine

Sowelu est la force spirituelle, la volonté, la Foi. Elle est fontaine de lumière, de force, de joie et de prospérité.
Elle projette sa lumière sur le chemin qui est devant nous et rend les épreuves plus faciles. Elle peut symboliser un guide, un protecteur ou un enseignant.
Sowelu représente aussi la compréhension des mystères, l’illumination de l’âme, la victoire de la lumière sur les ténèbres. Nous avons également constaté que dans le groupe des Neuf cavaliers elle représente l’humilité.

En magie, Sowelu canalise et dirige la puissance. Elle peut amplifier les runes bénéfiques et s’oppose aux forces de mort et de désintégration.

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

Rapport de la soirée dite "de l'Elu" du 8ème soleil de la 1ère lune ombrale - Archives de bord de l'Eternal
Objet : Description et particularités de l'artefact Sowelu ᛊ
Auteur : Ivanhault Terrechant

Porteur actuel : Albynn

Sowelu se présente à nous sous sa forme de lance, telle que Gauvain la portait. L'objet répond à l'humilité ; c'est l'arme la plus intransigeante de notre arsenal, elle réprimande avec sévérité ceux qu'elle n'estime pas dignes de la porter en pesant sur eux de plus en plus lourd. Un non porteur bloqué sous Sowelu serait incapable de s'en libérer seul. Sowelu fonctionne de façon binaire : soit elle vous accepte, soit elle ne vous accepte pas. C'est la plus sélective des armes des Neuf (ndlr : Mais peut-être l'équipage manque-t-il également de personnes humbles.)

Avec les informations obtenues lors de la dernière mission qui a permis de retrouver le graal, je suis à présent en mesure d'affirmer avec certitude ce qui jusque là n'était qu'une hypothèse : comme tous les artefacts des Neuf, Sowelu est le fruit d'une aspiration personnelle de son créateur. Quand Gauvain a tiré son arme du Graal, il y a placé une qualité dans laquelle il se complaisait ; la vertu de l'humilité en Sowelu n'est pas absolue : elle correspond à la façon dont Gauvain la percevait, ce qui signifie que ses porteurs sont plus harmonisés à la personnalité du précédent porteur qu'à une vertu divine objective. Comme toutes les harmonies les plus marquantes de l'arsenal des Neuf, celle-là est donc à prendre avec un recul quant à ce qu'elle dit d'une personne harmonisée.

La lance est le premier objet qui a changé de taille de façon marquante ; elle s'est adaptée à la taille et au style d'Albynn dès qu'il a posé la main dessus.

Les derniers mots de Gauvain : "La foi aveugle, piété, humilité... m'ont valu d'être aimé de tous, à tel point que je me suis laissé enfermer dans ce portrait si agréable... et cessé de vivre pour moi-même. Ne commets pas cet erreur, cet telle est la vérité que j'ai laissé derrière moi."

Compatibilités de la lance :
4 : Djazah'ir ; Albynn
3 : Meleth ; Liiz
2 : Tarha
1 : Nashasha ; Silius
0 : Lysia ; Valorius ; Floe ; Nazah ; Iko ; Ivanhault

Résonances particulières :
Avec Silius, l'arme ne s'allume pas. Il est en mesure de la porter mais elle pèse le simple poids d'une lance. Certaines résonances nulles auraient pu être considérées en valeurs négatives tant la sanction de Sowelu était lourde à porter. J'ai décidé pour cette étude de ne pas en tenir compte.

Note sur les valeurs utilisées :
4 : Flamboiement aveuglant et stable
3 : Luminosité puissante et stable
2 : Lumière stable et / ou moyenne
1 : Lumière faible et / ou clignotante
0 : Aucune réaction

[quote]lerith [quote][justify][b]Rapport de la soirée dite "de l'Elu" du 8ème soleil de la 1ère lune ombrale - Archives de bord de l'Eternal Objet : Description et particularités de l'artefact Sowelu ᛊ Auteur : Ivanhault Terrechant[/b] [i][b]Porteur actuel : Albynn[/b] Sowelu se présente à nous sous sa forme de lance, telle que Gauvain la portait. L'objet répond à l'humilité ; c'est l'arme la plus intransigeante de notre arsenal, elle réprimande avec sévérité ceux qu'elle n'estime pas dignes de la porter en pesant sur eux de plus en plus lourd. Un non porteur bloqué sous Sowelu serait incapable de s'en libérer seul. Sowelu fonctionne de façon binaire : soit elle vous accepte, soit elle ne vous accepte pas. C'est la plus sélective des armes des Neuf [color=#ff3333](ndlr : Mais peut-être l'équipage manque-t-il également de personnes humbles.)[/color] Avec les informations obtenues lors de la dernière mission qui a permis de retrouver le graal, je suis à présent en mesure d'affirmer avec certitude ce qui jusque là n'était qu'une hypothèse : comme tous les artefacts des Neuf, Sowelu est le fruit d'une aspiration personnelle de son créateur. Quand Gauvain a tiré son arme du Graal, il y a placé une qualité dans laquelle il se complaisait ; la vertu de l'humilité en Sowelu n'est pas absolue : elle correspond à la façon dont Gauvain la percevait, ce qui signifie que ses porteurs sont plus harmonisés à la personnalité du précédent porteur qu'à une vertu divine objective. Comme toutes les harmonies les plus marquantes de l'arsenal des Neuf, celle-là est donc à prendre avec un recul quant à ce qu'elle dit d'une personne harmonisée. La lance est le premier objet qui a changé de taille de façon marquante ; elle s'est adaptée à la taille et au style d'Albynn dès qu'il a posé la main dessus.[/i][/justify] [quote][i][b]Les derniers mots de Gauvain :[/b] "La foi aveugle, piété, humilité... m'ont valu d'être aimé de tous, à tel point que je me suis laissé enfermer dans ce portrait si agréable... et cessé de vivre pour moi-même. Ne commets pas cet erreur, cet telle est la vérité que j'ai laissé derrière moi." [/i][/quote] [justify][i][b]Compatibilités de la lance :[/b] 4 : Djazah'ir ; Albynn 3 : Meleth ; Liiz 2 : Tarha 1 : Nashasha ; Silius 0 : Lysia ; Valorius ; Floe ; Nazah ; Iko ; Ivanhault [b]Résonances particulières :[/b] Avec Silius, l'arme ne s'allume pas. Il est en mesure de la porter mais elle pèse le simple poids d'une lance. Certaines résonances nulles auraient pu être considérées en valeurs négatives tant la sanction de Sowelu était lourde à porter. J'ai décidé pour cette étude de ne pas en tenir compte. Note sur les valeurs utilisées : 4 : Flamboiement aveuglant et stable 3 : Luminosité puissante et stable 2 : Lumière stable et / ou moyenne 1 : Lumière faible et / ou clignotante 0 : Aucune réaction[/i][/justify] [justify][/justify] [/quote][/quote]

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

"Le froid a figé la flamme, dans la gueule du dragon enroulé sur la montagne pleure les larmes cristallines. Il veille et regarde la lame figée."

Le tumulus de Lancelault n'a pas pu être exploré car il était effondré. Le gisant et le bouclier artefact avaient glissé au bas de la structure dans un profond trou d'eau aujourd'hui gelé. Une fois la glace dégagée, on découvrit le gisant et le bouclier, fait d'un métal froid et luisant et orné d'une rune. Un golem de glace apparut et attaqua les profanateurs. Ivanhault brandit le cristal vert trouvé dans la Rivière des Gemmes (dont nous allions apprendre bien plus tard qu'il avait appartenu à Mordred), ce qui attira sur lui immédiatement et exclusivement la fureur du golem. Le golem criait avec une voix de femme "Soit vengé Lancelault mon bien -aimé!" Une vision a montré à certains des présents trois hommes et une femme en train d'inhumer Lancelault à cet endroit. La femme se nomme Elaine, les trois chevaliers étaient Arthurin (le chef), Galaad (de la Rivière des Gemmes), et un plus jeune nommé Percival.

On suppose que Lanceleault est mort face à Mordred ou durant la Guerre des dragons.

Le cavalier : Lanceleault

Le vertueux, bercé par des mots tels que "devoir" et "honneur" il se devait d'incarner l'exemplarité, au point d'en négliger -voir ignorer- l'amour que lui portait Elaine la sœur de Percival, qui follement éprise en pleura la disparition jusqu'à la folie. C'est elle qui créa le golem de pierre -devenu glace- chargé de veiller sur sa tombe.

La rune : Othalaz

Les recherches menées sur cette rune ont permit de l'associer au poids de l'héritage et du devoir collectif qui devait peser sur les épaules de cet homme, sans doute un peu trop. La "vérité" laissée derrière lui à travers elle n'était autre que les travers de la bien-pensance et le sentiment de supériorité, même involontaire, qu'il nourrit à l'intérieur de soi.

Relique : Le Bouclier de Vertu

Si l'épée a été brisée ou perdue dans la destruction de la tombe, la relique était bel et bien le bouclier qui réagissait à la bonne volonté et au sens (trop) aigu du devoir et de l'engagement. Il a été détruit par Valka suite à la découverte du Graal.

[quote]lerith [center][img]https://www.zupimages.net/up/23/09/qzbr.png[/img] [justify][i]"Le froid a figé la flamme, dans la gueule du dragon enroulé sur la montagne pleure les larmes cristallines. Il veille et regarde la lame figée."[/i] Le tumulus de Lancelault n'a pas pu être exploré car il était effondré. Le gisant et le bouclier artefact avaient glissé au bas de la structure dans un profond trou d'eau aujourd'hui gelé. Une fois la glace dégagée, on découvrit le gisant et le bouclier, fait d'un métal froid et luisant et orné d'une rune. Un golem de glace apparut et attaqua les profanateurs. Ivanhault brandit le cristal vert trouvé dans la Rivière des Gemmes (dont nous allions apprendre bien plus tard qu'il avait appartenu à Mordred), ce qui attira sur lui immédiatement et exclusivement la fureur du golem. Le golem criait avec une voix de femme "Soit vengé Lancelault mon bien -aimé!" Une vision a montré à certains des présents trois hommes et une femme en train d'inhumer Lancelault à cet endroit. La femme se nomme Elaine, les trois chevaliers étaient Arthurin (le chef), Galaad (de la Rivière des Gemmes), et un plus jeune nommé Percival. On suppose que Lanceleault est mort face à Mordred ou durant la Guerre des dragons. [/justify] [img]https://www.zupimages.net/up/21/15/spn1.png[/img] [justify][h3][b]Le cavalier : Lanceleault[/b][/h3] [i]Le vertueux, bercé par des mots tels que "devoir" et "honneur" il se devait d'incarner l'exemplarité, au point d'en négliger -voir ignorer- l'amour que lui portait Elaine la sœur de Percival, qui follement éprise en pleura la disparition jusqu'à la folie. C'est elle qui créa le golem de pierre -devenu glace- chargé de veiller sur sa tombe. [/i] [h3][b]La rune : Othalaz[/b][/h3] [i]Les recherches menées sur cette rune ont permit de l'associer au poids de l'héritage et du devoir collectif qui devait peser sur les épaules de cet homme, sans doute un peu trop. La "vérité" laissée derrière lui à travers elle n'était autre que les travers de la bien-pensance et le sentiment de supériorité, même involontaire, qu'il nourrit à l'intérieur de soi. [/i] [h3][b]Relique : Le Bouclier de Vertu[/b][/h3] [i]Si l'épée a été brisée ou perdue dans la destruction de la tombe, la relique était bel et bien le bouclier qui réagissait à la bonne volonté et au sens (trop) aigu du devoir et de l'engagement. Il a été détruit par Valka suite à la découverte du Graal. [/i] [/justify] [/center][/quote]

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

Note d'information spécifique
Objet: la rune gravée à l'intérieur du bouclier de Lancelault
Auteur : Valorius Solignac

Cette rune se nomme Othalaz.
Elle est associée au foyer, à l'héritage et à la transmission du savoir, et plus largement à un accomplissement qui profite à tout le groupe, qu'il soit une famille ou une civilisation entière.
Couleurs : Or, rouge et bleu
Animal : le loup, qui vit en communauté structurée
Arbres : Aubépine (haie de clôture)
Pierres : fossiles, Ambre

La structure de la rune révèle sa fonction. Fermée dans le carré haut, elle est l'enceinte protectrice du domaine, un élément de stabilité qui maintient l’ordre parmi les siens. Ouverte par les deux branches du bas, elle indique la possibilité d'une transmission.

Dernière rune de l'alphabet, Othalaz représente l'harmonie ultime, l'équilibre entre l'ordre et le chaos, entre la liberté et l'autorité. Elle représente l'homme accompli qui a construit un groupe social ancré sur l'héritage ancestral et tourné vers un avenir meilleur. Othalaz est Utopie.
Othalaz est également liée au Temps. Contrairement à Jera qui représente les cycles de la nature, Othalaz inscrit l'homme dans sa ligne temporelle, reliant ancêtres et descendance.

La signification profonde d'Othalaz renvoie à la noblesse au sens premier. Noblesse des idéaux et noblesse de fonction, quand l'homme se fait guide et protecteur de la famille puis de la nation, voire de l'univers tout entier, dans le but d'apporter paix et prospérité au plus grand nombre.
Othalaz nous invite à trouver notre véritable famille, à entrer en osmose avec un groupe, voire même à découvrir le sens profond de notre existence en nous reliant aux énergies du monde lui-même.

En magie, cette rune est un creuset où se déroulent des transmutations. Elle est également un réceptacle qui peut stocker de la puissance. Les branches de la rune canalisent alors cette énergie vers l'extérieur quand cela est nécessaire. Othalaz permet de matérialiser des travaux magiques.

[quote]lerith [quote][justify][b]Note d'information spécifique Objet: la rune gravée à l'intérieur du bouclier de Lancelault[/b] Auteur : Valorius Solignac [img]https://zupimages.net/up/21/23/hkzi.jpg[/img] Cette rune se nomme Othalaz. Elle est associée au foyer, à l'héritage et à la transmission du savoir, et plus largement à un accomplissement qui profite à tout le groupe, qu'il soit une famille ou une civilisation entière. Couleurs : Or, rouge et bleu Animal : le loup, qui vit en communauté structurée Arbres : Aubépine (haie de clôture) Pierres : fossiles, Ambre La structure de la rune révèle sa fonction. Fermée dans le carré haut, elle est l'enceinte protectrice du domaine, un élément de stabilité qui maintient l’ordre parmi les siens. Ouverte par les deux branches du bas, elle indique la possibilité d'une transmission. Dernière rune de l'alphabet, Othalaz représente l'harmonie ultime, l'équilibre entre l'ordre et le chaos, entre la liberté et l'autorité. Elle représente l'homme accompli qui a construit un groupe social ancré sur l'héritage ancestral et tourné vers un avenir meilleur. Othalaz est Utopie. Othalaz est également liée au Temps. Contrairement à Jera qui représente les cycles de la nature, Othalaz inscrit l'homme dans sa ligne temporelle, reliant ancêtres et descendance. La signification profonde d'Othalaz renvoie à la noblesse au sens premier. Noblesse des idéaux et noblesse de fonction, quand l'homme se fait guide et protecteur de la famille puis de la nation, voire de l'univers tout entier, dans le but d'apporter paix et prospérité au plus grand nombre. Othalaz nous invite à trouver notre véritable famille, à entrer en osmose avec un groupe, voire même à découvrir le sens profond de notre existence en nous reliant aux énergies du monde lui-même. En magie, cette rune est un creuset où se déroulent des transmutations. Elle est également un réceptacle qui peut stocker de la puissance. Les branches de la rune canalisent alors cette énergie vers l'extérieur quand cela est nécessaire. Othalaz permet de matérialiser des travaux magiques.[/justify] [/quote][/quote]

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

"Ici la fin de toute chose. Avant le passage vers la vie six pieds sous terre les quatre yeux veillent. Embrasse l'obscurité car la lumière conduit au trépas du sombre linceul."

Nous avons suivi une galerie souterraine balisée par des mousses luminescentes sur les murs, visibles uniquement dans le noir.
Cela nous a conduits jusqu'à une grotte d'une dizaine de pas de diamètre, éclairée par la lune via une ouverture au plafond.
Au centre de la salle se trouvait un sarcophage assez simple de style ishgardais, surmonté d'un gisant sculpté. Le gisant était un chevalier en armure, tenant entre ses mains un astromètre au lieu d'une épée. Sur son front était gravée la rune Perthro
Des inscriptions étaient visibles sur les flancs du tombeau : le nom Lionel, et une phrase disant "A celui qui a su voir l'avenir dans l'obscurité, pardonne-moi mon frère, tu seras vengé.

En ouvrant le tombeau, Ivanhault, Nazah et Napa ont été victimes d'une malédiction d'astromancien. Ivanhault a décrit cela comme "un noeud tordu dans le destin". Napa a eu l'idée de s'allonger dans le sarcophage et de le refermer. Elle a ainsi pu découvrir l'inscription gravée à l'envers du couvercle, un dessin de l'Etoile Polaire accompagné des mots "dans l'obscurité je vois".
Enfermée à l'intérieur de la tombe, Napa a pu communiquer avec le fantôme de Lionel.
Il lui a dit que l'expression "voir dans l'obscurité", c'était pour traduire le fait que jusqu'à la fin il a voulu voir le bien qui pouvait subsister dans Mordred. Et que ce que nous cherchions se trouvait dans les constellations. Napa a également dit que Lionel avait pardonné la profanation de sa tombe (la malédiction était levée), mais qu'il fallait lui rendre les objets trouvés dans le tombeau. Ce qui fut fait, ainsi qu'une bénédiction par Kyuuji.

Nous avons ensuite utilisé le pouvoir de la rune Perthro dans la salle précédente au plafond peint de constellations, juste sous l'Etoile Polaire. Canalisée par Valorius en combinaison avec l'ensemble du groupe, la magie révéla la cache du plafond, d'où Ivanhault et Isaudorel parvinrent à extraire l'Etoile de Lionel.

Le cavalier : Lionel

De ce que nous savons de lui, Lionel était une personne généreuse et profondément aimante qui croyait en les liens d'amour et d'amitié au point d'avoir cru jusqu'au dernier moment qu'il était possible de sauver Mordred. Cette foi aveugle lui aura cependant coûté la vie.

La rune : Pert ou Perthro

La rune du Destin, ses mystères et son questionnement. On l'associe à la divination et de ce fait il semble cohérent qu'elle ai été associée à un astromancien.

Relique : L'Etoile du Destin Brisé

Fermée, cette relique a l'apparence d'une étoile en métal qui pourrait servir de décoration ou de presse-papier vu son poids assez lourd. Quand on y insuffle de l'ether pour l'ouvrir, l'Etoile se déploie alors en astromètre d'or d'une très grande qualité et dont les éléments de constellations sont finement ouvragés.

[quote]lerith [center][img]https://www.zupimages.net/up/23/13/p9fs.png[/img] [justify][i]"Ici la fin de toute chose. Avant le passage vers la vie six pieds sous terre les quatre yeux veillent. Embrasse l'obscurité car la lumière conduit au trépas du sombre linceul."[/i] Nous avons suivi une galerie souterraine balisée par des mousses luminescentes sur les murs, visibles uniquement dans le noir. Cela nous a conduits jusqu'à une grotte d'une dizaine de pas de diamètre, éclairée par la lune via une ouverture au plafond. Au centre de la salle se trouvait un sarcophage assez simple de style ishgardais, surmonté d'un gisant sculpté. Le gisant était un chevalier en armure, tenant entre ses mains un astromètre au lieu d'une épée. Sur son front était gravée la rune Perthro Des inscriptions étaient visibles sur les flancs du tombeau : le nom Lionel, et une phrase disant "A celui qui a su voir l'avenir dans l'obscurité, pardonne-moi mon frère, tu seras vengé. En ouvrant le tombeau, Ivanhault, Nazah et Napa ont été victimes d'une malédiction d'astromancien. Ivanhault a décrit cela comme "un noeud tordu dans le destin". Napa a eu l'idée de s'allonger dans le sarcophage et de le refermer. Elle a ainsi pu découvrir l'inscription gravée à l'envers du couvercle, un dessin de l'Etoile Polaire accompagné des mots "dans l'obscurité je vois". Enfermée à l'intérieur de la tombe, Napa a pu communiquer avec le fantôme de Lionel. Il lui a dit que l'expression "voir dans l'obscurité", c'était pour traduire le fait que jusqu'à la fin il a voulu voir le bien qui pouvait subsister dans Mordred. Et que ce que nous cherchions se trouvait dans les constellations. Napa a également dit que Lionel avait pardonné la profanation de sa tombe (la malédiction était levée), mais qu'il fallait lui rendre les objets trouvés dans le tombeau. Ce qui fut fait, ainsi qu'une bénédiction par Kyuuji. Nous avons ensuite utilisé le pouvoir de la rune Perthro dans la salle précédente au plafond peint de constellations, juste sous l'Etoile Polaire. Canalisée par Valorius en combinaison avec l'ensemble du groupe, la magie révéla la cache du plafond, d'où Ivanhault et Isaudorel parvinrent à extraire l'Etoile de Lionel. [/justify] [img]https://www.zupimages.net/up/21/15/spn1.png[/img] [justify][h3][b]Le cavalier : Lionel[/b][/h3] [i]De ce que nous savons de lui, Lionel était une personne généreuse et profondément aimante qui croyait en les liens d'amour et d'amitié au point d'avoir cru jusqu'au dernier moment qu'il était possible de sauver Mordred. Cette foi aveugle lui aura cependant coûté la vie. [/i] [h3][b]La rune : Pert ou Perthro[/b][/h3] [i]La rune du Destin, ses mystères et son questionnement. On l'associe à la divination et de ce fait il semble cohérent qu'elle ai été associée à un astromancien. [/i] [h3][b]Relique : L'Etoile du Destin Brisé[/b][/h3] [i]Fermée, cette relique a l'apparence d'une étoile en métal qui pourrait servir de décoration ou de presse-papier vu son poids assez lourd. Quand on y insuffle de l'ether pour l'ouvrir, l'Etoile se déploie alors en astromètre d'or d'une très grande qualité et dont les éléments de constellations sont finement ouvragés.[/i] [/justify] [/center][/quote]

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

Note d'information spécifique
Objet: la rune gravée à l'intérieur de l’astromètre de Lionel
Auteur : Valorius Solignac

Cette rune se nomme Perthro.
Elle est associée à l’élément Eau.
Couleurs : Noir et bleu nuit.
Animal : la corneille
Arbre : Pommier (connaissance)
Pierres : Amethyste, Onyx

Perthro représente le Destin en tant que puissance en action dans l’Univers.
Perthro est la rune des questions, des doutes et des suppositions, utilisée par ceux qui cherchent à percer les mystères qui les entourent ou ceux qui reposent en eux-mêmes.

Le Destin selon Perthro n’est pas subi mais assumé. C’est le libre arbitre et la loi de cause à effet.
Perthro nous enseigne qu’il faut descendre au fond de soi-même et se questionner honnêtement. Perthro nous montre l’essence de notre devenir si nous avons le courage de l’accepter. Elle nous dit aussi que tous les choix, tous les actes auront des conséquences.

En magie Perthro permet la divination.
Dans un schéma magique, elle sert à transformer une idée en acte magique. Elle représente le principe de manifestation, elle amène les choses à la vie, elle révèle ce qui était caché.

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

Rapport de la soirée dite "de l'Elu" du 8ème soleil de la 1ère lune ombrale - Archives de bord de l'Eternal
Objet : Description et particularités de l'artefact Perth ᛈ
Auteur : Ivanhault Terrechant

Porteur actuel : Ivanhault

Perth s'est d'abord présenté sous la forme d'un astromètre. Il était porté par Lionel, dont la foi indéfectible en Mordred a scellé le destin. La clé de son histoire était d'aller à l'encontre de la faiblesse morale du précédent porteur en acceptant de cesser de s'aveugler et de faire ce qu'il fallait, quand il le fallait, pour éteindre définitivement la menace que représentait son ancien ami.

Les remerciements que m'a adressés Lionel laissent penser que la véritable solution de l'histoire était d'aller à l'encontre des défauts intrinsèques aux armes. Si chacun des chevaliers a désiré de tout son cœur être parangon de vertu, c'est en réalité leur propre cœur qui s'est reflété dans leurs armes, exactement de la même façon que nous imprimons qui nous sommes dans des cristaux. De là, les avertissements reçus au cours des quêtes : attention à ce que vous désirez en approchant le graal, il ne s'intéresse pas à ce que vous pensez de vous-même et reflètera qui vous êtes.

La forme d'astromètre pose question ; en effet, si Ishgard a développé une tradition d'astronomie, celle-ci tournait autour de la seule constellation du Dragon qui leur permettait de prévoir les mouvements d'attaque pendant la guerre du Chant des Dragons et aucun instrument de combat n'a jamais été développé à partir de cette science. L'astromètre est un outil typiquement Sharlayanais, il prend en compte toutes les constellations divines. Il est possible que Lionel ait été formé par un Sharlayanais, l'île n'ayant pas toujours été si culturellement fermée qu'elle l'est devenue suite à l'augmentation de la menace de guerre mondiale provoquée par l'ascension de Garlemald.

Suite à mes essais de modification d'arme, Perth a pris la forme d'une rapière et n'en a plus voulu bouger. Je prévois cependant de la replacer dans le graal.

Les derniers mots de Lionel : "J'ai cru, cru encore, et trop cru jusqu'à laisser mourir et me laisser mourir alors que je voulais préserver la vie. Telle est la vérité que j'ai laissé derrière moi. Merci d'avoir réparé le tort que j'ai causé, en faisant ce que je n'ai jamais pu faire."

Compatibilités :
4 : Ivanhault, Nashasha
3 : Valorius, Silius
2 : Liiz
1 : Lysia, Nazah, Iko, Meleth, Tarha, Djazah'ir
0 : Floerswys

Résonances particulières :
L'harmonie de Silius et Valorius est intense, mais l'arme ne s'ouvre pas comme elle le fait avec Ivanhault et Nashasha. Tous les autres présentent des brillances variées, sans sanction particulière.

Note sur les valeurs utilisées :
4 : Flamboiement aveuglant et stable
3 : Luminosité puissante et stable
2 : Lumière stable et / ou moyenne
1 : Lumière faible et / ou clignotante
0 : Aucune réaction

[quote]lerith [quote][justify][b]Rapport de la soirée dite "de l'Elu" du 8ème soleil de la 1ère lune ombrale - Archives de bord de l'Eternal Objet : Description et particularités de l'artefact Perth ᛈ Auteur : Ivanhault Terrechant[/b] [i][b]Porteur actuel : Ivanhault[/b] Perth s'est d'abord présenté sous la forme d'un astromètre. Il était porté par Lionel, dont la foi indéfectible en Mordred a scellé le destin. La clé de son histoire était d'aller à l'encontre de la faiblesse morale du précédent porteur en acceptant de cesser de s'aveugler et de faire ce qu'il fallait, quand il le fallait, pour éteindre définitivement la menace que représentait son ancien ami. Les remerciements que m'a adressés Lionel laissent penser que la véritable solution de l'histoire était d'aller à l'encontre des défauts intrinsèques aux armes. Si chacun des chevaliers a désiré de tout son cœur être parangon de vertu, c'est en réalité leur propre cœur qui s'est reflété dans leurs armes, exactement de la même façon que nous imprimons qui nous sommes dans des cristaux. De là, les avertissements reçus au cours des quêtes : attention à ce que vous désirez en approchant le graal, il ne s'intéresse pas à ce que vous pensez de vous-même et reflètera qui vous êtes. La forme d'astromètre pose question ; en effet, si Ishgard a développé une tradition d'astronomie, celle-ci tournait autour de la seule constellation du Dragon qui leur permettait de prévoir les mouvements d'attaque pendant la guerre du Chant des Dragons et aucun instrument de combat n'a jamais été développé à partir de cette science. L'astromètre est un outil typiquement Sharlayanais, il prend en compte toutes les constellations divines. Il est possible que Lionel ait été formé par un Sharlayanais, l'île n'ayant pas toujours été si culturellement fermée qu'elle l'est devenue suite à l'augmentation de la menace de guerre mondiale provoquée par l'ascension de Garlemald. Suite à mes essais de modification d'arme, Perth a pris la forme d'une rapière et n'en a plus voulu bouger. Je prévois cependant de la replacer dans le graal.[/i][/justify] [quote][i][b]Les derniers mots de Lionel :[/b] "J'ai cru, cru encore, et trop cru jusqu'à laisser mourir et me laisser mourir alors que je voulais préserver la vie. Telle est la vérité que j'ai laissé derrière moi. Merci d'avoir réparé le tort que j'ai causé, en faisant ce que je n'ai jamais pu faire." [/i][/quote] [justify][i][b]Compatibilités :[/b] 4 : Ivanhault, Nashasha 3 : Valorius, Silius 2 : Liiz 1 : Lysia, Nazah, Iko, Meleth, Tarha, Djazah'ir 0 : Floerswys [b]Résonances particulières :[/b] L'harmonie de Silius et Valorius est intense, mais l'arme ne s'ouvre pas comme elle le fait avec Ivanhault et Nashasha. Tous les autres présentent des brillances variées, sans sanction particulière. Note sur les valeurs utilisées : 4 : Flamboiement aveuglant et stable 3 : Luminosité puissante et stable 2 : Lumière stable et / ou moyenne 1 : Lumière faible et / ou clignotante 0 : Aucune réaction[/i][/justify] [justify][/justify] [/quote][/quote]

Lerith Il y a 10 mois et 1 semaine

"Ils moururent par centaines, mais un seul est étranger.
Noyé dans le sel il fut oublié.
Victimes de la dame qui demeure,
ils attendent à l'entrée du sanctuaire figés dans la terreur.

Fuyez son regard,
craignez son baiser,
au soleil levé
il sera trop tard."

L’accès se fit par un tunnel sous l’eau dans le lac salé devant Ala Mhigo. Le tunnel était marqué de la rune Berkano.
Après un tunnel monumental, une salle circulaire haute de plusieurs étages avec un escalier en spirale.
Dans le tunnel comme dans la salle se trouvaient de nombreuses statues de pierre grandeur nature. Toutes étaient figées dans une posture de fuite terrifiée ou de combat, et portaient un équipement évoquant des aventuriers.
Avant d’arriver à l’endroit où résidait l’occupante des lieux, le groupe emprunta un couloir décoré de fresques assez simples, peintes et repeintes, représentant des scènes de conte romantique pour jeune fille.
La dernière salle était accessible par un pont et là encore il y avait des statues.

Le groupe rencontra Mélusine, une lamia. Elle leur raconta son histoire et leur montra la statue du chevalier Tristan, figé dans une posture d’étreinte, un genou en terre.

Tristan et Mélusine s’aimaient. Tristan avait entrepris la quête du Graal dans le but de l’utiliser pour libérer Mélusine et lui rendre forme humaine. Il venait souvent la visiter et la protégeait des aventuriers qui croyaient pouvoir trouver un trésor dans le temple abandonné où elle se terrait pour ne plus blesser personne. C’est à la fin de l’un de ces combats, qui dura jusqu’à l’aube, qu’elle pétrifia involontairement son amant.
Mélusine ne supporte pas le soleil, qui la rend folle. Tous ceux qui la rencontrent de jour n’ont en face d’eux qu’une bête qui se défend en pétrifiant ceux qui croisent son regard. La nuit, elle redevient un être intelligent avec qui il est possible de converser. Elle aime les histoires romanesques.

Karadoc et Percival apportèrent la claymore de Tristan à Mélusine, pour qu’elle la garde dans le lieu qui était devenu le tombeau de leur ami.

Le cavalier : Tristan

Courageux, romantique, rêveur... même après la disparition d'Arthurin il continua de voyager avec ses compagnons restant, jusqu'à ce que la mort l'emporte. De tous les aventuriers venus occire la lamia que tous prenaient pour un monstre, il fut le seul à s'attarder sur sa malédiction et voulut la sauver. Blessé à mort lors d'un combat contre un de ces groupes de mercenaires venus abattre Mélusine, il demanda à voir son visage -et mourir ainsi pétrifié par son regard- plutôt que de mourir par sa main quand le soleil se lèverait.

La rune : Berkano

La naissance et la renaissance de ce qui pousse et croît. Représentée par la femme, la mère nourricière comme la Terre on l'associera à la mère nourricière ou protectrice d'un foyer-sanctuaire destiné à préserver ce qui s'y trouve. Dans le cas présent, Mélusine protégeait leur amour secret qui ne cessa de grandir dans l'ombre de cette caverne.

Relique : La Claymore de l'Amant

Celui qui croit en l'amour véritable et l'aurait même déjà connu serait capable de la brandir pour protéger ce à quoi il tient. Le temps passé sous la garde de Mélusine n'a fait que croître son effet au point de la rendre lourde et impossible à soulever pour quiconque ne serait pas capable d'aimer sincèrement, à l'inverse elle sera aussi légère qu'une plume pour celui ou celle qui en sera digne.

Harmonie parfaite : Valorius; Nazah
Harmonie forte : Ivanhault ; Djazah'ir ; Tarha ; Nashasha ; Iko ; Liiz ; Lysia

Note d'information spécifique
Objet: la rune gravée sur la claymore de Tristan
Auteur : Valorius Solignac

Cette rune se nomme Berkano
Elle est liée à l’élément Terre
Couleurs : vert et brun.
Animal : le sanglier
Arbre : Bouleau, premier arbre à reprendre vie au printemps.
Pierres : Calcédoine, pierre de lune, agate mousse

Berkano représente la Terre-Mère. Sa forme évoque les seins d’une femme, ou la silhouette d’une femme enceinte de profil. Elle incarne la naissance et la renaissance après la mort au fil des cycles.
Elle symbolise l’Ici et Maintenant, la sagesse de la mâturité.
Au niveau spirituel, elle évoque des changements, des accomplissements, une croissance continuellement renouvelée. Berkano nous apprend à accepter avec sagesse les cycles de transformation dont est faite l’existence.

Rune de secret, de sanctuaire, elle appelle à un silence attentif celui qui veille en retrait pour protéger les autres. Berkano est la rune de l’amour donné et de la confiance dans cette protection.
Berkano porte aussi l’essence d’un pouvoir créateur, que ce soit au niveau sexuel ou par des activités artistiques ou artisanales.

En magie, Berkano est un stabilisateur.
Liée au pouvoir d’un abri sûr et caché, elle intervient dans les sortilèges de défense et de protection, en fournissant une force passive capable de contenir d’autres pouvoirs et de les maintenir assemblés.
Elle est utilisée pour des sortilèges de dissimulation.
Elle est utilisée dans les rituels de fertilité, de soin et de purification et de croissance végétale.

[quote]lerith [center][img]https://www.zupimages.net/up/23/15/dbht.png[/img] [justify][i]"Ils moururent par centaines, mais un seul est étranger. Noyé dans le sel il fut oublié. Victimes de la dame qui demeure, ils attendent à l'entrée du sanctuaire figés dans la terreur. Fuyez son regard, craignez son baiser, au soleil levé il sera trop tard."[/i] L’accès se fit par un tunnel sous l’eau dans le lac salé devant Ala Mhigo. Le tunnel était marqué de la rune Berkano. Après un tunnel monumental, une salle circulaire haute de plusieurs étages avec un escalier en spirale. Dans le tunnel comme dans la salle se trouvaient de nombreuses statues de pierre grandeur nature. Toutes étaient figées dans une posture de fuite terrifiée ou de combat, et portaient un équipement évoquant des aventuriers. Avant d’arriver à l’endroit où résidait l’occupante des lieux, le groupe emprunta un couloir décoré de fresques assez simples, peintes et repeintes, représentant des scènes de conte romantique pour jeune fille. La dernière salle était accessible par un pont et là encore il y avait des statues. Le groupe rencontra Mélusine, une lamia. Elle leur raconta son histoire et leur montra la statue du chevalier Tristan, figé dans une posture d’étreinte, un genou en terre. Tristan et Mélusine s’aimaient. Tristan avait entrepris la quête du Graal dans le but de l’utiliser pour libérer Mélusine et lui rendre forme humaine. Il venait souvent la visiter et la protégeait des aventuriers qui croyaient pouvoir trouver un trésor dans le temple abandonné où elle se terrait pour ne plus blesser personne. C’est à la fin de l’un de ces combats, qui dura jusqu’à l’aube, qu’elle pétrifia involontairement son amant. Mélusine ne supporte pas le soleil, qui la rend folle. Tous ceux qui la rencontrent de jour n’ont en face d’eux qu’une bête qui se défend en pétrifiant ceux qui croisent son regard. La nuit, elle redevient un être intelligent avec qui il est possible de converser. Elle aime les histoires romanesques. Karadoc et Percival apportèrent la claymore de Tristan à Mélusine, pour qu’elle la garde dans le lieu qui était devenu le tombeau de leur ami. [/justify] [img]https://www.zupimages.net/up/21/15/spn1.png[/img] [justify] [h3][b]Le cavalier : Tristan[/b][/h3] [i]Courageux, romantique, rêveur... même après la disparition d'Arthurin il continua de voyager avec ses compagnons restant, jusqu'à ce que la mort l'emporte. De tous les aventuriers venus occire la lamia que tous prenaient pour un monstre, il fut le seul à s'attarder sur sa malédiction et voulut la sauver. Blessé à mort lors d'un combat contre un de ces groupes de mercenaires venus abattre Mélusine, il demanda à voir son visage -et mourir ainsi pétrifié par son regard- plutôt que de mourir par sa main quand le soleil se lèverait. [/i] [h3][b]La rune : Berkano[/b][/h3] [i]La naissance et la renaissance de ce qui pousse et croît. Représentée par la femme, la mère nourricière comme la Terre on l'associera à la mère nourricière ou protectrice d'un foyer-sanctuaire destiné à préserver ce qui s'y trouve. Dans le cas présent, Mélusine protégeait leur amour secret qui ne cessa de grandir dans l'ombre de cette caverne. [/i] [h3][b]Relique : La Claymore de l'Amant[/b][/h3] [i]Celui qui croit en l'amour véritable et l'aurait même déjà connu serait capable de la brandir pour protéger ce à quoi il tient. Le temps passé sous la garde de Mélusine n'a fait que croître son effet au point de la rendre lourde et impossible à soulever pour quiconque ne serait pas capable d'aimer sincèrement, à l'inverse elle sera aussi légère qu'une plume pour celui ou celle qui en sera digne.[/i] Harmonie parfaite : [i]Valorius; Nazah[/i] Harmonie forte : [i]Ivanhault ; Djazah'ir ; Tarha ; Nashasha ; Iko ; Liiz ; Lysia[/i] [/justify] [/center] [center][img]https://www.zupimages.net/up/21/15/spn1.png[/img][/center] [justify] [quote][b]Note d'information spécifique Objet: la rune gravée sur la claymore de Tristan Auteur : Valorius Solignac[/b] [img]https://zupimages.net/up/22/18/z0sz.png[/img] Cette rune se nomme Berkano Elle est liée à l’élément Terre Couleurs : vert et brun. Animal : le sanglier Arbre : Bouleau, premier arbre à reprendre vie au printemps. Pierres : Calcédoine, pierre de lune, agate mousse Berkano représente la Terre-Mère. Sa forme évoque les seins d’une femme, ou la silhouette d’une femme enceinte de profil. Elle incarne la naissance et la renaissance après la mort au fil des cycles. Elle symbolise l’Ici et Maintenant, la sagesse de la mâturité. Au niveau spirituel, elle évoque des changements, des accomplissements, une croissance continuellement renouvelée. Berkano nous apprend à accepter avec sagesse les cycles de transformation dont est faite l’existence. Rune de secret, de sanctuaire, elle appelle à un silence attentif celui qui veille en retrait pour protéger les autres. Berkano est la rune de l’amour donné et de la confiance dans cette protection. Berkano porte aussi l’essence d’un pouvoir créateur, que ce soit au niveau sexuel ou par des activités artistiques ou artisanales. En magie, Berkano est un stabilisateur. Liée au pouvoir d’un abri sûr et caché, elle intervient dans les sortilèges de défense et de protection, en fournissant une force passive capable de contenir d’autres pouvoirs et de les maintenir assemblés. Elle est utilisée pour des sortilèges de dissimulation. Elle est utilisée dans les rituels de fertilité, de soin et de purification et de croissance végétale.[/quote] [/justify][/quote]

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