Les Légendes d'Ivalice II

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Mahruvvet Il y a 8 mois et 2 semaines
Un réveil en sueur. Ça faisait longtemps. La voleuse pensait avoir passé ça depuis le temps, cela faisait tout de même plusieurs lunes qu’elle était libre. Elle n’aimait guère se tourner et se retourner dans son lit. Il y avait tout un sentiment de perte de temps. Et son temps était précieux.

Sortant à pas de loups de sa cabine, elle allait continuer son enquête.

Depuis le départ, une idée obsédait son esprit : comprendre l’Eternal, apporter les preuves qu’elle avait raison, qu’elle était la seule à ne pas être une inconsciente. Elle était une boule d’égocentrisme et de paranoïa, tout à fait convaincue de son intuition initiale. Mais pire que cela : elle se pensait être en mission. En mission pour la vérité. En mission contre l’Eternal.

Elle avait déjà essayé de passer la structure du bateau au crible, armée du monocle hideux qu’elle utilisait pour ses crochetages. Elle avait voulu le comprendre, autant qu’elle le pouvait, du moins. Elle en avait même grossièrement dessiné son plan et cherché des passages secrets. Rien. Seulement ce sentiment de bienveillance. Elle le détestait, un objet n’avoir pas le droit d’avoir des sentiments. Un objet devait être inanimé. Passif.

Mais elle avait une idée. Une idée qu’elle n’aurait pu travailler avant quelques Soleils. Depuis, ce qu’elle considérait comme étant une horrible agression suite à quelques vilains mots, elle était convaincue que le bâtiment représentait un danger de par son imprévisibilité. Et elle était prête à faire don de son corps à la science pour le prouver. Elle voulait reproduire l’agression, mais cette fois, en étant blessée.

Aussi, trouvant un endroit sans passage, où elle ne risquerait pas de réveiller qui que ce soit ou même d’être entendue, elle se mit à improviser à voix semi-basse une chanson (assez mal, danseuse honnête, elle ne savait par contre aucunement chanter) sur un air de chant pirate, quelques paroles peu sympathiques pour l’Eternal.

           
Il était un petit bateau, une parodie de navire.
Que tout matelot à chaque port accueillait avec un rire.
Ho, mille excuses, ai-je dit navire ? Plutôt un rafiot.
Tous se moquaient, jusqu’au tout dernier des poivrots.
Petit mousse, tu te demandes pourquoi de telles moqueries ?
Jamais la mer ne porta une telle escroquerie.
Chaque voyage, chaque périple était un calvaire.
Il avait à son bord, un vil équipage de grabataires.
Ils se prenaient pour une bande d’aventuriers.
Pour certains même, comme de réels guerriers.
Mais l’œil avisé verra plus loin que cette honteuse esbroufe.
Et comprendra qu’il était en présences de réels pignoufs.  
Petit mousse, tu me trouves injuste, cruelle ?
Pourtant sache que leur incompétence est simplement factuelle.
Avant de t’engager, pose toi une petite et simple question.
« Suis-je prêt pour une telle déception ? »


Bref. Mahruvvet continuait son duel face à un adversaire-objet contre qui elle s'était inventée une hostilité irrationnelle. Un duel stupide. Un duel inutile. Un duel qui n'existait même pas réellement. Mais un duel qu'elle avait l'intention de gagner.
Lerith Il y a 8 mois et 2 semaines


Quitter Valnain au petit matin se fit presque de manière discrète. Après le petit déjeuner, les membres d'équipage furent appelés à leur poste et on s'assura que tout le monde se trouvait à bord avant de lever l'ancre. Pas de grand élan d'enthousiasme de la part du capitaine ni de tension palpable du côté du gouvernail. Mahruvvet n'avait reçu comme réponse à sa poésie nocturne qu'une impression d'amusement tout juste perceptible, ou bien n'était-ce que sa paranoïa qui la poussait à s'imaginer son ennemi se gaussant de ses tentatives ? La cale récemment "vidée" de ses artefacts, puis de ses deux occupants livrés aux autorités, était prête à accueillir une nouvelle cargaison faite de produits locaux et il faut dire qu'après le passage de Djazah'ir on aurait pu y manger parterre.

L'Eternal s'éloigna de la côte le temps de manœuvrer et prendre la direction de l'embouchure du fleuve ; et quel fleuve ! Pour ceux qui n'avaient encore jamais contemplé le rivage de la seule région verdoyante de Dalmasca (hormis les oasis), de nombreuses cultures et quelques domaines privés bordent les deux rives entre la côte et l'orée de la jungle. Le fleuve était si grand qu'on les discernait à peine en naviguant au milieu. L'Eternal croisa plusieurs bacs de transport et de nombreux pêcheurs ; on devait ralentir l'allure. De nombreux regards surpris, voir inquiets, les accompagnèrent jusqu'à la frontière où commence la jungle de Golmorre. La brume matinale donnait à la luxuriante végétation une ambiance mystique. Cette forêt était si dense qu'on y voyait à peine entre les arbres même avec une longue vue. Ceux qui, d'ailleurs, en avaient une et en firent l'usage eurent tout le loisir de constater qu'on les attendait.
Dans un canoé en bois tapissé de lierre, deux femmes viéras s'élancèrent sur les flots sitôt qu'elles les aperçurent et se mirent à pagayer à vive allure pour les suivre, ou plutôt les devancer. Remonter le fleuve, même avec le vent, coûtait à l'Eternal sa vitesse dû à sa taille comparée aux petites embarcations que les rames et la force des bras suffit à faire avancer. Les heures passant, l'on se rendit compte que les deux viéras ne cherchaient pas à les distancer au contraire, elles les attendaient. Cela ne sembla pas inquiéter le capitaine ni ceux qui l'avaient rencontré des années plus tôt :
"Des sentinelles de Naatu. Capitaine ?
- Oui. Ne vous inquiétez pas, elles vont s'assurer que nos soyons tolérés tant que nous restons sur le fleuve."


Le voyage durant encore deux jours, deux longues journées dans la chaleur tropicale étouffante à contempler la forêt se refermer sur eux au fur et à mesure que le fleuve se resserre. Si ce n'est le climat, il y avait de fortes similitudes avec les régions les plus reculées de Sombrelinceuil, celles que même les gridaniens évitent. Ce sentiment d'être observé, jugé, indésirable, une impression si elle n'est pesante au moins présente comme flottant dans l'air. Le silence d'une jungle tout sauf silencieuse entre les cris d'oiseaux et les remous de l'eau, et pourtant ce calme pouvait en mettre certains mal à l'aise. De temps en temps on entendait un rugissement au loin, chaque fois différent ou venant d'une créature différente, sans doute une bête énorme et dangereuse. Même les viéras sur leur canoé dressaient les oreilles lorsqu'elles l'entendaient, même pour elles la forêt n'est pas sûre. C'est donc cela, la terre sacrée des viéra ? Les mots du capitaine à certains lors des derniers rassemblements à l'Escale résonnèrent en écho :
"Tout ce qui vit ou presque, dans ces bois, essayera de nous tuer."
Keython Il y a 8 mois et 2 semaines
A son retour au navir, tout juste dans les temps pour le départ de Valnain, Waldemar était plutot satisfait de son court séjour. S'il n'avait pas eu de temps à accorder à sociabiliser avec le reste de l'équipage pendant que ceux-ci profitait de la cité, il n'était pas resté inactif pour autant. Après d'apre négociation, il était parvenu à louer un entrepot sur les quaies pour conserver de la marchandise jusqu'au retour d'expédition de l'Eternal. Il était aussi parvenu à obtenir plusieurs articles d'artisanat locaux: tapis, céramiques, sculptures et verrerie. 
Mais, plus important, et probablement ayant le plus de valeur potentiel, du vin cherchant à reproduire celui des célèbres vergers de Valens! Si une bouteille de l'original vaut aujourd'hui une fortune et est innaccessible à la majorité, ces imitations produites dans la même région devrait cependant offrir une alternative acceptable pour beaucoup de "sommeliers" parmis les riches marchands Uldien qui ventent sans cesse leurs palais.

C'est donc un Waldemar satisfait et fatigué par cet course frénétique qui sera aller ronfler fort et profondément dans sa cabine tandis que le navir fit route vers le fleuve.
Albynn Il y a 8 mois et 2 semaines
A défaut de l'Escale, on se contentera d'une escale. Et que de mouvements en une escale: une grosse filature, une grosse bagarre, une grande blessée, une grosse prime, une grosse location, un achat de graine en gros à stocker, une grosse découverte de l'Eternal, un grand dépoussiérage d'une cale façon lalafell puis un gros lavage à grande eau et savon façon miqote (C'est vrai qu'on se voyait dans le parquet!), une grande révélation du Tournois, une grosse dispute avec une amie, une grosse consolation du Second, une grosse réconciliation...
Y'a pas à dire, cette escale avait respiré la démesure!


Après une longue nuit de sommeil, le lalafel entrepris d'abord de vérifier son bras gauche et sa paume droite. Rien en vue, il serait paré en cas d'attaque.
Il cru d'ailleurs que ca serait rapidement le cas en voyant une barque d'autochtones, mais le calme et la placidité de la Capitaine lui montra que non, il ne s'agissait que des escortes.
De par leur présence, le lalafel restera étrangement longtemps sur le pont par rapport à ses habitudes. Quelque chose fascinait dans ces gardienne. Réduire cela à une beauté sauvage était réducteur. Toutes leur possessions lui semblaient être une extension des vieras elles-même. Les pagaies, les armes, les bijoux, le canoé... Et même l'une envers l'autre. Chaque mouvement était coordonné parfaitement, chaque surveillance et changement de bord était simultané comme si elles ne formaient qu'un seul individu. Cela lui évoquait les danses originelle de Meleth, à leur façon. C'était cela, le pouvoir du Vert-mot?
Et en pensant au vert...
Albynn aimait le vert. C'était même sa couleur préférée. Cela lui évoquait les plantes, la foret, les prairies. La vie. Mais même dans les marais aux sylphes gris, il n'avait ressentis une vie respirant autant la mort.
Non, pas une vie morte. Une vie présage de mort.
Le vert de cette forêt se fondait avec le noir et des lueurs de vie sans pitié. Si la puissance d'Akira Kurusu lui imposait du respect et une admiration parfois exagérée, celle ci, en revanche, le terrifiait purement et simplement...
Rossignol Il y a 8 mois et 2 semaines
Rossignol observa longuement le fleuve depuis le pont, maudissant les chaleurs tropicales de l'endroit.

Elle avait beau avoir préparée une tenue en conséquence, elle n'était pas habituée à ce genre de climat. Elle qui détestait le froid, elle commençait à comprendre que ce n'était pas si terrible que ça finalement.
Elle ne laissera cependant pas cela gâcher son observation de la fameuse forêt de Golmorre. Depuis le temps qu'elle en entendait parler cela faisait du bien d'y mettre une image dans son esprit. Ivanhault avait-il raison de comparer sa dangerosité à Sombrelinceuil ? Était-ce réellement exagéré ? Elle écoutera le moindre bruit que la faune -et la flore ?- pouvait produire. Les cris des animaux, le fleuve qui s'écoulait, le bruissement des feuillages provoqués, peut-être, par les gardiens de ces lieux qui les surveillaient ou par de terribles créatures dont elle ne pouvait qu'imaginer l'apparence. Tout était si différent du Coerthas, de Dravania... Cette pensée lui arrachera un sourire mélancolique. Elle était loin de chez elle et elle n'en souhaitait pas moins.

Quand son regard se posa sur les Gardiennes, elle plissa un instant les yeux. Elle mourrait d'envie d'aller questionner le peuple de cette forêt. Pourquoi un tel isolationnisme ? Pourquoi une telle séparation entre hommes et femmes ? Quelle culture avait pu se développer au sein d'une forêt si dangereuse ? 

Finalement, ce sentiment d'être observé et indésiré lui rappela que cela serait une très mauvaise idée et, retirant la sueur provoquée par la fichue chaleur des lieux à l'aide d'un tissu, elle continuera sa contemplation des lieux depuis le pont -qu'elle espère- sécurisé de l'Eternal non sans jeter quelques regards aux gardiennes sur leur embarcation de temps en temps.
Hanbei Uranai Il y a 8 mois et 2 semaines
Enfermé dans sa cabine, Oji en main, Hanbei était en pleine réflexion, alors qu'il était en train de faire tourner le pinceau du bout des doigts, ignorant la douleur du pincement de ce dernier pour lui demander d'arrêter. C'était l'une de ses sessions de méditations pour appréhender les récents évènements, comprenant le voyage fait jusque-là, que ce soit le départ fantastique à travers un décollage vers les cieux, la découverte de Port-Liberté, son premier affrontement avec l'équipage et leur arrivée à Valnain.

Ce voyage n'aura pas non plus été de tout repos, ayant du très rapidement côtoyer l'une de ses plus grandes peurs, en la compagnie d'Ulfur, l'ami de Ney, qui se trouve être également un loup. Il ne doute pas que c'est une noble créature, aussi forte qu'intelligente, mais ses mauvaises expériences ont fait de sa réaction un automatisme qu'il avait du mal à contrôler.

S'il avait pu décompresser grandement en visitant la ville en compagnie d'Uto', qui avait du repasser à la maison pour vérifier l'état de ses pauvres fleures laissées à l'abandon, il avait maintenant plus de temps pour réfléchir. Avant qu'Oji ne lui fasse comprend qu'il en avait marre en prenant en otage l'un de ses doigts, le menaçant de le tordre.
Ivanhault Il y a 8 mois et 2 semaines
Ivanhault déambulait lentement sur le pont de l'Eternal, les mains jointes dans le dos, fouillant du regard les fourrés sombres qui bordaient les berges de part et d'autre de la coque. Parce qu'il n'était pas inquiet, et que somme-toute, ce voyage devenait une routine annuelle, il évaluait silencieusement les moments où il pourrait enfin débarquer et partir chasser. Parce qu'en dépit de l'agacement qu'il éprouvait devant la crainte dogmatique qu'inspirait la mystérieuse forêt des vieras aux aventuriers et aux autochtones, il prenait au sérieux le danger qui pouvait venir des ombres voisines, il portait son attirail d'épées ainsi qu'un pistolet fiché dans un fourreau de cuir attaché à sa cuisse et avait fait passer le mot à l'équipage de garder leurs armes à portée de main.

Par respect pour le capitaine, il se tenait coi et ne reprenait pas les hommes quand il les entendait commenter les mugissements lointains, ou les plantes luminescentes qui fleurissaient à l'ombre des frondaison au bord de l'eau. On l'avait, du reste, bien suffisamment entendu sur le mépris que lui inspirait la crainte quasi religieuse de ces forêts aux esprits. En ce qui le concernait, la seule chose qui le rendait prudent, était un rapport de force nettement défavorable.

Il anticipait néanmoins avec plaisir l'étape à Naatu. Les maisons dans les arbres, le silence des vieras, lui avait toujours semblé plaisant, sinon accueillant.
Faejine Il y a 8 mois et 2 semaines
Alors que l'Eternal glisse silencieusement sur les eaux du fleuve de Golmorre, Kyuuji se tient sur le pont, son regard perdu dans les rivages qui défilent lentement. Une tension palpable émane de lui, mêlée à une lueur d'espoir et d'impatience qui danse dans ses yeux.

Depuis qu'il a été libéré d'une fatalité par les Gardiens d'Écorce, Kyuuji a senti en lui de nouvelles choses, des pouvoirs qui brûlent dans ses veines mais qu'iln'ose à peine étudier. C'est pourquoi il attend avec une crainte mêlée d'espoir l'arrivée à Naatu, où il avait rencontré ces êtres vénérés pour la première fois.

Les Gardiens d'Écorce, ceux qui ont délié les chaînes de ses erreurs, qui lui ont offert une lueur d'espoir dans les ténèbres. Ils détiennent peut-être les réponses à ses questions, les clés pour apprivoiser ce qui réside en lui, cette énergie qui le terrifie autant qu'elle l'attire.

Alors que l'Eternal avance inexorablement vers sa destination, Kyuuji se prépare mentalement à toutes les possibilités. Entre l'appréhension et l'espoir, il espère trouver la voie vers la maîtrise de ses pouvoirs, et peut-être même, l'équilibre entre ces ponts.
Durée de la nouvelle résolution ? Deux heures...
Lerith Il y a 8 mois et 2 semaines


Le soleil déclinait au soir du deuxième jour sur le fleuve, quand l'Eternal se rapprocha de la rive. Meleth semblait parfaitement savoir où aller. A l'ombre des arbres, les ruines d'un ancien camp rebelle avait presque été entièrement avalé par la végétation. Y amarrer l'Eternal ne fut guère aisé, le ponton vermoulu n'augurait rien de bon à qui y poserait le pied on misa plutôt sur plusieurs grosses branches. Ainsi arrimé à la forêt, le courant n'emporterait pas leur navire.
Le canoé des deux sentinelles les avait devancé. L'une d'elle disparut aussitôt dans les bois, suivant un sentier invisible, l'autre demeura à l'entrée du camp comme si elle-même respectait la frontière d'un territoire accordé à la présence des étrangers. Ceux qui n'avaient pu la voir de près jusqu'ici mais étaient venus les précédents voyages reconnurent Ulia l'oracle des arbres. Meleth quitta le navire pour aller à sa rencontre, elle avait troqué ses atours de capitaine pour une tenue typique et plus adaptée à la jungle.
"Vous pouvez rester ici le temps qu'il vous plaira. La Mère-Forêt a accordé l'asile aux rebelles sur cette rive, aucun gardien ne viendra troubler votre repos tant que vous respectez cet endroit.
- Peux-tu me conduire à Shamti, s'il te plait.
- Bien sûr. Tes compagnons peuvent venir à Naatu avec toi, ils ont aidé nos sœurs à sauver le village une fois, ils sont... les bienvenus."

Les derniers mots furent plus difficiles à prononcer, mais pas moins sincères. Ceux qui le souhaitaient purent accompagner Meleth jusqu'au village le plus proche, les autres purent s'installer au camp avec pour seule consigne de ne pas trop s'éloigner et jamais seuls. Au-delà de toute superstition, croyance ou mépris des deux, la jungle n'est vraiment pas sûre la nuit et au-delà des seules bêtes sauvages, si les sentinelles du coin ne leur semblent pas hostiles, rien ne dit que celles qui vivent au-delà de ce territoire ne vont pas les abattre à vue si elles les voient arpentée la forêt à la nuit tombée.


[RP à partir de 21h dans le décor de Rak'tika. Forteresse de Gohn pour l'ancien camp rebelle, Fanow pour le village de Naatu. Je n'animerais pas d'event, je me mets simplement à disposition pour le contexte et quelques PnJ du vilage de Naatu. Ney sens toi libre d'animer ce que tu voudras si tu comptes aller jusqu'à Fyth !]
Ney Il y a 8 mois et 2 semaines
Depuis l'entrée dans Golmore, le grand loup noir ne quitte plus le côté de son viéra. Ni l'un ni l'autre ne prêtent attention à l'agitation propre à tout équipage. Et pour la première fois depuis qu'il s'est engagé à bord, Ney est parfaitement inutile. Quelque soit la tache qu'il entreprend, il ne tarde pas à s'interrompre soudain, ses oreilles dressées, immobiles, le regard fixe fouillant intensément les berges du Grand Fleuve. 

Plusieurs minutes peuvent s'écouler ainsi, avant qu'il ne revienne à lui, comme s'extirpant d'un songe, ce qui lui vaut de brûler quelques repas.

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