Généalogie des membres de la Compagnie

Cette partie des archives sera réservée aux arbres généalogiques des différents membres de la Compagnie.
Sa création fait suite à la demande de Kikyo de lui faire parvenir, pour ceux le pouvant et le voulant leur généalogie afin de vérifier de possibles liens passés avec le Projet Aethernal. Cette initiative a pour objectif de confirmer ou infirmer certaines hypothèses formulées quant à une sorte de magnétisme, les amenant à se rapprocher aux vaisseaux.
Sa création fait suite à la demande de Kikyo de lui faire parvenir, pour ceux le pouvant et le voulant leur généalogie afin de vérifier de possibles liens passés avec le Projet Aethernal. Cette initiative a pour objectif de confirmer ou infirmer certaines hypothèses formulées quant à une sorte de magnétisme, les amenant à se rapprocher aux vaisseaux.

L'arbre généalogique de Mahruvvet sera accessible dans les archives, à l'endroit convenu.
En premier lieu, on y trouve la branche hannoise. Cependant, le prénom de naissance y a été gribouillé et remplacé par une simple note manuscrite de la cambrioleuse : "C'est moi, magnifique moi ! [Dessin de cœur]".
Si un curieux décide d’examiner cet arbre plus en détail, il se heurtera à l’horreur de l’administration hannoise. Bien que l’arbre semble parfaitement documenté, aucun nom de famille n’y figure. Seule la logique hannoise : le nom de famille des fils est constitué du prénom du père, précédé de "bin", et celui des filles, du prénom de la mère, précédé de "bihn".
L’arbre de Mahruvvet peut être divisé en deux grandes branches : celle du père et celle de la mère.
La branche paternelle
La branche paternelle (celle d'Abaha) semble la plus simple à suivre. Cependant, son absence de nom de famille complique toute référence. Néanmoins, la lignée remonte jusqu’aux origines de Radz at Han. Il semble qu’il s’agisse d’une famille d’alchimistes proches des satrapes, relativement reconnue. Ils auraient travaillé aux côtés du Satrap sur le sceau de la faille du néant (un fait sans grande importance à cette époque lointaine, puisque le dragon avait mobilisé les ressources de la cité).
L'archiviste improvisé notera cependant que cette famille, autrefois assez prestigieuse, chutera brutalement dans le déshonneur. Bien que la raison précise de cette disgrâce ne soit pas clairement mentionnée dans les archives, quelques sources évoquent des rumeurs de trahison. Le pouvoir du néant aurait ébloui la famille, et ils auraient tenté d’utiliser leurs connaissances pour accroître leur pouvoir personnel.
À partir de ce moment, la famille sombre dans une chute continue. Si elle a continué à s’intéresser à l’alchimie pendant un certain temps, elle s’est progressivement détournée de cette discipline pour se tourner vers le commerce pendant quelques générations. Les dernières générations, désormais totalement désargentées, ne font que des métiers très modestes.
La branche maternelle
La branche maternelle (celle de Rhulbat) est... un véritable chaos. Là où il est assez simple de suivre la branche paternelle, celle-ci semble partir dans tous les sens. Elle paraît plus récente (environ 500 ans à Thavnair) et est issue d’une petite famille ayant fui les guerres en Orient. Les patriotes orientaux (peut-être avec horreur !) noteront que les noms orientaux se sont progressivement fondus dans la culture hannoise au fil des décennies. En un siècle, il ne restait plus rien de l’héritage, probablement yanxien. Ce parcours n’a rien d’exceptionnel à Thavnair, les ao'ras étant issus d’Othard.
D’un point de vue social, cette branche de la famille est moins marquée. Cependant, en fouillant un peu, on remarque une dominante marchande. Bien que l’on y trouve de tout : des gens d’armes, des tisseurs, des danseurs, des agriculteurs, etc. Il est possible qu’ils aient été fortunés par le passé, mais aujourd’hui, ils sont totalement désargentés.
Mahruvvet est la dernière représentante des deux lignées, qui s’éteindront à sa mort.
HRP :
Spoiler : cliquez pour afficher[Si besoin de précision, n'hésitez pas !]
En premier lieu, on y trouve la branche hannoise. Cependant, le prénom de naissance y a été gribouillé et remplacé par une simple note manuscrite de la cambrioleuse : "C'est moi, magnifique moi ! [Dessin de cœur]".
Si un curieux décide d’examiner cet arbre plus en détail, il se heurtera à l’horreur de l’administration hannoise. Bien que l’arbre semble parfaitement documenté, aucun nom de famille n’y figure. Seule la logique hannoise : le nom de famille des fils est constitué du prénom du père, précédé de "bin", et celui des filles, du prénom de la mère, précédé de "bihn".
L’arbre de Mahruvvet peut être divisé en deux grandes branches : celle du père et celle de la mère.
La branche paternelle
La branche paternelle (celle d'Abaha) semble la plus simple à suivre. Cependant, son absence de nom de famille complique toute référence. Néanmoins, la lignée remonte jusqu’aux origines de Radz at Han. Il semble qu’il s’agisse d’une famille d’alchimistes proches des satrapes, relativement reconnue. Ils auraient travaillé aux côtés du Satrap sur le sceau de la faille du néant (un fait sans grande importance à cette époque lointaine, puisque le dragon avait mobilisé les ressources de la cité).
L'archiviste improvisé notera cependant que cette famille, autrefois assez prestigieuse, chutera brutalement dans le déshonneur. Bien que la raison précise de cette disgrâce ne soit pas clairement mentionnée dans les archives, quelques sources évoquent des rumeurs de trahison. Le pouvoir du néant aurait ébloui la famille, et ils auraient tenté d’utiliser leurs connaissances pour accroître leur pouvoir personnel.
À partir de ce moment, la famille sombre dans une chute continue. Si elle a continué à s’intéresser à l’alchimie pendant un certain temps, elle s’est progressivement détournée de cette discipline pour se tourner vers le commerce pendant quelques générations. Les dernières générations, désormais totalement désargentées, ne font que des métiers très modestes.
La branche maternelle
La branche maternelle (celle de Rhulbat) est... un véritable chaos. Là où il est assez simple de suivre la branche paternelle, celle-ci semble partir dans tous les sens. Elle paraît plus récente (environ 500 ans à Thavnair) et est issue d’une petite famille ayant fui les guerres en Orient. Les patriotes orientaux (peut-être avec horreur !) noteront que les noms orientaux se sont progressivement fondus dans la culture hannoise au fil des décennies. En un siècle, il ne restait plus rien de l’héritage, probablement yanxien. Ce parcours n’a rien d’exceptionnel à Thavnair, les ao'ras étant issus d’Othard.
D’un point de vue social, cette branche de la famille est moins marquée. Cependant, en fouillant un peu, on remarque une dominante marchande. Bien que l’on y trouve de tout : des gens d’armes, des tisseurs, des danseurs, des agriculteurs, etc. Il est possible qu’ils aient été fortunés par le passé, mais aujourd’hui, ils sont totalement désargentés.
Mahruvvet est la dernière représentante des deux lignées, qui s’éteindront à sa mort.
HRP :
Spoiler : cliquez pour afficher[Si besoin de précision, n'hésitez pas !]