Mare Lamentorum
Albynn
Il y a 9 mois et 4 semaines
La station Musicking... Un lieu haut en couleur où les Loporrites testent leurs gouts et créations musicales, des sons outre-espace résonnent et emplissent les alentours. Un lieu où les loporrite se trémoussent sur des sons démoniaques sortit de pures machines, tout les jours.
Tout les jours? Non, ce jour là, quelque chose de plus Humain résonne. Ce jour là, malgré les bruits synthétique, l'on peut sentir le tribal émerger de la station. Un étrange groupe s'est rassemblé, un groupe de spectateurs et de danseurs, parmi lesquels un lalafell en rouge et Shakingway tentaient de mener la danse.
Enfin, tentait surtout pour le premier, les nombreuses paires de moustaches ayant parfois raison de son stress. La fuite ne manquait jamais de faire jubiler Shakingway, le meilleur des danseurs en devenir, ça c'est sûr!
Tout les jours? Non, ce jour là, quelque chose de plus Humain résonne. Ce jour là, malgré les bruits synthétique, l'on peut sentir le tribal émerger de la station. Un étrange groupe s'est rassemblé, un groupe de spectateurs et de danseurs, parmi lesquels un lalafell en rouge et Shakingway tentaient de mener la danse.
Enfin, tentait surtout pour le premier, les nombreuses paires de moustaches ayant parfois raison de son stress. La fuite ne manquait jamais de faire jubiler Shakingway, le meilleur des danseurs en devenir, ça c'est sûr!
Ney
Il y a 9 mois et 4 semaines
Première semaine sur la Lune
Dillan rabattit la capuche qui le protégeait de la lumière constante, reflétée par le sable immaculée du sol lunaire. Il avait repéré la piste de ce qu'il pensait être une des créatures qui demeuraient dans la vallée. Il redoublait de prudence, dans ce milieu inconnu, qui n'offrait que peu d'abris pour se dissimuler aux regards. L'atmosphère particulière de cet endroit faussait les sons, les odeurs, et même la vue. Tout cela pesait sur ses nerfs et troublait son sommeil. Et la fatigue contribuait à détériorer ses facultés.
Invariablement, ses excursions solitaires s'achevaient rapidement pour rejoindre la tour du Veilleur où il recherchait la compagnie des membres de l'équipages, Dja, en particulier, avec qui il étudiait des schémas détaillant les nœuds marins, s'exerçant à les reproduire, le plus fidèlement possible. Le jeune miqo'te était lui aussi troublé, enfermé dans un mutisme entêté que le viéra ne cherchait pas à briser par ses questions. Nul besoin d'être devin ni doué de pouvoirs particuliers pour deviner la raison de son émoi. Comme pour tout ceux dont la Lune était le centre d'un culte séculaire, sa découverte ébranlait la foi la mieux ancrée. Il aurait aimé trouver les mots pour apaiser leurs crises. Mais aucun ne lui semblaient justes.
Dillan rabattit la capuche qui le protégeait de la lumière constante, reflétée par le sable immaculée du sol lunaire. Il avait repéré la piste de ce qu'il pensait être une des créatures qui demeuraient dans la vallée. Il redoublait de prudence, dans ce milieu inconnu, qui n'offrait que peu d'abris pour se dissimuler aux regards. L'atmosphère particulière de cet endroit faussait les sons, les odeurs, et même la vue. Tout cela pesait sur ses nerfs et troublait son sommeil. Et la fatigue contribuait à détériorer ses facultés.
Invariablement, ses excursions solitaires s'achevaient rapidement pour rejoindre la tour du Veilleur où il recherchait la compagnie des membres de l'équipages, Dja, en particulier, avec qui il étudiait des schémas détaillant les nœuds marins, s'exerçant à les reproduire, le plus fidèlement possible. Le jeune miqo'te était lui aussi troublé, enfermé dans un mutisme entêté que le viéra ne cherchait pas à briser par ses questions. Nul besoin d'être devin ni doué de pouvoirs particuliers pour deviner la raison de son émoi. Comme pour tout ceux dont la Lune était le centre d'un culte séculaire, sa découverte ébranlait la foi la mieux ancrée. Il aurait aimé trouver les mots pour apaiser leurs crises. Mais aucun ne lui semblaient justes.
Ney
Il y a 9 mois et 4 semaines
"Allons voir la forêt"
Il y avait donc bien une forêt ! Même si cela paraissait improbable, au cœur de ces hauts murs froids, le viéra se sentit soulagé d'un poids en entendant ces mots. Poids qui ne ne se reposa que plus lourdement sur ses nerfs déjà émoussés lorsqu'il fit connaissance avec la Garenne. Le paysage de métal, de carrelage et verre eut le don de briser ce qui lui restait de patience. Son esprit fit un brusque bond en arrière dans le temps, au moment de l'apocalypse. Il ne doutait pas une seconde que la détresse qui l'avait alors effleuré alors qu'il était confronté à sa propre impuissance n'aurait pu que se trouver décuplée par un tel spectacle. L'arche salvatrice n'aurait été pour lui qu'une effroyable prison glacée. Il ne put retenir une remarque désobligeante, pourtant conscient des efforts déployés par les petits habitants lunaires.
Inspiration... Expiration...
Plus ils avançaient dans la visite, plus il lui était difficile de faire face à la répulsion viscérale qu'il éprouvait depuis si longtemps contre les machines, ici omniprésentes. Elles cliquetaient, vrombissaient, gémissaient de toute part, remplaçant implacablement ce qui aurait du être frémissement aérien, chant de ruisseau et symphonie animale. Son instinct le poussait à la fuite. Tout son être lui commandait de s'extirper de ce piège mortel ou de le détruire, coute que coute. Sans ses compagnons de voyage, il aurait sans doute céder à l'une ou l'autre de ces pulsions. Dja qui appelait à l'indulgence. Milala qui, peut-être, avait perçu son trouble. L'enthousiasme de certains tempérait son emportement, quand d'autres le partageaient et l'attisaient.
Inspiration... Expiration...
Il répondit présent à l'invitation à visiter le restaurant. Il prenait juste conscience qu'il avait effectivement faim. Pourtant, là aussi, il ne parvenait pas à faire la part de ce qu'il ressentait devant ce qu'il découvrait. Il suivit une partie de groupe qui contemplait et commentait un pan de mur aux dessins naïfs. Il se perdit un long moment devant les représentations candides de ce monde qu'il connaissait si bien.
C'était évident. Les loporrites aimaient Æthérys. Devant une œuvre comme celle ci, comment leur en vouloir ?
Il prit soudain sa décision, laissant ses compagnons sur place. Il avait besoin de reprendre son calme, de retrouver son monde, de prendre du recul. Une nuit. Juste une nuit. Il avait besoin pour cette nuit de retrouver la terre ferme, Ulfur, Will et de respirer...
Il y avait donc bien une forêt ! Même si cela paraissait improbable, au cœur de ces hauts murs froids, le viéra se sentit soulagé d'un poids en entendant ces mots. Poids qui ne ne se reposa que plus lourdement sur ses nerfs déjà émoussés lorsqu'il fit connaissance avec la Garenne. Le paysage de métal, de carrelage et verre eut le don de briser ce qui lui restait de patience. Son esprit fit un brusque bond en arrière dans le temps, au moment de l'apocalypse. Il ne doutait pas une seconde que la détresse qui l'avait alors effleuré alors qu'il était confronté à sa propre impuissance n'aurait pu que se trouver décuplée par un tel spectacle. L'arche salvatrice n'aurait été pour lui qu'une effroyable prison glacée. Il ne put retenir une remarque désobligeante, pourtant conscient des efforts déployés par les petits habitants lunaires.
Inspiration... Expiration...
Plus ils avançaient dans la visite, plus il lui était difficile de faire face à la répulsion viscérale qu'il éprouvait depuis si longtemps contre les machines, ici omniprésentes. Elles cliquetaient, vrombissaient, gémissaient de toute part, remplaçant implacablement ce qui aurait du être frémissement aérien, chant de ruisseau et symphonie animale. Son instinct le poussait à la fuite. Tout son être lui commandait de s'extirper de ce piège mortel ou de le détruire, coute que coute. Sans ses compagnons de voyage, il aurait sans doute céder à l'une ou l'autre de ces pulsions. Dja qui appelait à l'indulgence. Milala qui, peut-être, avait perçu son trouble. L'enthousiasme de certains tempérait son emportement, quand d'autres le partageaient et l'attisaient.
Inspiration... Expiration...
Il répondit présent à l'invitation à visiter le restaurant. Il prenait juste conscience qu'il avait effectivement faim. Pourtant, là aussi, il ne parvenait pas à faire la part de ce qu'il ressentait devant ce qu'il découvrait. Il suivit une partie de groupe qui contemplait et commentait un pan de mur aux dessins naïfs. Il se perdit un long moment devant les représentations candides de ce monde qu'il connaissait si bien.
C'était évident. Les loporrites aimaient Æthérys. Devant une œuvre comme celle ci, comment leur en vouloir ?
Il prit soudain sa décision, laissant ses compagnons sur place. Il avait besoin de reprendre son calme, de retrouver son monde, de prendre du recul. Une nuit. Juste une nuit. Il avait besoin pour cette nuit de retrouver la terre ferme, Ulfur, Will et de respirer...
Ivanhault
Il y a 9 mois et 4 semaines
Un message placardé près de la porte d'entrée du dortoir attribué chez les loporrites annonçait :
Dillan a été blessé au cours d'une mission sur Aetherys ; il nous fait prévenir qu'il sera absent le temps de se remettre de ses blessures.
Iv. T.
Lerith
Il y a 9 mois et 4 semaines
Valorius avait finalement passé relativement peu de temps avec ses compagnons de voyage, pour l'instant.
Quand il se trouvait sur la lune, il tentait d'en embrasser l'étrange immensité, de plonger dans la mémoire de ce passé antique. Il régnait en ce lieu une atmosphère de temple et de tombeau, amplifiée par le silence et la poussière couleur de cendre balayée par d'improbables tempêtes. La lune était une création issue d'un temps qui n'existait plus, scellé dans la mémoire des âmes réincarnation après réincarnation, jusqu'à ce que l'Apocalypse se reproduise.
Le mage avait d'abord étudié les sceaux brisés au bord du gouffre écarlate d'où jaillissaient des flux d'un ether à la densité remarquable. Conscient de cette opportunité unique, il avait rempli un cahier de croquis et de diagrammes, multiplié les observations, effectué de nombreux prélèvements de roche et de métal qui reposaient dans les casiers d'une solide cantine de marine en prévision d'expériences ultérieures.
L'énergie saturait ses sens et son corps et l'enivrait, aiguisant ses perceptions et son esprit, supprimant les signaux de faiblesse vitale de son organisme. Le premier jour, il était resté là pendant près de quinze heures sans manger ni dormir, sans éprouver la moindre fatigue. Il se sentait bien, mais avait pris conscience du détachement que cela provoquait. Il serait aisé de perdre son humanité en un tel lieu, qui ravivait de sombres désirs enfouis aux tréfonds de son être, très loin de ses espoirs et ambitions actuelles.
Ses retours sur Aetherys compensaient cette influence. Même si les téléportations généraient de la fatigue, il avait besoin de revenir à sa vie normale, à son foyer, à ses projets bien humains et bien vivants, loin des fantômes qui erraient sur l'astre artificiel.
Un autre facteur venait rendre de la chaleur et de la joie à cette cathédrale de métal glacé. Au sein d'une machinerie fascinante vivait un petit peuple industrieux, organisé avec la rigueur d'une fourmilière.
Les loporites avaient surpris le mage. Conçus à l'origine comme des esclaves disciplinés voués à un but unique, ils devaient à présent trouver en eux-mêmes un sens à leur existence.
Aux yeux de Valorius, ils étaient comme des enfants, naïfs, bienveillants et désireux de bien faire. Certains possédaient de la fantaisie et de la créativité, et ceux-là avaient entrepris de guider le reste de la communauté. Les projets qui émergeaient, tournés aussi bien vers leur peuple que vers des échanges avec l'extérieur, pouvaient sembler futiles, mais l'elezen avait approuvé le choix de la musique et de la danse comme premier vecteur de partage et de motivation. Il avait même effectué quelques figures en compagnie des petits danseurs, appréciant ce moment de joyeuse détente. Leur musique aux sons métalliques pourrait peut-être s'exporter vers les clubs de la planète en contrebas...
Valorius avait perçu le malaise de certains de ses compagnons. Les plus proches de la nature détestaient cet environnement artificiel où ils n'avaient plus aucun repère familier.
Le mage s'était interrogé sur l'objectif véritable de ce colossal projet. Après ce qu'il avait vu pendant l'Apocalypse, ce qu'il en avait vécu, il lui semblait évident que l'Exode envisagé se serait achevé par un massacre. Malgré tous les efforts déployés par les loporites pour concevoir un cadre de vie adapté aux mortels d'Aetherys, la lune serait devenue une prison terrifiante pour la plupart des exilés, générant sans aucun doute l'apparition des mutations de l'Apocalypse au sein même du vaisseau.
La haute silhouette du Veilleur solitaire dans son palais et les âmes errantes fragmentées qu'il avait croisées aux bord du gouffre rappelaient qu'aux origines des temps, les hommes avaient été bien différents. Immensément puissants, détachés des contingences matérielles comme la maladie ou le vieillissement, ces immortels quasi divins avaient cependant fini par sombrer. En parcourant leur dernière création, sensée sauver l'avenir, Valorius se disait qu'ils n'avaient pas dû vraiment comprendre les raisons profondes de leur chute.
Quand il se trouvait sur la lune, il tentait d'en embrasser l'étrange immensité, de plonger dans la mémoire de ce passé antique. Il régnait en ce lieu une atmosphère de temple et de tombeau, amplifiée par le silence et la poussière couleur de cendre balayée par d'improbables tempêtes. La lune était une création issue d'un temps qui n'existait plus, scellé dans la mémoire des âmes réincarnation après réincarnation, jusqu'à ce que l'Apocalypse se reproduise.
Le mage avait d'abord étudié les sceaux brisés au bord du gouffre écarlate d'où jaillissaient des flux d'un ether à la densité remarquable. Conscient de cette opportunité unique, il avait rempli un cahier de croquis et de diagrammes, multiplié les observations, effectué de nombreux prélèvements de roche et de métal qui reposaient dans les casiers d'une solide cantine de marine en prévision d'expériences ultérieures.
L'énergie saturait ses sens et son corps et l'enivrait, aiguisant ses perceptions et son esprit, supprimant les signaux de faiblesse vitale de son organisme. Le premier jour, il était resté là pendant près de quinze heures sans manger ni dormir, sans éprouver la moindre fatigue. Il se sentait bien, mais avait pris conscience du détachement que cela provoquait. Il serait aisé de perdre son humanité en un tel lieu, qui ravivait de sombres désirs enfouis aux tréfonds de son être, très loin de ses espoirs et ambitions actuelles.
Ses retours sur Aetherys compensaient cette influence. Même si les téléportations généraient de la fatigue, il avait besoin de revenir à sa vie normale, à son foyer, à ses projets bien humains et bien vivants, loin des fantômes qui erraient sur l'astre artificiel.
Un autre facteur venait rendre de la chaleur et de la joie à cette cathédrale de métal glacé. Au sein d'une machinerie fascinante vivait un petit peuple industrieux, organisé avec la rigueur d'une fourmilière.
Les loporites avaient surpris le mage. Conçus à l'origine comme des esclaves disciplinés voués à un but unique, ils devaient à présent trouver en eux-mêmes un sens à leur existence.
Aux yeux de Valorius, ils étaient comme des enfants, naïfs, bienveillants et désireux de bien faire. Certains possédaient de la fantaisie et de la créativité, et ceux-là avaient entrepris de guider le reste de la communauté. Les projets qui émergeaient, tournés aussi bien vers leur peuple que vers des échanges avec l'extérieur, pouvaient sembler futiles, mais l'elezen avait approuvé le choix de la musique et de la danse comme premier vecteur de partage et de motivation. Il avait même effectué quelques figures en compagnie des petits danseurs, appréciant ce moment de joyeuse détente. Leur musique aux sons métalliques pourrait peut-être s'exporter vers les clubs de la planète en contrebas...
Valorius avait perçu le malaise de certains de ses compagnons. Les plus proches de la nature détestaient cet environnement artificiel où ils n'avaient plus aucun repère familier.
Le mage s'était interrogé sur l'objectif véritable de ce colossal projet. Après ce qu'il avait vu pendant l'Apocalypse, ce qu'il en avait vécu, il lui semblait évident que l'Exode envisagé se serait achevé par un massacre. Malgré tous les efforts déployés par les loporites pour concevoir un cadre de vie adapté aux mortels d'Aetherys, la lune serait devenue une prison terrifiante pour la plupart des exilés, générant sans aucun doute l'apparition des mutations de l'Apocalypse au sein même du vaisseau.
La haute silhouette du Veilleur solitaire dans son palais et les âmes errantes fragmentées qu'il avait croisées aux bord du gouffre rappelaient qu'aux origines des temps, les hommes avaient été bien différents. Immensément puissants, détachés des contingences matérielles comme la maladie ou le vieillissement, ces immortels quasi divins avaient cependant fini par sombrer. En parcourant leur dernière création, sensée sauver l'avenir, Valorius se disait qu'ils n'avaient pas dû vraiment comprendre les raisons profondes de leur chute.
Lyapaggy
Il y a 9 mois et 4 semaines
Note de Nashasha sur les Loporrites
Il est difficile de parler de culture chez les Loporrites pour l'instant. Ils ce sont voué, depuis le début de leur existence, à crée un endroit qui pourrait accueillir l'humanité. Alors l'on peux dire alors que leur culture est l'humanité, à une exception proche. Néanmoins, l'ont peux retracer leur origine assez facilement en leur posant des questions et les interrogeant. Je vais noter ici ce que je sait déjà.
Leur origine
Les Loporrites sont né il y a de ça moins de treize mille ans. C'est une chiffre très impressionnant ! Cette date est bien antérieur au tout premier des fléaux recenser. Ils furent crée par Hydaelyn, durant cette ère, afin de façonner la lune en tant que plan de secours pour quand "l'apocalypse reviendra". Pour ce faire, ils ont été doté de ce qu'ils appellent "la magie de création", un art qui aurait été manipulé par les humains de l'époque, quand ceux-ci avaient plus d'éther.
Le point culture
En vérité, il y a une chose à noté chez eux qui est assez propre à leur peuple : leur nom. Chaque Loporrite porte un nom en langage commun signifiant leur spécialité, la voie qu'ils suivent, leur passion ou leur vocation. Par exemple, notre hôte Flyingway rêve de voler à travers les cieux, comme l'explique son nom. Peut-être vous demandez-vous par contre pourquoi est-ce en Hyur alors qu'ils vivaient isolé sur la lune ?
Leur langue
Vous vous êtes peut-être posé la question concernant leur langue. En tout cas, moi je me la suis posée. La langue commune n'est pas leur langue natale, non. Celle-ci ressemble en réalité à ce qu'on peux entendre quand l'on échange avec celui qu'ils appellent Le Veilleur Sélénien, cette grande personne dans le palais où nous somme arriver. Elle n'est pas particulièrement difficile à comprendre... Enfin pour quelqu'un comme moi, en tout cas. Elle est ce qu'ils appellent "La langue que l'humanité parlait".
Je complèterait bientôt avec de nouvelles informations. En attendant, voici ce que j'ai !
Lerith
Il y a 9 mois et 4 semaines
Aujourd'hui, Liiz aura passé une partie de la journée à parler aux ingénieurs Loporrites afin de comprendre leurs technologie et, sait-on jamais, partager des idées. Les premières heures seront longues pour la miqo'te qui aura beaucoup de mal à intégrer les bases, mais les Loporrites sont patients et prendront le temps de lui expliquer plus en détail à chacune de ses incompréhensions.
Lerith
Il y a 9 mois et 4 semaines
"Ouaaaaaaaaaaaah mais c'est génial ce truc !"
L'éclat de voix à la sortie des ateliers Dreaming fit lever les yeux à bon nombre de Loporrites, ainsi qu'à Meleth les bras chargés de confiseries à rapporter au dortoir. Dans les airs, perchées sur une sorte de lapin-coptère, Floerswys riait aux éclats tandis que deux loporrites tentaient de la poursuivre sur leurs petites jambes, les bras en l'air paniqués.
"Attendez, ce n'est qu'un prototype ! On est pas sûrs que... !
- Vous en faites pas, il marche très bien !"
Le rire de la roegadyne résonnait sous le haut plafond du Halot de Bestway. Meleth manqua d'en recracher son muffin -Lysia juste derrière s'étouffait déjà avec le sien- et la regarda faire des loopings et des vrilles telle une enfant dans un manège. Etait-ce vraiment Floerswys ? Par la Mère, il fallait bien qu'ils soient sur la lune pour voir quelque chose d'aussi... lunaire !
L'ingénieure n'avait pas rechigné à donner un coup de main aux loporrites durant le séjour, d'autant que cela lui donnait l'occasion de voir de ses yeux leurs installations, leur technologie de pointe destinée à aider, à faciliter la vie plutôt qu'à la détruire et ça, pour une pacifiste dégoûtée par les armes après l'expérience de Werlyt, c'était beaucoup. Dans un hangar, alors qu'elle faisait connaissance avec Iventingway et sa station aux ateliers Dreaming, elle était tombée sur cet appareil dissimulé sous une bâche. Son nouvel ami lui avait expliqué qu'il comptait le proposer à la vente au comptoir de coiningway, que c'était une sorte de véhicule mais qu'il faudrait le tester avec des humains. Il n'en fallut pas plus pour que la roegadyne l'enfourche sans même attendre la fin des explications.
"Wouaaaaah c'est trop énorme ! je peux le garder ?!
- S'il vous plait ! faites attention, n'allez pas vous blesser !"
Au bout d'un moment, elle finit par redescendre et Meleth regarda avec un léger sourire l'attroupement se former autour d'elle. Cet endroit fascinant apportait son lot de travail, ils passaient tous beaucoup de temps sur site ou au dortoir à étudier les prélèvements. La moitié de leurs trois semaines s'était déjà écoulé et la semaine restante passerait très vite alors autant profiter.
Son regard se posa alors sur une paire d'oreilles près de la station artistique. La tête basse et le museau triste, Flyingway ne semblait pas prendre par à l'enthousiasme général. Son pinceau à la main, il avait peint une forme ailée un peu étrange. En fermant un œil et en penchant légèrement la tête sur le côté, de loin et avec beaucoup d'imagination elle pensait distinguer un pégase blanc dans le ciel. Le loporrite étalait sa peinture, les yeux fixés sur son dessin, sans parler à qui que ce soit ni même lever les yeux, marmonnant parfois quelques mots inaudibles même pour la viéra.
L'éclat de voix à la sortie des ateliers Dreaming fit lever les yeux à bon nombre de Loporrites, ainsi qu'à Meleth les bras chargés de confiseries à rapporter au dortoir. Dans les airs, perchées sur une sorte de lapin-coptère, Floerswys riait aux éclats tandis que deux loporrites tentaient de la poursuivre sur leurs petites jambes, les bras en l'air paniqués.
"Attendez, ce n'est qu'un prototype ! On est pas sûrs que... !
- Vous en faites pas, il marche très bien !"
Le rire de la roegadyne résonnait sous le haut plafond du Halot de Bestway. Meleth manqua d'en recracher son muffin -Lysia juste derrière s'étouffait déjà avec le sien- et la regarda faire des loopings et des vrilles telle une enfant dans un manège. Etait-ce vraiment Floerswys ? Par la Mère, il fallait bien qu'ils soient sur la lune pour voir quelque chose d'aussi... lunaire !
L'ingénieure n'avait pas rechigné à donner un coup de main aux loporrites durant le séjour, d'autant que cela lui donnait l'occasion de voir de ses yeux leurs installations, leur technologie de pointe destinée à aider, à faciliter la vie plutôt qu'à la détruire et ça, pour une pacifiste dégoûtée par les armes après l'expérience de Werlyt, c'était beaucoup. Dans un hangar, alors qu'elle faisait connaissance avec Iventingway et sa station aux ateliers Dreaming, elle était tombée sur cet appareil dissimulé sous une bâche. Son nouvel ami lui avait expliqué qu'il comptait le proposer à la vente au comptoir de coiningway, que c'était une sorte de véhicule mais qu'il faudrait le tester avec des humains. Il n'en fallut pas plus pour que la roegadyne l'enfourche sans même attendre la fin des explications.
"Wouaaaaah c'est trop énorme ! je peux le garder ?!
- S'il vous plait ! faites attention, n'allez pas vous blesser !"
Au bout d'un moment, elle finit par redescendre et Meleth regarda avec un léger sourire l'attroupement se former autour d'elle. Cet endroit fascinant apportait son lot de travail, ils passaient tous beaucoup de temps sur site ou au dortoir à étudier les prélèvements. La moitié de leurs trois semaines s'était déjà écoulé et la semaine restante passerait très vite alors autant profiter.
Son regard se posa alors sur une paire d'oreilles près de la station artistique. La tête basse et le museau triste, Flyingway ne semblait pas prendre par à l'enthousiasme général. Son pinceau à la main, il avait peint une forme ailée un peu étrange. En fermant un œil et en penchant légèrement la tête sur le côté, de loin et avec beaucoup d'imagination elle pensait distinguer un pégase blanc dans le ciel. Le loporrite étalait sa peinture, les yeux fixés sur son dessin, sans parler à qui que ce soit ni même lever les yeux, marmonnant parfois quelques mots inaudibles même pour la viéra.
"Mais moi... je le connais déjà mon rêve..."
Lerith
Il y a 9 mois et 4 semaines
Il était prévu qu'elle redescende sur Aetherys aujourd'hui pour un mandat avec Ivanhault et Djazah'ir. Meleth s'était pourtant couchée tard, elle avait passé toute la journée d'hier avec les pampas séléniens et avant de rentrer au dortoir, s'était arrêtée aux ateliers dreaming. Elle avait rapporté tout un tas de plats "locaux" (et pas forcément à base de carotte !) à partager avec ses compagnons, sauf un qui resta bien emballé jusqu'à ce qu'elle aille se coucher. Là, elle le laissa bien en vue sur l'une des couchettes, avec un petit mot :
Lyapaggy
Il y a 9 mois et 4 semaines
Rapport d'autopsie des poissons violet zigzaguant
Après étude de l'étrange poisson violet vivant dans le fluide magismologique, j'ai pu remarquer certains détails. Un spécimen vivant serait nécessaire afin de confirmer certains détail. Néanmoins, voici déjà ce que j'ai découvert.
Pour commencer à comprendre le poisson violet zigzaguant, il faut savoir comment se compose le régime alimentaire d'un poisson. La plupart d'entre eux sont carnivore. Néanmoins, certains plus petit se contente d'algue ou des aliments aussi petit. Seulement, vous pouvez vous en doutez... Ce n'est pas dans un fluide magismologique que l'on peux voir ce genre d'écosystème.
Alors comment font-ils ? Les poissons violet zigzaguant ont développer un organe capable de décomposer les toxiques présent dans les fuites magismologique afin d'obtenir les nutriments qui lui sont nécessaire. Grâce à cette faculté, il préserve ainsi l'écosystème propre de son basin.
Cette faculté unique qu'ils ont développer et qui mériterait plus d'étude à néanmoins son défaut. Ce défaut même qui est la raison de sa difficulté de nager en ligne droite. Cette exposition prolongés aux toxiques n'ont pas été sans effet sur ses facultés mental, rendant alors leur nage des plus précaire...
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