Un jour après l'autre...
Quila Haamir
Il y a 9 mois et 3 semaines
Arrivant de bon matin à l'escale pour faire un tour dans les bouquins, Quila voit les muffins faits avec amour. Après avoir cherché et trouvé le sien, elle ce dit qu'elle pourrait rendre la pareille. Elle rentrera chez elle et prendra la journée pour revenir le soir avec un repas hanois pour ceux qui le veulent et avec une part spéciale pour l'héroïne de la journée, elle le deposera en haut sur la table avec écrit ''merci pour le muffin, et servez vous'' !
Keython
Il y a 9 mois et 3 semaines
Un nouvelle ouvrage semble depuis peu en vente à Sharlayan, intitulé "Voyage illustré aux confins de l'univers, sur les pas du guerrier de la lumière" par Elyaska Weber. S'il n'est pas le plus grand des bests seller, il semble cependant trouver un certains succès auprès des jeunes étudiants et des fans du guerriers de la lumière.
Serait-ce le début d'une grande odyssée littéraire pour son auteur?
Serait-ce le début d'une grande odyssée littéraire pour son auteur?
Elyaska
Il y a 9 mois et 2 semaines
Au mépris de toute connaissance sur le livre que Waldemar avait créer à partir de son carnet de voyage, Elyaska se retrouvait plongée dans une nouvelle aventure. Une commande à honorer capturait son attention, et c'était Quila qui la sollicitait. Le défi : peindre un tableau représentant le café d'Ultimé Thulé où ils avaient tous élu domicile pendant ces trois jours d'expédition. Un lieu qui, pour elle, avait semblé être tout droit sorti d'un rêve. Un pinceau en main, elle s'apprêtait à donner vie à ces souvenirs qui étaient bien plus qu'une simple esquisse sur une toile.
Ivanhault
Il y a 9 mois et 2 semaines
Demain soir, dixième soleil de Menphina, je tiendrai exceptionnellement une table de tarots afin de révéler le mystère des connexions entre ceux qui viendront me consulter.
Je ne prends que les binômes, couples ou ami. Ne vous attendez pas à un état des lieux exact de votre avenir, c'est du loisir. Par souci de loisir également, la séance aura lieu dans le salon privé de la compagnie, où tout le monde peut venir écouter.
Nous lirons dans les arcanes les liens qui vous affectent l'un envers l'autre sur un plan financier, aventurier, et bien sûr, sentimental.
Iv. T.
Neimad
Il y a 9 mois et 1 semaine
Archipel Paradis, Cultures de Nanapi, hutte du Nunh G'krayn.
"MAIS TU TE FOUS DE MA GUEULE ???"
Le cri de colère de la Miqo'te avait jeté un froid dans l'assemblée, c'était la première fois que les habitants de l'île voyait Iko en colère.
"Je viens de te dire que je ne fais plus partie de cet équipage et de cette compagnie et toi, tu me demandes de faire ça ? Pourquoi devrais-je faire ça pour toi d'abord ? Vas te faire foutre Krayn !
- En premier lieu, parce qu'en voulant t'installer sur mes terres, tu as accepté de contribuer à la prospérité de l'île et de l'archipel. Deuxièmement, parce qu'on est amis et je te demande ça comme un service. Et troisièmement..."
Calme et serein depuis le début, l'expression de son visage et l'intonation de sa voix devinrent plus sévères à l'énoncé de ce troisième point.
"... parce que je tolère que tu me parles de cette façon sous mon toit, devant ma tribu !"
En une phrase, il avait calmé la Miqo'te qui baissa immédiatement son œil. A force de plaisanter et prendre ses aises avec lui, Iko avait oublier qu'elle s'adressait à un chef de tribu et il venait de le lui rappeler.
"Très... très bien."
La chasseuse sortit de la hutte dans un silence absolu. Après son départ, G'krayn appela une de ses compagnes et lui donna ses directives.
"Khira, envoie une missive à madame Kurusu pour l'informer que je souhaite m'entretenir avec elle.
- Entendu, je vais l'inviter à venir te rencontrer.
- Non, pour cette affaire, c'est à nous d'aller à sa rencontre.
- Qui souhaites tu envoyer pour cet entretien ?
- Personne, j'irais moi même à la prochaine lune."
Quelle affaire importante peut bien préoccuper G'krayn pour qu'il se déplace en personne ?
"MAIS TU TE FOUS DE MA GUEULE ???"
Le cri de colère de la Miqo'te avait jeté un froid dans l'assemblée, c'était la première fois que les habitants de l'île voyait Iko en colère.
"Je viens de te dire que je ne fais plus partie de cet équipage et de cette compagnie et toi, tu me demandes de faire ça ? Pourquoi devrais-je faire ça pour toi d'abord ? Vas te faire foutre Krayn !
- En premier lieu, parce qu'en voulant t'installer sur mes terres, tu as accepté de contribuer à la prospérité de l'île et de l'archipel. Deuxièmement, parce qu'on est amis et je te demande ça comme un service. Et troisièmement..."
Calme et serein depuis le début, l'expression de son visage et l'intonation de sa voix devinrent plus sévères à l'énoncé de ce troisième point.
"... parce que je tolère que tu me parles de cette façon sous mon toit, devant ma tribu !"
En une phrase, il avait calmé la Miqo'te qui baissa immédiatement son œil. A force de plaisanter et prendre ses aises avec lui, Iko avait oublier qu'elle s'adressait à un chef de tribu et il venait de le lui rappeler.
"Très... très bien."
La chasseuse sortit de la hutte dans un silence absolu. Après son départ, G'krayn appela une de ses compagnes et lui donna ses directives.
"Khira, envoie une missive à madame Kurusu pour l'informer que je souhaite m'entretenir avec elle.
- Entendu, je vais l'inviter à venir te rencontrer.
- Non, pour cette affaire, c'est à nous d'aller à sa rencontre.
- Qui souhaites tu envoyer pour cet entretien ?
- Personne, j'irais moi même à la prochaine lune."
Quelle affaire importante peut bien préoccuper G'krayn pour qu'il se déplace en personne ?
Hanbei Uranai
Il y a 9 mois et 1 semaine
Archiviste... voilà une ambition qu'il ne se serait pas attendue à proposer de lui-même. Mais finalement, c'était une fonction qui pourrait lui convenir. Il était déjà du genre méticuleux à se préparer en avance pour tout évènement, principalement pour des missions, et également à rédiger des rapports de fin. Si les personnes concernées étaient souvent au courant de ce qui s'était passé, il n'était pas garanti qu'elles se souviennent de ces évènements après qu'une période de temps soit passé. Un rapport pour rassembler les informations des évènements dans leur globalité était donc essentiel pour avoir une vision d'ensemble pour permettre à n'importe qui de pouvoir se faire une idée des évènements, qu'il y aient participé ou non.
Et c'était aussi la première tâche qui lui incombait, d'en faire un sur leur voyage à Ultima Thulé, afin de voir s'il avait les capacités de le faire. Qu'il en soit ainsi, il ne reculait pas devant un défi. Profitant de cette après midi, le hyur se sera concentré sur la préparation d'un rapport, qu'il enverra dès que possible vers Madame Kurusu pour vérification.
Et c'était aussi la première tâche qui lui incombait, d'en faire un sur leur voyage à Ultima Thulé, afin de voir s'il avait les capacités de le faire. Qu'il en soit ainsi, il ne reculait pas devant un défi. Profitant de cette après midi, le hyur se sera concentré sur la préparation d'un rapport, qu'il enverra dès que possible vers Madame Kurusu pour vérification.
Utopyah
Il y a 9 mois et 1 semaine
L'élézenne avait passée la journée à se préparer pour l'opération d'envergure à laquelle elle devait prendre part à la fin de cette semaine. Ce n'était pas toutes les Lunes que ses talents étaient requis pour mettre fin aux agissements d'un nécromancien et, bien qu'elle ne lésinait jamais sur son entrainement et ses préparatifs, ceux-ci lui paraissaient plus important encore. Peut-être était-ce la lettre qu'elle avait envoyée la veille qui l'incitait à désirer plus que tout faire ses preuves auprès des aventuriers qui composeraient son groupe, pour la plupart membres de la compagnie qu'elle souhaitait rejoindre. Mais peu lui importaient les raisons. Ses flèches se plantaient avec une extraordinaire précision dans les mannequin d'entrainement du Bannock, l'une après l'autre, et ses coups de dague touchaient leur cible avec plus d'adresse qu'elle n'en avait jamais eu.
Alors que l'astre solaire commençait à disparaitre derrière la cime des arbres de la Forêt Centrale, et que le chant des oiseaux se faisait lentement remplacer par celui des grillons, sa détermination n'avait pas fléchie. Tout au contraire, les gouttes d'effort qui ruisselaient sur son front n'avaient fait que renforcer sa ténacité. C'est lorsqu'elle allait bander la corde de son arc pour la énième fois qu'un hyurois portant un uniforme aux couleurs des Deux vipères qui avait patrouillé la forêt toute l'après-midi l'interpella.
"Z'êtes encore la ma p'tite dame. La nuit va pas tarder à tomber, vous f'riez bien d'rentrer. J'sais pas pourquoi vous vous entrainez autant, mais si vous t'nez pas d'bout demain, ç'aura pas servi à grand chose."
Malgré ses airs un peu rustre, l'homme avait l'air tout à fait bienveillant, et somme toute plein de bon sens. La rouquine, surprise dans son geste, avait immédiatement abaissée son arme. Un bref soupir s'échappant de ses lèvres, elle leva les yeux vers ce ciel désormais indigo, où la lueur des premières étoiles commençait à naitre.
"Hmpf.. vous avez raison, je.. je ne m'en étais pas rendue compte. Veuillez m'excuser de m'être accaparé ces mannequins si longtemps.."
Elle inclina respectueusement la tête dans sa direction, puis sans plus attendre, se dirigea vers ses cibles pour récupérer les quelques projectiles encore utilisables qui y étaient logés. Le soldat quant à lui, se contenta de hausser une épaule pour toute réponse, avant de tourner les talons et repartir vaquer à ses obligations. Lui adressant un sourire des plus sincères qu'il n'aura su voir, Utopyah en fit de même, prenant le chemin vers l'éthérite de Brancharquée pour enfin regagner sa maisonnette, où l'attendait la réponse attendue à sa candidature.
Epuisée, elle s'affala dans les coussins qui décorent son salon, le courrier fermement tenu entre ses mains légèrement tremblantes. Était-ce la fatigue, l'excitation ou tout autre chose ? Ce n'est en tout cas pas sans une certaine appréhension que ses doigts se glissèrent sous le rabat de l'enveloppe pour l'ouvrir et extirper le message qui s'y trouvait. Elle prit un court instant pour souffler avant d'en lire le contenu. Son émetteur ne faisait que lui confirmer son entretien, mais il n'en fallait pas plus à la jeune femme pour faire se raviver sur son visage constellé de tâches de rousseurs un sourire ingénu, malgré sa fatigue. Sans perdre une seconde de plus, elle se dirigea vers son bureau afin d'écrire sa réponse, confirmant la date et l'heure de son entretien, qu'elle envoya dans la foulée dans l'espoir qu'elle parvienne le plus rapidement possible à la directrice de la compagnie ou son assistant.
Satisfaite de sa journée sur bien des plans, la rousse quitta enfin son bureau chargée de ce sourire dont elle ne se séparait plus pour aller se glisser dans un bon bain qu'elle avait bien mérité.. et dont elle avait grand besoin.
Alors que l'astre solaire commençait à disparaitre derrière la cime des arbres de la Forêt Centrale, et que le chant des oiseaux se faisait lentement remplacer par celui des grillons, sa détermination n'avait pas fléchie. Tout au contraire, les gouttes d'effort qui ruisselaient sur son front n'avaient fait que renforcer sa ténacité. C'est lorsqu'elle allait bander la corde de son arc pour la énième fois qu'un hyurois portant un uniforme aux couleurs des Deux vipères qui avait patrouillé la forêt toute l'après-midi l'interpella.
"Z'êtes encore la ma p'tite dame. La nuit va pas tarder à tomber, vous f'riez bien d'rentrer. J'sais pas pourquoi vous vous entrainez autant, mais si vous t'nez pas d'bout demain, ç'aura pas servi à grand chose."
Malgré ses airs un peu rustre, l'homme avait l'air tout à fait bienveillant, et somme toute plein de bon sens. La rouquine, surprise dans son geste, avait immédiatement abaissée son arme. Un bref soupir s'échappant de ses lèvres, elle leva les yeux vers ce ciel désormais indigo, où la lueur des premières étoiles commençait à naitre.
"Hmpf.. vous avez raison, je.. je ne m'en étais pas rendue compte. Veuillez m'excuser de m'être accaparé ces mannequins si longtemps.."
Elle inclina respectueusement la tête dans sa direction, puis sans plus attendre, se dirigea vers ses cibles pour récupérer les quelques projectiles encore utilisables qui y étaient logés. Le soldat quant à lui, se contenta de hausser une épaule pour toute réponse, avant de tourner les talons et repartir vaquer à ses obligations. Lui adressant un sourire des plus sincères qu'il n'aura su voir, Utopyah en fit de même, prenant le chemin vers l'éthérite de Brancharquée pour enfin regagner sa maisonnette, où l'attendait la réponse attendue à sa candidature.
Epuisée, elle s'affala dans les coussins qui décorent son salon, le courrier fermement tenu entre ses mains légèrement tremblantes. Était-ce la fatigue, l'excitation ou tout autre chose ? Ce n'est en tout cas pas sans une certaine appréhension que ses doigts se glissèrent sous le rabat de l'enveloppe pour l'ouvrir et extirper le message qui s'y trouvait. Elle prit un court instant pour souffler avant d'en lire le contenu. Son émetteur ne faisait que lui confirmer son entretien, mais il n'en fallait pas plus à la jeune femme pour faire se raviver sur son visage constellé de tâches de rousseurs un sourire ingénu, malgré sa fatigue. Sans perdre une seconde de plus, elle se dirigea vers son bureau afin d'écrire sa réponse, confirmant la date et l'heure de son entretien, qu'elle envoya dans la foulée dans l'espoir qu'elle parvienne le plus rapidement possible à la directrice de la compagnie ou son assistant.
Satisfaite de sa journée sur bien des plans, la rousse quitta enfin son bureau chargée de ce sourire dont elle ne se séparait plus pour aller se glisser dans un bon bain qu'elle avait bien mérité.. et dont elle avait grand besoin.
Elyaska
Il y a 9 mois et 6 jours
Un anniversaire ...? Le sien ?
Il était contraint de reconnaître que ces jours-ci, la mémoire de la viéra lui faisait défaut. Et puis, pour une viéra, une année de plus ou de moins, quelle importance finalement ? Cela faisait un moment que la cartographe n'avait as fêter cette journée alors pourquoi changer ses habitudes aujourd'hui ? Surtout qu'elle avait mieux à penser...
C'est donc aux premières lueurs de l'aurore qu'Elyaska émergea de l'auberge de Bokariro à Kugane. Une séance d'entraînement planifiée, une course à travers la capitale, renforcement dans l'après-midi, en somme, elle se sentait plus motivée que jamais après la réunion animée autour de l'organisation du tournoi des Kurusu. Elle saisit l'occasion pour confronter l'une de ses craintes qui immergé depuis plusieurs lune déjà.
Serait-elle capable de persévérer sur la voie des poings ?
Une cartographe, une artiste qui exposait ses mains au danger à chaque combat... Ce tournoi serait le moyen de confirmer si elle possédait la détermination nécessaire pour les préserver, coûte que coûte.
Liann
Il y a 9 mois et 5 jours
Il n'était déjà pas rare d'apercevoir Liann le nez, littéralement, dans un livre, s'adonnant à un apprentissage délaissé depuis son premier emploi à Brancharquée. Cependant, depuis l'acquisition de ses nouvelles lunettes, la jeune Miqo'te découvre visiblement une capacité de lecture encore plus accrue. Elle passe désormais clairement plus de temps à l'étage de l'Escale, se concentrant pour le moment principalement sur les livres traitant d'Othard, Hingashi et de tout ce qui est lié, de près ou de loin, au Grand Est.
Diana
Il y a 9 mois et 3 jours
Au doux matin, alors que les premiers rayons de soleil caressent timidement les murs de l'Escale de Llymlaen, une ambiance paisible règne encore dans l'auberge. Cependant, au sein de sa chambre, Diana se réveille en sursaut, un orchestre de marteaux-piqueurs, résonne douloureusement, laissant échapper un grognement plaintif à chaque battement. Elle s'assied brusquement sur son lit, ses yeux améthyste écarquillés par la confusion et la panique.
Le souvenir de la soirée précédente lui revient en un flot désordonné de fragments confus, comme des éclats de verre éparpillés sur le sol. Elle réalise soudainement qu'elle est encore à l'Escale, loin de la mission qu'elle était censée accomplir en Orient. La panique la submerge, et dans sa hâte de quitter les dortoirs, elle se lève brusquement, mais trop vite. Sa tête heurte violemment le lit mezzanine au-dessus d'elle, provoquant un bruit sourd qui résonne à travers la pièce et un cri de douleur désespéré s'échappe de ses lèvres.
Son esprit embrouillé par la confusion et la douleur, Diana se précipite hors de son lit avec une hâte frénétique, mais ses jambes ne semblent pas coopérer. Elle trébuche maladroitement sur le parquet et atterrit de tout son long sur le sol, un cri mêlé de surprise et de douleur s'échappant de ses lèvres déjà meurtries.
Après quelques instants passés à se remettre de cette chute épique, Diana entreprend une nouvelle tentative pour quitter sa chambre. Ses pas incertains résonnent dans les couloirs déserts, mais elle est déterminée à rejoindre le rez-de-chaussée coûte que coûte. Cependant, ses efforts sont rapidement récompensés par un nouveau revers : alors qu'elle tente de descendre les escaliers, elle manque une marche et dévale la pente raide avec toute la grâce d'un chocobo en perte d'équilibre.
Finalement, après avoir survécu à cette descente mouvementée, mais néanmoins épique, Diana se retrouve sur le sol du hall, entourée par les regards perplexes des employés matinaux de l'auberge. Elle se relève avec dignité, ou du moins autant de dignité qu'on peut avoir après une telle série d'événements, et se dirige vers la sortie avec un sourire malicieux. Malgré les contusions et le mal de tête persistant, elle sait que cette matinée restera gravée dans les annales de l'Escale de Llymlaen comme l'une des plus mémorables de son histoire.
Le souvenir de la soirée précédente lui revient en un flot désordonné de fragments confus, comme des éclats de verre éparpillés sur le sol. Elle réalise soudainement qu'elle est encore à l'Escale, loin de la mission qu'elle était censée accomplir en Orient. La panique la submerge, et dans sa hâte de quitter les dortoirs, elle se lève brusquement, mais trop vite. Sa tête heurte violemment le lit mezzanine au-dessus d'elle, provoquant un bruit sourd qui résonne à travers la pièce et un cri de douleur désespéré s'échappe de ses lèvres.
Son esprit embrouillé par la confusion et la douleur, Diana se précipite hors de son lit avec une hâte frénétique, mais ses jambes ne semblent pas coopérer. Elle trébuche maladroitement sur le parquet et atterrit de tout son long sur le sol, un cri mêlé de surprise et de douleur s'échappant de ses lèvres déjà meurtries.
Après quelques instants passés à se remettre de cette chute épique, Diana entreprend une nouvelle tentative pour quitter sa chambre. Ses pas incertains résonnent dans les couloirs déserts, mais elle est déterminée à rejoindre le rez-de-chaussée coûte que coûte. Cependant, ses efforts sont rapidement récompensés par un nouveau revers : alors qu'elle tente de descendre les escaliers, elle manque une marche et dévale la pente raide avec toute la grâce d'un chocobo en perte d'équilibre.
Finalement, après avoir survécu à cette descente mouvementée, mais néanmoins épique, Diana se retrouve sur le sol du hall, entourée par les regards perplexes des employés matinaux de l'auberge. Elle se relève avec dignité, ou du moins autant de dignité qu'on peut avoir après une telle série d'événements, et se dirige vers la sortie avec un sourire malicieux. Malgré les contusions et le mal de tête persistant, elle sait que cette matinée restera gravée dans les annales de l'Escale de Llymlaen comme l'une des plus mémorables de son histoire.