Un jour après l'autre...
Lerith
Il y a 2 mois et 4 jours
"Elle mange à peine, elle ne dort guère plus."
Je ne peux rien avaler.
"Faites le deuil, reprenez une vie normale ce serait mieux."
C'est peut-être facile pour vous...
C'est peut-être facile pour vous...
"Je suis désolé Kurusu-tsubone..."
Cesse de répéter cela Albynn.
"Papa se réveille quand ?"
Je ne sais pas mon chéri, je ne sais pas...
"Vous avez du courrier en retard, ils attendent après vous."
Eh bien qu'ils attendent...
"Si je peux faire quoi que ce soit pour vous aider dites-le."
Bien sur oui, tu t'attends à ce que ce soit moi qui te dise quoi faire.
Bien sur oui, tu t'attends à ce que ce soit moi qui te dise quoi faire.
S'occuper des enfants. Rester impassible, digne, à la hauteur. Sois calme, sois silencieuse, sois posée, sois diligente, concentrée. Ne dis rien de peur de craquer. Ne lève pas le ton, ferme les yeux si tu te sens flancher. Fais ce que tu dois faire, et continue de réfléchir. Réfléchis, réfléchis...
"Que faisons-nous ?'
Je ne sais pas.
"Qu'allez-vous faire alors ?"
Je n'en sais rien...!
Je n'en sais rien...!
"Voulez-vous que nous fassions quelque chose ?"
Laissez-moi seule...!
Laissez-moi seule...!
"Vous ferez ce qu'il faut, tsubone."
Je ne m'entends plus penser !
"Avez-vous besoin de quelque chose ?"
.. ASSEZ !
.. ASSEZ !
Cela fait des jours qu'elle ne prononce quasiment plus un mot en dehors du strict nécessaire. Il n'y a que devant les enfants qu'elle affiche un semblant de normalité qui s'efface sitôt qu'ils ne sont plus là. Comme Isarmaux l'avait pressentit, Kikyo s'isole de plus en plus fuyant les questions incessantes et les regards compatissants qui n'apportent aucune solution. Le mur de glace est aujourd'hui plus dense qu'il ne l'a jamais été auparavant.
Ivanhault
Il y a 1 mois et 3 semaines
"Etes-vous certain pour l'ombrelle tournante ?" demanda Arthurin alors que les deux elezen se tenaient côte à côte, les bras croisés, observant leur oeuvre d'un oeil circonspect.
"Enfin, l'ombrelle tournante est la pièce centrale de toute la maison. Il la faudrait bleue, c'est ça ?
- Non, ce que je veux dire c'est.. et puis tous les sièges sont bleu. Bleu Rhotano.
- Elle adore le bleu, elle nous en rebat constamment les oreilles de son bleu. Ce que femme veut, donnons lui le.
- Au moins ils pourront jouer aux fléchettes.
- Parfois je me demande si elle a le moindre sens pratique.
- Elle a l'esprit ailleurs en ce moment, monsieur Terrechant, vous savez bien.
- Juste, juste. A présent... si nous descendions le billard ?
- Et pour le corail que fait -o...
- Bazardez moi ça dans le grenier, de le regarder m'a flanqué la migraine.
"Enfin, l'ombrelle tournante est la pièce centrale de toute la maison. Il la faudrait bleue, c'est ça ?
- Non, ce que je veux dire c'est.. et puis tous les sièges sont bleu. Bleu Rhotano.
- Elle adore le bleu, elle nous en rebat constamment les oreilles de son bleu. Ce que femme veut, donnons lui le.
- Au moins ils pourront jouer aux fléchettes.
- Parfois je me demande si elle a le moindre sens pratique.
- Elle a l'esprit ailleurs en ce moment, monsieur Terrechant, vous savez bien.
- Juste, juste. A présent... si nous descendions le billard ?
- Et pour le corail que fait -o...
- Bazardez moi ça dans le grenier, de le regarder m'a flanqué la migraine.
Lerith
Il y a 1 mois et 3 semaines
"Il a décidé de me réveiller dès mon arrivée, c'est ça ?
- ... Je ne sais pas madame, mais...
- Ou alors il me fait savoir qu'il a bien pris note de l'annonce officielle, à sa façon.
- ...
- Qu'attendez-vous ?
- Je... remets tout en place ?
- Évidemment que non. J'aime assez. Mais il y a des ajustements à faire. Et ôtez-moi ce bleu des blancs, c'est affreux, trop de bleu.
- On... vient de les peindre.
- Eh bien, dépeignez-les.
- ... Oui, madame.
- Où est le corail que les habitants de l'archipel nous ont offert ?
- ... au... au grenier madame.
- Pardon ?"
Pauvre Arthurin... Toutefois, Flyingway le coursier arriva peu de temps après avec une lettre pour la directrice. Quand elle l'ouvrit son visage se ferma et elle monta en silence dans son bureau. Quelques minutes plus tard, Gyoban en sortit la mine défaite et les moustaches basses. Il monta sur un escabeau et épingla un message sur le panneau d'affichage.
- ... Je ne sais pas madame, mais...
- Ou alors il me fait savoir qu'il a bien pris note de l'annonce officielle, à sa façon.
- ...
- Qu'attendez-vous ?
- Je... remets tout en place ?
- Évidemment que non. J'aime assez. Mais il y a des ajustements à faire. Et ôtez-moi ce bleu des blancs, c'est affreux, trop de bleu.
- On... vient de les peindre.
- Eh bien, dépeignez-les.
- ... Oui, madame.
- Où est le corail que les habitants de l'archipel nous ont offert ?
- ... au... au grenier madame.
- Pardon ?"
Pauvre Arthurin... Toutefois, Flyingway le coursier arriva peu de temps après avec une lettre pour la directrice. Quand elle l'ouvrit son visage se ferma et elle monta en silence dans son bureau. Quelques minutes plus tard, Gyoban en sortit la mine défaite et les moustaches basses. Il monta sur un escabeau et épingla un message sur le panneau d'affichage.
Lerith
Il y a 1 mois et 3 semaines
Et pendant ce temps, pas si loin mais pas si près non plus, sur un quai à Limsa Lominsa...
"C'est sûr que si j'avais pu prendre l'Eternal, on serait partit depuis longtemps."
Meleth faisait les cent pas sur le pont d'embarquement du quai N°2, jetant des regards en coin à son précieux navire assigné au port depuis maintenant trois semaines. Son sac sur le dos, sa perle dans l'oreille, elle attendait sagement que son compagnon de voyage aux boucles d'or veuille bien montrer le bout de son nez.
"Qu'est ce qui lui prend si longtemps ? Ishgard ce n'est quand même pas à l'autre bout de la Trigée. Un peu. Pas tant que ça."
Ce n'était pas tant le retard qui l'agaçait mais surtout l'idée de dépendre d'un transport tiers la privant de son autonomie. On s'habitue vite à avoir la maitrise des horloges pour un départ. Bah, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Enfin la silhouette de l'elezen se dessina à l'autre bout du quai.
"Eh bien, ce n'est pas trop tôt !"
Son visage s'éclaira d'un sourire malgré tout.
Pour une fois, Meleth n'était pas informée ni au cœur des mauvaises nouvelles. Elle embarqua sans rien savoir, n'ayant en tête que les souvenirs d'un archipel qu'elle se savait avoir beaucoup aimé autrefois et qu'il lui tardait de revoir. Elle avait grand hâte de plonger dans les eaux claires de la barrière de Corail, et de voir comment le plus charmant des coureurs de jupons d'Ishgard allait s'en sortir avec la faune locale...
"C'est sûr que si j'avais pu prendre l'Eternal, on serait partit depuis longtemps."
Meleth faisait les cent pas sur le pont d'embarquement du quai N°2, jetant des regards en coin à son précieux navire assigné au port depuis maintenant trois semaines. Son sac sur le dos, sa perle dans l'oreille, elle attendait sagement que son compagnon de voyage aux boucles d'or veuille bien montrer le bout de son nez.
"Qu'est ce qui lui prend si longtemps ? Ishgard ce n'est quand même pas à l'autre bout de la Trigée. Un peu. Pas tant que ça."
Ce n'était pas tant le retard qui l'agaçait mais surtout l'idée de dépendre d'un transport tiers la privant de son autonomie. On s'habitue vite à avoir la maitrise des horloges pour un départ. Bah, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Enfin la silhouette de l'elezen se dessina à l'autre bout du quai.
"Eh bien, ce n'est pas trop tôt !"
Son visage s'éclaira d'un sourire malgré tout.
Pour une fois, Meleth n'était pas informée ni au cœur des mauvaises nouvelles. Elle embarqua sans rien savoir, n'ayant en tête que les souvenirs d'un archipel qu'elle se savait avoir beaucoup aimé autrefois et qu'il lui tardait de revoir. Elle avait grand hâte de plonger dans les eaux claires de la barrière de Corail, et de voir comment le plus charmant des coureurs de jupons d'Ishgard allait s'en sortir avec la faune locale...
Lerith
Il y a 1 mois et 2 semaines
Et ce matin-là...
"Vous plaisantez ?
- Non, madame..."
Arthurin resta penaud devant la scène, ne sachant que dire face à une Kikyo le visage tellement crispé qu'on aurait su dire si elle était sur le point d'exploser ou d'abandonner.
"Et il veut que ... ceci... reste sur scène durant toute la période des fêtes ?
- Je... crois ?
- Eh bien il semble que je vais aller travailler ailleurs pendant quelques semaines. Tsch. Terrechant."
Ce matin-là, madame Kurusu repartit aussi vite qu'elle était venue.
Lysia
Il y a 1 mois et 2 semaines
Chose promise, chose due. Un plateau remplit de muffin marbrés se retrouva comme par magie sur le comptoir, à la portée de tous, n'attendant plus qu'à être consommés. Chocolat blanc, chocolat au lait, noir, certains avaient même des éclats de caramels. Les plus matinaux auront eue la chance de voir quelques uns fait à l'agrume, avant d'avoir disparu soudainement.
Vadimir
Il y a 1 mois et 2 semaines
De passage à l’Escale dans le but de traiter son courrier, qu’il avait négligé depuis un certain temps déjà, ses yeux se posèrent sur le mur d’affichage, sans vraiment s’attendre à y trouver un message d’importance. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il remarqua une étrange « offre exclusive » signée à son nom, accompagnée d’une somme quelque peu conséquente.
Un ricanement espiègle, teinté d’un brin de malice, s’échappa des lèvres de Vadimir tandis qu’il attrapait ses quelques lettres. Tapotant sa perle au passage, il s’adressa à son interlocuteur en bozjien, quittant tranquillement la bâtisse.
Ainsi, tôt dans l’après-midi, profitant d’un moment calme dans la grande salle de l’Escale, un petit pantin mécanique se faufila par une fenêtre ouverte de la bâtisse. Avec agilité et discrétion, il se dirigea droit vers la scène. Mais au lieu de s’intéresser aux fabuleuses toilettes disposées sur celle-ci, il visa le mur du fond. De sa petite main, il projeta de la peinture rouge pendant plusieurs secondes, sous le regard surpris, effrayé ou intrigué des membres du comptoir. Sur le mur, en grosses lettres rouges, était inscrit :
« TRÔNE DE KIKYO. SIGNÉ GALEN. »
Puis, la petite machine s’enfuit à grandes enjambées, empruntant la fenêtre par laquelle elle était entrée comme porte de sortie...
Un ricanement espiègle, teinté d’un brin de malice, s’échappa des lèvres de Vadimir tandis qu’il attrapait ses quelques lettres. Tapotant sa perle au passage, il s’adressa à son interlocuteur en bozjien, quittant tranquillement la bâtisse.
Ainsi, tôt dans l’après-midi, profitant d’un moment calme dans la grande salle de l’Escale, un petit pantin mécanique se faufila par une fenêtre ouverte de la bâtisse. Avec agilité et discrétion, il se dirigea droit vers la scène. Mais au lieu de s’intéresser aux fabuleuses toilettes disposées sur celle-ci, il visa le mur du fond. De sa petite main, il projeta de la peinture rouge pendant plusieurs secondes, sous le regard surpris, effrayé ou intrigué des membres du comptoir. Sur le mur, en grosses lettres rouges, était inscrit :
« TRÔNE DE KIKYO. SIGNÉ GALEN. »
Puis, la petite machine s’enfuit à grandes enjambées, empruntant la fenêtre par laquelle elle était entrée comme porte de sortie...
Lerith
Il y a 1 mois et 2 semaines
Cette nuit-là dans les ruines de l'ancien palais de Hassim, il y eut plus d'une pensée par la viéra qu'ils avaient rencontré pendant l'Apocalypse. L'ironie voulut que le sujet soit abordé alors qu'ils se trouvaient là, à cet endroit précis où Napa s'était sacrifiée pour eux et où Meleth s'était jurée de se battre pour n'en perdre aucun. Devant la miqo'te, déjà accablée par le poids de ses propres tourments, la viéra resta digne mais après son départ elle voulut marcher un peu entre les gravas et ses souvenirs, qu'elle partagea avec la seule oreille attentive -toujours- présente à ses côtés. S'il y eut cris et larmes versées, il en fut seul témoin et réconfort sous le sceau du secret de leur amitié.
Au matin, ils quittèrent l'Archipel un peu plus tôt que prévu, il n'y avait plus cœur au voyage d'agrément. L'elezen la raccompagna jusqu'à l'Escale où elle déposa une petite fleur de coton duveteuse sur l'autel déjà bien fourni. Après avoir laissé le paquet de composants pour Ivanhault au comptoir, elle renifla un coup et demanda à Arthurin :
"J'aimerais emmener la peluche lapin avec moi, à Dalmasca. Je veux qu'au moins une part d'elle repose... là où elle est née."
Au matin, ils quittèrent l'Archipel un peu plus tôt que prévu, il n'y avait plus cœur au voyage d'agrément. L'elezen la raccompagna jusqu'à l'Escale où elle déposa une petite fleur de coton duveteuse sur l'autel déjà bien fourni. Après avoir laissé le paquet de composants pour Ivanhault au comptoir, elle renifla un coup et demanda à Arthurin :
"J'aimerais emmener la peluche lapin avec moi, à Dalmasca. Je veux qu'au moins une part d'elle repose... là où elle est née."
Mimina
Il y a 1 mois et 2 semaines
Cela faisait deja quelques temps que la Miqo'te blonde s'etait installée à l'Escale de Llymlaen et on la voyait tous les matins a l'aube s'entrainer jusqu'epuisement et méditer.
Ce court voyage pour l'Archipel Paradis avait un sens plus profond pour Napa que quelques jours de détente. Il était temps pour elle d'affronter ce qu'elle avait évité toutes ces années en suivant le culte renaissant de Rhalgr. Elle avait vu tous ces changements sur les iles, ces changements sur le Souk et l'energie qui s'en dégageait et circulait desormais. Les émotions avaient manquées la submerger lorsqu'Hassim l'avait invitée à danser. Elle y avait répondu en transformant doucement ce ballet en une démonstration martiale lui permettant de finalement se recentrer au grés des differents kata.
--
Le lendemain soir au palais en ruines, alors que Meleth contait le destin de celle qui deviendrait Palihuli l'oiseau du desespoir, la miqo'te avait eu finalement la réponse à cette question qui hantait encore ses méditations. Une réponse qui consistait en un petit fragment de cristal, un cristal à l'ether si familier.
Meleth terminait son récit et alors qu'elle évoquait la fin de celle qui avait offert sa vie pour ceux qu'elle aimait, les paroles d'Ivanhault faisaient écho à ce que sa conscience lui hurlait depuis toutes ces années. "Personne ne revient"
Fixant le petit eclat cristallin au creux de sa main, la vérité apparaissait enfin. U'napa Odh de la tribu des Drakes etait morte ce jour là et elle n'était qu'une ombre, un reflet résultant de ce souhait si simple que la combattante avait enoncé face à Ostara. "Toujours proteger ceux qu'elle aimait"
La page de cette histoire pouvait enfin etre tournée.
--
L'annonce de la disparition de Mimilah avait miné d'autant plus la visite du Palais d'Hassim. La seule note plus heureuse était que son enfant vivait et vivrait, héritage de celle qui était pourtant si discrete. Napa se souvenait d'elle et de sa passion pour les techniques de tissage ou celle des arts de filer. C'était avec Mimilah qu'elle avait découvert les anciennes techniques pour filer la soie de ses tenues de moniale, et c'est ensemble qu'elles avaient tissé les premieres étoffes.
Elle ajouterait a l'autel funebre une petite bobine de ce fil noir grossier dont elles avaient partagées la découverte et la Miqo'te se promit de voir l'enfant et le compagnon de la defunte.
Ce court voyage pour l'Archipel Paradis avait un sens plus profond pour Napa que quelques jours de détente. Il était temps pour elle d'affronter ce qu'elle avait évité toutes ces années en suivant le culte renaissant de Rhalgr. Elle avait vu tous ces changements sur les iles, ces changements sur le Souk et l'energie qui s'en dégageait et circulait desormais. Les émotions avaient manquées la submerger lorsqu'Hassim l'avait invitée à danser. Elle y avait répondu en transformant doucement ce ballet en une démonstration martiale lui permettant de finalement se recentrer au grés des differents kata.
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Le lendemain soir au palais en ruines, alors que Meleth contait le destin de celle qui deviendrait Palihuli l'oiseau du desespoir, la miqo'te avait eu finalement la réponse à cette question qui hantait encore ses méditations. Une réponse qui consistait en un petit fragment de cristal, un cristal à l'ether si familier.
Meleth terminait son récit et alors qu'elle évoquait la fin de celle qui avait offert sa vie pour ceux qu'elle aimait, les paroles d'Ivanhault faisaient écho à ce que sa conscience lui hurlait depuis toutes ces années. "Personne ne revient"
Fixant le petit eclat cristallin au creux de sa main, la vérité apparaissait enfin. U'napa Odh de la tribu des Drakes etait morte ce jour là et elle n'était qu'une ombre, un reflet résultant de ce souhait si simple que la combattante avait enoncé face à Ostara. "Toujours proteger ceux qu'elle aimait"
La page de cette histoire pouvait enfin etre tournée.
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L'annonce de la disparition de Mimilah avait miné d'autant plus la visite du Palais d'Hassim. La seule note plus heureuse était que son enfant vivait et vivrait, héritage de celle qui était pourtant si discrete. Napa se souvenait d'elle et de sa passion pour les techniques de tissage ou celle des arts de filer. C'était avec Mimilah qu'elle avait découvert les anciennes techniques pour filer la soie de ses tenues de moniale, et c'est ensemble qu'elles avaient tissé les premieres étoffes.
Elle ajouterait a l'autel funebre une petite bobine de ce fil noir grossier dont elles avaient partagées la découverte et la Miqo'te se promit de voir l'enfant et le compagnon de la defunte.
Albynn
Il y a 1 mois et 1 semaine
Avez vous déjà vu... Un lalafell plus petit que sa propre taille?
Ca arrive quand on a tendance à trainer, que ça soit des pieds ou par terre.
Parfois sur une table, à demander de l'aide à Murasaki pour refaire un portrait jeunesse de Akira Kurusu.
Parfois sur un banc, à revoir la scène de commémoration entourée de bougies.
Parfois sur un fauteuil, cherchant l'inspiration dans de vieux livres de commerces.
Et souvent dans son lit, où la contemplation du mur se change en toile de fond pour les idées ruminantes...
Entre deux, pourtant, il y a moyens. Moyens de se trainer ailleurs qu'aux habituels endroits, moyens de ramener un bouquet aux fleurs éparpillées dans des lettres les plus courtes, mais ayant le mérite d'exister.
Parce qu'il y a moyens de penser à la souffrance des autres quand ils vivent la même que vous.
(Je l'ai mis dans le mauvais topiiiiic
Je suis une abrutiiiiie
)
Ca arrive quand on a tendance à trainer, que ça soit des pieds ou par terre.
Parfois sur une table, à demander de l'aide à Murasaki pour refaire un portrait jeunesse de Akira Kurusu.
Parfois sur un banc, à revoir la scène de commémoration entourée de bougies.
Parfois sur un fauteuil, cherchant l'inspiration dans de vieux livres de commerces.
Et souvent dans son lit, où la contemplation du mur se change en toile de fond pour les idées ruminantes...
Entre deux, pourtant, il y a moyens. Moyens de se trainer ailleurs qu'aux habituels endroits, moyens de ramener un bouquet aux fleurs éparpillées dans des lettres les plus courtes, mais ayant le mérite d'exister.
Parce qu'il y a moyens de penser à la souffrance des autres quand ils vivent la même que vous.
(Je l'ai mis dans le mauvais topiiiiic
Je suis une abrutiiiiie
)