Un jour après l'autre...

De retour après une éprouvante soirée - enchainement de deux période de combat, à savoir libérer un village de bandit, puis une course effréné vers un lac pour retrouver la bande à Coster, sans pouvoir se reposer, tout en assurant le maintien de la vie d'autant de monde -, Il se sera demandé à un moment ce qu'il faisait là, alors qu'un champs de bataille couvert de tir et d'explosion faisait rage en fond sonore.
Hanbei aura raccompagné la pauvre Mahruvvet pour rejoindre Ivanhault, Lysia et Meleth à l'infirmerie de l'Escale afin de procéder à des examens et soins médicaux à l'ancienne, leur réserve s'étant complétement vidé.
Baume contre les brûlures, aiguilles d'acupuncture, médicaments et transfusion, tout aura été mis en œuvre pour assurer qu'aucune séquelle n'en restera de cette soirée. Apportant du thé vert à la camomille, Hanbei ira finalement se coucher à l'Escale, trop fatigué pour rentrer chez lui, dans la chambre de Mahruvvet si gentiment prêté par cette dernière qui devait rester à l'infirmerie pour cette nuit là.
Le lendemain, après une toilette méticuleuse - L'aspect visuelle est toujours importante au travail ! -, le hyur visitera l'infirmerie avec un verre d'eau pour prendre des nouvelles de la raenne convalescente, prenant sa température et s'assurant de son état. Il lui proposera de lui ramener une ou plusieurs choses pour la divertir tant qu'elle restera dans l'infirmerie, avant de finalement prendre congé pour rentrer chez lui pour retrouver les siens.
Hanbei aura raccompagné la pauvre Mahruvvet pour rejoindre Ivanhault, Lysia et Meleth à l'infirmerie de l'Escale afin de procéder à des examens et soins médicaux à l'ancienne, leur réserve s'étant complétement vidé.
Baume contre les brûlures, aiguilles d'acupuncture, médicaments et transfusion, tout aura été mis en œuvre pour assurer qu'aucune séquelle n'en restera de cette soirée. Apportant du thé vert à la camomille, Hanbei ira finalement se coucher à l'Escale, trop fatigué pour rentrer chez lui, dans la chambre de Mahruvvet si gentiment prêté par cette dernière qui devait rester à l'infirmerie pour cette nuit là.
Le lendemain, après une toilette méticuleuse - L'aspect visuelle est toujours importante au travail ! -, le hyur visitera l'infirmerie avec un verre d'eau pour prendre des nouvelles de la raenne convalescente, prenant sa température et s'assurant de son état. Il lui proposera de lui ramener une ou plusieurs choses pour la divertir tant qu'elle restera dans l'infirmerie, avant de finalement prendre congé pour rentrer chez lui pour retrouver les siens.


"Le tricorne ricanant n'est pas votre ennemi ! Le nom a été usurpé ! Tout n'était que des bandits !"
Le shériff local de Shaaloani répandait cette information ici et là chez les habitants pendant les prochains jours. Afin que Tulliyolal n'empiète pas Coster et l'équipage injustement. En effet, la grande bataille a eue lieu, plus tôt.
D'une usine équipée d'un combattant pugiliste aux gants mécanisée
D'une course poursuite contre un robot géant jusqu'à l'emmener à un lac
D'une halte au village contrôlé par les bandits dont un grand tireur.
Tout c'était déroulé dans une grande et éreintante soirée. Chacune de ces missions ont été menée par tout les participants. Auréole Lafrançoise, pirate appartenant au grand équipage de Colman Armstrong, s'était retrouvée avec une dernière poignée d'homme restant face à tout les combattants ayant aidé Coster.
Mais alors était là l'étape finale. Tout les compagnons, arrivaient à la hâte. Alors que le robot était face à sa cible, le blond.
Poussé dans l'eau, son système de régénération à la vapeur a été mis à mal, ce dernier ne fonctionnait plus trop humidifié, mais en plus, il devait réussir à sortir de l'eau. La bataille s'était lancée sans réelle sommation à l'approche des membres de l'équipage ennemi. Un véritable chaos, une véritable bataille. Une tempête de sable levée, c'était contre des soldats, et véhicules volant avec une machine que se passait le combat.
Le blond en était sorti, saignant et inconscient, malgré les soins poussé de ses alliés, il aura finit par s'évanouir à la fin. Il serait en convalescence depuis, ne se réveillant pas.
Auréole Lafrançoise aura été mise aux arrêts. Le robot aura explosé dans le lac évitant de ruiner la faune. Et les bandits auront été mis aux arrêts. Le banditisme n'est pas terminé en Shaaloani, loin de là, mais cette organisation de masse l'est.
Cela sera un jour nouveau pour les habitants de Shaaloani qui lâchera un peu plus la pression. Pour ce qui est de Colman, qui sait quelle sera la réaction du capitaine pirate recherché.
Malgré tout, c'est une histoire qui restera peut être, peut être pas. Mais au moins, elle aura eue le mérite d'être vécue. Le tricorne ricanant et ses alliés, ont gagnés.
Le shériff local de Shaaloani répandait cette information ici et là chez les habitants pendant les prochains jours. Afin que Tulliyolal n'empiète pas Coster et l'équipage injustement. En effet, la grande bataille a eue lieu, plus tôt.
D'une usine équipée d'un combattant pugiliste aux gants mécanisée
D'une course poursuite contre un robot géant jusqu'à l'emmener à un lac
D'une halte au village contrôlé par les bandits dont un grand tireur.
Tout c'était déroulé dans une grande et éreintante soirée. Chacune de ces missions ont été menée par tout les participants. Auréole Lafrançoise, pirate appartenant au grand équipage de Colman Armstrong, s'était retrouvée avec une dernière poignée d'homme restant face à tout les combattants ayant aidé Coster.
Mais alors était là l'étape finale. Tout les compagnons, arrivaient à la hâte. Alors que le robot était face à sa cible, le blond.
Poussé dans l'eau, son système de régénération à la vapeur a été mis à mal, ce dernier ne fonctionnait plus trop humidifié, mais en plus, il devait réussir à sortir de l'eau. La bataille s'était lancée sans réelle sommation à l'approche des membres de l'équipage ennemi. Un véritable chaos, une véritable bataille. Une tempête de sable levée, c'était contre des soldats, et véhicules volant avec une machine que se passait le combat.
Le blond en était sorti, saignant et inconscient, malgré les soins poussé de ses alliés, il aura finit par s'évanouir à la fin. Il serait en convalescence depuis, ne se réveillant pas.
Auréole Lafrançoise aura été mise aux arrêts. Le robot aura explosé dans le lac évitant de ruiner la faune. Et les bandits auront été mis aux arrêts. Le banditisme n'est pas terminé en Shaaloani, loin de là, mais cette organisation de masse l'est.
Cela sera un jour nouveau pour les habitants de Shaaloani qui lâchera un peu plus la pression. Pour ce qui est de Colman, qui sait quelle sera la réaction du capitaine pirate recherché.
Malgré tout, c'est une histoire qui restera peut être, peut être pas. Mais au moins, elle aura eue le mérite d'être vécue. Le tricorne ricanant et ses alliés, ont gagnés.

Mahruvvet ne dormait pas bien souvent à l’Escale, préférant sa chambre à Lavandière. Pourtant, la raenne passera sa nuit à l’infirmerie. Et quelle nuit ! Le combat contre l’étrange machine l’avait mise à mal. Le torse perforé par une balle et le côté droit brûlé à la vapeur, elle n’en menait pas large, et à présent, elle encaissait les conséquences : fiévreuse jusqu’au petit matin et douloureuse encore après. Elle ne mit, au final, pas le pied hors de l’infirmerie de la journée, restant assoupie la plus grande part du temps.
Bien sûr, la magie faisait toujours des miracles sur Mahruvvet, infâme conducteur éthérique. Mais dès lors qu’il fallait laisser le corps se soigner par lui-même, sa fragilité devenait plus évidente. Quoiqu’il en soit, même en début de soirée où elle s’autorisa une sortie, ce ne fut que pour récupérer un peu de thé, quelques biscuits avant de retourner s’effondrer dans son lit médicalisé en chouinant et râlant.
Fichu robot.
Fichue constructrice de robots.
Bien sûr, la magie faisait toujours des miracles sur Mahruvvet, infâme conducteur éthérique. Mais dès lors qu’il fallait laisser le corps se soigner par lui-même, sa fragilité devenait plus évidente. Quoiqu’il en soit, même en début de soirée où elle s’autorisa une sortie, ce ne fut que pour récupérer un peu de thé, quelques biscuits avant de retourner s’effondrer dans son lit médicalisé en chouinant et râlant.
Fichu robot.
Fichue constructrice de robots.

Comme la majorité des membres ayant participé à la mission en Shaaloani, Lysia avait également besoin de repos, faisant partie des patients ayant eue besoin d'intervention médical : La miqo'te s'était reçue une balle qui n'avait pu s'extirper de l'autre côté. Suivant le même traitement que Mahruvvet, sa condition était heureusement moins graves, mais nécessitait tout autant de repos afin de combattre l'infection qui allait se manifester. Sa présence n'était strictement nécessaire à l'infirmerie et décida donc de passer la nuit à l'atelier, se reposant autant qu'elle pouvait grâce à l'anesthésiant facilitant le gain de sommeil, l'effet s'estompant doucement aux premières heures de l'aube.
Les allers et retours de la lunaire -toujours en pyjama- seront courtes mais nombreuses entre son atelier et l'infirmerie, entre les visites pour voir l'état de sa sœur Hannoise, l'aider à renouveler son bandage et le nettoyage autour de la plaie sous les instructions d'Ivanhault, avant de se cacher de nouveau dans son atelier, retournant à son lit pour reprendre du repos.
Les allers et retours de la lunaire -toujours en pyjama- seront courtes mais nombreuses entre son atelier et l'infirmerie, entre les visites pour voir l'état de sa sœur Hannoise, l'aider à renouveler son bandage et le nettoyage autour de la plaie sous les instructions d'Ivanhault, avant de se cacher de nouveau dans son atelier, retournant à son lit pour reprendre du repos.



Plus de peur que de mal, mais mal quand même ! Passer sous un lance-flammes n'était pas l'idée la plus lumineuse dans ce combat. Heureusement, le baume anti-brûlures d'Ivanhault fait des miracles en plus des soins de Hanbei. Laissant l'infirmerie aux blessés plus graves, Meleth dormit dans son bureau cette nuit-là et celle qui suivit. Elle s'inquiétait un peu pour leurs charmants voisins d'en face ceci dit, attendant des nouvelles. En quittant Shaaloani elle avait vu un Coster plus affecté par les déclarations des criminels aux fers plus que ses propres blessures. Mais sur le moment, l'état de Lysia la préoccupait davantage. Il était bien entouré, une priorité à la fois se disait-elle alors. Ce n'est pas comme s'il était seul.
Repos, repos, repos. Même pas une petite répétition à deux jours du concert. Priorité aux brûlures à soigner. Jusque quelques étirements au soleil sur la plage.


V & Li

Les deux amies seront sorties, le temps d'un verre, profiter de la nuit à La Gardienne.

Chers petits canards de l'Aethernal et affiliés ; vous êtes cordialement conviés à l'excursion "Orochi" qui se déroulera le 22ème soleil en Doma. Elle nous mènera par les petits sentiers de randonnée, depuis les superbes forges du Kurusu Gumi implantée dans un petit village local jusqu'au ventre de la montagne voisine où sommeillait le Serpent. Venez écouter l'histoire envoûtante de l'Enenra qui naquit des émotions contrariées du forgeron de l'époque et celle du noble sacrifice d'Akira Kurusu qui préféra se faire emporter dans le Néant afin de protéger ses alliés. Il peut se passer des choses, comme il peut se passer rien. Nous le découvrirons ensemble. Et surtout, venez soutenir votre chère Kikyo ; la pauvre n'a pas d'amis.
Hahaha !
Votre humble serviteur, Isarmaux

En ce moment, on ne voyait pas beaucoup Quila. Seuls les membres d'Aby la voyaient régulièrement.
Elle était occupée par son rôle de seconde qui lui tenait tant à cœur. On pouvait la voir préparer un itinéraire ou faire de la maintenance. Cette mission devait être parfaite, car à ses yeux, c'était l'occasion de prouver sa valeur et sa légitimité à ce rôle.
Bien sûr, Quila n'oubliait pas son amie Liann. Dès qu'elle pouvait, elle prenait tout le temps nécessaire à parfaire l'apprentissage de Liann au pilotage. Elle s'en sortait plutôt bien, Quila était contente de pouvoir rendre la pareille, Liann lui avait appris à monter le chocobo, c'était au tour de Quila de lui apprendre quelques choses au grand désarroi de la capitaine qui entend des jeux de mots à longueur de journée.
Quila réapparaîtra bientôt, une fois ses tâches accomplies.
Elle était occupée par son rôle de seconde qui lui tenait tant à cœur. On pouvait la voir préparer un itinéraire ou faire de la maintenance. Cette mission devait être parfaite, car à ses yeux, c'était l'occasion de prouver sa valeur et sa légitimité à ce rôle.
Bien sûr, Quila n'oubliait pas son amie Liann. Dès qu'elle pouvait, elle prenait tout le temps nécessaire à parfaire l'apprentissage de Liann au pilotage. Elle s'en sortait plutôt bien, Quila était contente de pouvoir rendre la pareille, Liann lui avait appris à monter le chocobo, c'était au tour de Quila de lui apprendre quelques choses au grand désarroi de la capitaine qui entend des jeux de mots à longueur de journée.
Quila réapparaîtra bientôt, une fois ses tâches accomplies.



Aussitôt dit, aussitôt infirmerie.
Désormais assistante, lorsqu'elle qu'elle n'est pas dans l'Abyssius à apprendre auprès de Quila ou de Galen et Floe, elle se rend à l'infirmerie pour y étudier quelques ouvrages. Bien qu'elle ne cherche pas à devenir la prochaine chirurgienne, son apprentissage des soins animaliers et ses missions à l'Entrepôt l'avaient amenée à prendre une approche plus aventurière. Alors pourquoi s'arrêter aux animaux ?
Cela faisait quelques lunes qu'elle avait acquis l'Exuviation qu'elle apprenait à utiliser sur Penneceval et autres créatures de l'écurie. Mais tant qu'elle ne comprendrait pas le sort, comment il fonctionne, elle ne saurais probablement jamais le lancer de manière assez efficace pour soigner un réel poison sur le terrain. Il était temps d'approfondir ses connaissances en magie, et elle allait commencer avec les soins basiques. Les sorts immédiats, les protections et quelques potions.
Et puis, elle avait enfin son dixième sort de magie bleue grâce à Nazah, ce qui lui permettait de mettre la main sur un totem bien précis...


Retour à Tsuru - Jour 1
![]() | "Vais-je devoir l'abandonner ? - Ce n'est pas incompatible. Il s'agit d'une lame qui rend la vie." Elle avait laissé Atropia dans son coffret, sur son bureau, avant de partir. Elle était rentrée à Tsuru avec rien de plus que son katana, son armure et son kimono aux couleurs Kakita. Et Iko, qui la suivit, loyale jusqu'au bout des ongles même derrière ses sourires narquois. Accueillie comme le veut l'usage, elle se rendit directement au dojo où Kyo-sensei l'attendait ainsi que l'objet de sa venue. Il était là, posé sur l'autel. La dernière fois qu'elle l'avait vu, il était à la ceinture de Sanjuro. "La culpabilité pèse plus lourdement sur ta lame que l'inquiétude, Kikyo-hime." déclara le vieux maître de sa voix chevrotante, les mêmes qu'il avait prononcé quelques semaines plus tôt lors de leur visite dans les jardins. La demi-raenne s'inclina profondément avant de le rejoindre, face à l'autel, en position seiza. Il ne tourna pas les yeux vers elle. "Je veux en être digne, sensei." Un sourire peiné se dessina sur le visage du vieux maître. A son grand âge, les barrières de l'étiquette lui importaient peu. "Ce pays, cette famille, ces temps troublés ont forgé tes chaînes, Kikyo-hime. Et ton mari, aussi noble soit-il, est incapable de les briser entièrement. Il fait partie de ce monde qui a voulu faire de toi une femme, condamnée à la naissance, indigne de porter le sabre ou d'aspirer à l'honneur et la gloire. |
- Tu te dois d'y aspirer, Kikyo-hime. L'honneur a fait ton nom.
- Le déshonneur m'a fait naître.
- C'est vrai. Tu incarnes tout ce que cette famille refuse. Une enfant adultère légitimée par la force, une femme qui porte le daisho, l'inacceptable choix d'un seigneur moderniste qui préféra te prendre pour épouse plutôt que Asahina-Hime. Ce monde voulait que tu ne sois rien, et tu as toujours considéré que ce qui t'a été offert était dû à la chance. Tu t'obstines à croire que tu n'en es pas digne.
- Je n'en suis pas digne.
- Tu n'en es pas digne."
Il prit une profonde inspiration, et posa le regard sur la lame.
"Pas encore."
Il se leva, s'inclina face à l'autel, et vint se placer à une extrémité du tatami en seiza, mains sur les cuisses, sabre au côté.
"Nous avons un long chemin à faire, prends place."
L'entraînement commençait.
